Investing.com - Les bourses européennes ont prolongé leur ascension ce lundi après-midi, dans l'expectative des résultats des législatives italiennes.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 2.13%, le CAC 40 français de 1.78%, et le DAX 30 allemand de 2.36%.
Les observateurs scrutaient l'arrivée du verdict des urnes de l'Italie, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire freine l'avancée des réformes économiques et destabilise la troisième économie régionale.
Celui-ci devrait être connu demain, mais les résultats des sondages de sortie des bureaux de vote seront publiés incessamment.
La finance gardait du coup la forme, Les allemands Commerzbank et Deutsche Bank bondissant respectivement de 4.67 et 3.55%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 3.19 et 3.92%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA gagnant 3.35 et 1.98%, les italians Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas de 3.35 et 4.53%.
Le transporteur TNT Express s'élevait pour sa part de 3.94%, consolidant ses gains du matin après avoir déclaré compter nommer Tex Gunning directeur général à partir du premier juin, sous réserve du feu vert de ses actionnaires.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.64%, faisant peu cas du rabaissement d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au Royaume-Uni par l'agence de notation Moody's pour l'amener à Aa1 dans la soirée de vendredi, invoquant des perspectives d'expansion économique en berne et un endettement de plus en plus important.
La City suivait toujours le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking prenant 0.84%, et HSBC Holdings 1.91%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland raflaient 3.54 et 3.77%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste avec 1.96 et 0.97%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata non plus avec 2.14 et 1.21%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, était aussi de la fête, empochant 2.24%, son rival BP se contentant de 1.98%.
Il avait auparavant été rapporté par l'agence de presse Dow Jones que les Etats-Unis et leurs membres riverains du Golfe du Mexique envisageaient de se contenter de 16 milliards d'USD pour abandonner les poursuites contre ce dernier, faisant suite à l'explosion en 2010 de sa plate-forme Deepwater Horizon.
Mais tout n'était pas rose, Reckitt Benckiser sombrant de 3.51% après qu'il ait été révélé que deux de ses concurrents avaient reçu l'approbation des autorités sanitaires américaines pour produire une version générique de ses comprimés de Suboxone.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.44% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Il avait été souligné à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine, établi par HSBC, premier signe de santé économique nationale, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible en quatre mois.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 2.13%, le CAC 40 français de 1.78%, et le DAX 30 allemand de 2.36%.
Les observateurs scrutaient l'arrivée du verdict des urnes de l'Italie, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire freine l'avancée des réformes économiques et destabilise la troisième économie régionale.
Celui-ci devrait être connu demain, mais les résultats des sondages de sortie des bureaux de vote seront publiés incessamment.
La finance gardait du coup la forme, Les allemands Commerzbank et Deutsche Bank bondissant respectivement de 4.67 et 3.55%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 3.19 et 3.92%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA gagnant 3.35 et 1.98%, les italians Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas de 3.35 et 4.53%.
Le transporteur TNT Express s'élevait pour sa part de 3.94%, consolidant ses gains du matin après avoir déclaré compter nommer Tex Gunning directeur général à partir du premier juin, sous réserve du feu vert de ses actionnaires.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.64%, faisant peu cas du rabaissement d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au Royaume-Uni par l'agence de notation Moody's pour l'amener à Aa1 dans la soirée de vendredi, invoquant des perspectives d'expansion économique en berne et un endettement de plus en plus important.
La City suivait toujours le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking prenant 0.84%, et HSBC Holdings 1.91%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland raflaient 3.54 et 3.77%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste avec 1.96 et 0.97%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata non plus avec 2.14 et 1.21%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, était aussi de la fête, empochant 2.24%, son rival BP se contentant de 1.98%.
Il avait auparavant été rapporté par l'agence de presse Dow Jones que les Etats-Unis et leurs membres riverains du Golfe du Mexique envisageaient de se contenter de 16 milliards d'USD pour abandonner les poursuites contre ce dernier, faisant suite à l'explosion en 2010 de sa plate-forme Deepwater Horizon.
Mais tout n'était pas rose, Reckitt Benckiser sombrant de 3.51% après qu'il ait été révélé que deux de ses concurrents avaient reçu l'approbation des autorités sanitaires américaines pour produire une version générique de ses comprimés de Suboxone.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.44% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Il avait été souligné à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine, établi par HSBC, premier signe de santé économique nationale, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible en quatre mois.