Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris évoluait en léger repli vendredi, affichant une baisse de 0,24% à mi-séance, en l'absence de signes de progrès imminents dans les discussions entre dirigeants de la zone euro, alors que la possibilité d'une nouvelle intervention de la Réserve fédérale redevenait incertaine.
A l'issue d'une rencontre au sommet jeudi soir, la Chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande ont appelé le Premier ministre grec Antonis Samaras à poursuivre ses efforts de réforme, sans répondre immédiatement à sa demande d'un assouplissement du plan d'austérité imposé à Athènes.
Attendu à Berlin vendredi, puis à l'Elysée samedi, Antonis Samaras demande un délai de deux ans, soit 2016 au lieu de 2014, pour redresser les finances du pays, tout en promettant que le pays remboursera les aides reçues.
Par ailleurs, les avis restaient partagés quant à l'éventualité d'un troisième round d'assouplissement quantitatif de la part de la Fed, suivant une succession de prises de positions contradictoires par les présidents des différentes Réserves fédérales du pays.
Sur le front des statistiques, la contraction du PIB britannique a été révisée à 0,5% au deuxième trimestre, contre 0,7% précédemment estimé. Sur un an, le PIB s'est tassé de 0,5%, contre une baisse de 0,8% annoncée en première approche.
Du côté des valeurs, les banques étaient particulièrement affectées par les incertitudes entourrant les négociations grecques, vendredi. A mi-séance, BNP Paribas abandonnait 1,96%, Société Générale 2,92% et Crédit Agricole 2,31%.
Le journal Les Echos rapportait, par ailleurs, que Société Générale envisagerait de transférer une partie de ses traders à Londres, en plus de délocaliser une partie de ses 25.000 salariés de la Défense vers la banlieue parisienne.
L'automobile s'inscrivait également dans le rouge vendredi, alors qu'Opel a annoncé des mesures de chômage partiel. En milieu de journée, Peugeot pliait de 4,14% et Renault reculait de 2,98%.
A l'inverse, les valeurs défensives évoluaient en hausse, à l'image de Danone, qui progressait de 0,97% à la mi-journée. Pernod Ricard et Sanofi se sont également appréciés de 1,27% et de 1,10% respectivement.
Enfin, le groupe parapétrolier Technip grappillait 0,03% en milieu de séance, soutenu par la signature d'un contrat plus tôt dans la semaine avec Swiber Offshore Construction pour la fourniture de conduites flexibles pour le champ Champion de Brunei Shell Petroleum, au large de Brunei.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,17%, le DAX cédait 0,30% et le Footsie 100 pliait de 0,17%.
Un indicateur américain figurait à l'agenda, vendredi après-midi: les commandes de biens durables au mois de juillet.
A l'issue d'une rencontre au sommet jeudi soir, la Chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande ont appelé le Premier ministre grec Antonis Samaras à poursuivre ses efforts de réforme, sans répondre immédiatement à sa demande d'un assouplissement du plan d'austérité imposé à Athènes.
Attendu à Berlin vendredi, puis à l'Elysée samedi, Antonis Samaras demande un délai de deux ans, soit 2016 au lieu de 2014, pour redresser les finances du pays, tout en promettant que le pays remboursera les aides reçues.
Par ailleurs, les avis restaient partagés quant à l'éventualité d'un troisième round d'assouplissement quantitatif de la part de la Fed, suivant une succession de prises de positions contradictoires par les présidents des différentes Réserves fédérales du pays.
Sur le front des statistiques, la contraction du PIB britannique a été révisée à 0,5% au deuxième trimestre, contre 0,7% précédemment estimé. Sur un an, le PIB s'est tassé de 0,5%, contre une baisse de 0,8% annoncée en première approche.
Du côté des valeurs, les banques étaient particulièrement affectées par les incertitudes entourrant les négociations grecques, vendredi. A mi-séance, BNP Paribas abandonnait 1,96%, Société Générale 2,92% et Crédit Agricole 2,31%.
Le journal Les Echos rapportait, par ailleurs, que Société Générale envisagerait de transférer une partie de ses traders à Londres, en plus de délocaliser une partie de ses 25.000 salariés de la Défense vers la banlieue parisienne.
L'automobile s'inscrivait également dans le rouge vendredi, alors qu'Opel a annoncé des mesures de chômage partiel. En milieu de journée, Peugeot pliait de 4,14% et Renault reculait de 2,98%.
A l'inverse, les valeurs défensives évoluaient en hausse, à l'image de Danone, qui progressait de 0,97% à la mi-journée. Pernod Ricard et Sanofi se sont également appréciés de 1,27% et de 1,10% respectivement.
Enfin, le groupe parapétrolier Technip grappillait 0,03% en milieu de séance, soutenu par la signature d'un contrat plus tôt dans la semaine avec Swiber Offshore Construction pour la fourniture de conduites flexibles pour le champ Champion de Brunei Shell Petroleum, au large de Brunei.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,17%, le DAX cédait 0,30% et le Footsie 100 pliait de 0,17%.
Un indicateur américain figurait à l'agenda, vendredi après-midi: les commandes de biens durables au mois de juillet.