Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris s’appréciait de 0,17% à mi-séance mercredi, regagnant difficilement du terrain après une matinée en baisse liée à un ralentissement de l’activité des services en France et dans la zone euro.
Dans la zone euro, l'indice PMI Markit des services est sorti à 47,2 points en août, contre 47,5 précédemment estimé et 47,9 en juillet.
Celui de la France s’est établi à 49,2, contre des prévisions à 50,2.
Par ailleurs, le marché guettait toujours l’issue de la réunion de politique monétaire de la Banque centrale européenne, jeudi, dans l’espoir de voir annoncées de nouvelles mesures destinées à aider les pays les plus endettés de la zone euro.
Du côté des valeurs, Essilor International signait l’une des plus belles performances de l’indice parisien, affichant un rebond de 1,62% à mi-séance, alors que le groupe précisait plus tôt que sa politique d'acquisitions restera soutenue lors du deuxième semestre.
La semaine dernière, Essilor a confirmé ses objectifs annuels, soit une croissance de son chiffre d’affaires comprise entre 12% et 15%.
Les banques étaient également recherchées mercredi, à l’image de BNP Paribas, en hausse de 1,22% en milieu de séance. Société Générale et Crédit Agricole s’appréciaient de 0,31% et de 0,65% respectivement.
A l’inverse, Total perdait 0,41% à la mi-journée, dans le sillage de son concurrent britannique BP, accusé par la justice américaine de ‘négligence manifeste et de mauvaise gestion délibérée’ dans le cadre de la marée noire survenue dans le golfe du Mexique en 2010.
Egalement dans le rouge, STMicroelectronics pliait de 3,70%, après être passé de ‘neutre’ à ‘vendre’ chez UBS, qui a également a abaissé son estimation de ventes globales de puces pour 2012.
L’intermédiaire table désormais sur recul de 3%, contre une hausse de 1,4% auparavant.
Schneider Electric cédait aussi du terrain mercredi, en retrait de 0,13% à mi-séance, alors que le groupe compte céder sa participation de 0,45% dans Axa pour un montant d'environ 120 millions d'euros.
L'équipementier électrique a également mis fin aux négociations exclusives avec Avago Technologies en vue de lui céder sa division capteurs et continuera les discussions avec des acquéreurs potentiels de l'ensemble de sa filiale, précise Bloomberg.
Enfin, EDF cédait 0,20% et GDF Suez s’appréciait de 0,46% en milieu de journée, alors que le député socialiste François Brottes devait présenter mercredi matin une proposition de loi sur l'instauration de tarifs progressifs de l'électricité et du gaz pour les particuliers.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,24%, le DAX grimpait de 0,60% et le Footsie 100 cédait 0,06%.
Un indicateur américain était attendu plus tard dans la journée : la dernière estimation de la productivité au deuxième trimestre.
Dans la zone euro, l'indice PMI Markit des services est sorti à 47,2 points en août, contre 47,5 précédemment estimé et 47,9 en juillet.
Celui de la France s’est établi à 49,2, contre des prévisions à 50,2.
Par ailleurs, le marché guettait toujours l’issue de la réunion de politique monétaire de la Banque centrale européenne, jeudi, dans l’espoir de voir annoncées de nouvelles mesures destinées à aider les pays les plus endettés de la zone euro.
Du côté des valeurs, Essilor International signait l’une des plus belles performances de l’indice parisien, affichant un rebond de 1,62% à mi-séance, alors que le groupe précisait plus tôt que sa politique d'acquisitions restera soutenue lors du deuxième semestre.
La semaine dernière, Essilor a confirmé ses objectifs annuels, soit une croissance de son chiffre d’affaires comprise entre 12% et 15%.
Les banques étaient également recherchées mercredi, à l’image de BNP Paribas, en hausse de 1,22% en milieu de séance. Société Générale et Crédit Agricole s’appréciaient de 0,31% et de 0,65% respectivement.
A l’inverse, Total perdait 0,41% à la mi-journée, dans le sillage de son concurrent britannique BP, accusé par la justice américaine de ‘négligence manifeste et de mauvaise gestion délibérée’ dans le cadre de la marée noire survenue dans le golfe du Mexique en 2010.
Egalement dans le rouge, STMicroelectronics pliait de 3,70%, après être passé de ‘neutre’ à ‘vendre’ chez UBS, qui a également a abaissé son estimation de ventes globales de puces pour 2012.
L’intermédiaire table désormais sur recul de 3%, contre une hausse de 1,4% auparavant.
Schneider Electric cédait aussi du terrain mercredi, en retrait de 0,13% à mi-séance, alors que le groupe compte céder sa participation de 0,45% dans Axa pour un montant d'environ 120 millions d'euros.
L'équipementier électrique a également mis fin aux négociations exclusives avec Avago Technologies en vue de lui céder sa division capteurs et continuera les discussions avec des acquéreurs potentiels de l'ensemble de sa filiale, précise Bloomberg.
Enfin, EDF cédait 0,20% et GDF Suez s’appréciait de 0,46% en milieu de journée, alors que le député socialiste François Brottes devait présenter mercredi matin une proposition de loi sur l'instauration de tarifs progressifs de l'électricité et du gaz pour les particuliers.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,24%, le DAX grimpait de 0,60% et le Footsie 100 cédait 0,06%.
Un indicateur américain était attendu plus tard dans la journée : la dernière estimation de la productivité au deuxième trimestre.