Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur un repi de 2,95% lundi, alors que l'incertitude politique en Espagne et en Italie pesait sur le moral des investisseurs.
Les investisseurs restaient prudents en raison des risques d’instabilité politique en Italie à l’approche des élections générales des 24 et 25 février, tandis que les rumeurs de corruption en Espagne pesaient également sur la tendance.
Sur le front des statistiques, les commandes à l’industrie ont rebondi de 1,8% aux Etats-Unis en décembre, après un repli de 0,3% en novembre, là où le marché tablait sur une progression de 2,2%.
Dans la zone euro, les prix à la production ont diminué de 0,2% en décembre et augmenté de 2,1% sur un an.
Du côté des valeurs, EADS lâchait 0,84% en fin de séance, alors que Le Figaro rapportait plus tôt que le conseil d’administration et le comité des nominations du groupe ont approuvé le choix d’Anne Lauvergeon et de Jean-Claude Trichet aux postes d’administrateurs.
Ils ne souhaitent pas, en revanche, que l’ex-patronne d’Areva soit nommée à la tête du conseil comme le demandait l’Etat.
Par ailleurs, Les Echos révèlaient que l’Airbus A350 pourrait ne pas être prêt pour le Salon du Bourget, prévu du 17 au 23 juin prochains, en raison de retards pris dans la livraison des moteurs.
Egalement dans le rouge, Renault pliait de 3,70% à la clôture, après que Bank of America Merrill Lynch a dégradé le secteur automobile européen de "surpondérer" à "neutre", tandis que HSBC est passé de "surpondérer" à "neutre" sur le constructeur français.
Par ailleurs, Sanofi abandonnait 1,89% en fin de journée. Le groupe pharmaceutique annonçait plus tôt que la Commission européenne a donné son feu vert à la mise sur le marché du Lyxumia pour le traitement du diabète de type 2.
Cette autorisation s’applique aux 27 Etats membres de l’Union européenne, ainsi qu’à l’Islande, au Lichtenstein et à la Norvège.
Quant aux valeurs financières, elles restaient elles aussi dans le rouge. BNP Paribas reculait de 4,19% à la clôture du CAC 40, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 4,62% et 5,65% respectivement.
Vendredi, le Crédit Agricole a annoncé la finalisation de la cession de sa filiale grecque Emporiki à Alpha Bank pour 1 euro symbolique.
A l'inverse, Suez Environnement engrangeait 0,93% en fin de séance, alors que HSBC a relevé son opinion sur le titre de "neutre" à "surpondérer".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 3,18%, le DAX abandonnait 2,46% et le Footsie 100 pliait de 1,63%.
Les investisseurs restaient prudents en raison des risques d’instabilité politique en Italie à l’approche des élections générales des 24 et 25 février, tandis que les rumeurs de corruption en Espagne pesaient également sur la tendance.
Sur le front des statistiques, les commandes à l’industrie ont rebondi de 1,8% aux Etats-Unis en décembre, après un repli de 0,3% en novembre, là où le marché tablait sur une progression de 2,2%.
Dans la zone euro, les prix à la production ont diminué de 0,2% en décembre et augmenté de 2,1% sur un an.
Du côté des valeurs, EADS lâchait 0,84% en fin de séance, alors que Le Figaro rapportait plus tôt que le conseil d’administration et le comité des nominations du groupe ont approuvé le choix d’Anne Lauvergeon et de Jean-Claude Trichet aux postes d’administrateurs.
Ils ne souhaitent pas, en revanche, que l’ex-patronne d’Areva soit nommée à la tête du conseil comme le demandait l’Etat.
Par ailleurs, Les Echos révèlaient que l’Airbus A350 pourrait ne pas être prêt pour le Salon du Bourget, prévu du 17 au 23 juin prochains, en raison de retards pris dans la livraison des moteurs.
Egalement dans le rouge, Renault pliait de 3,70% à la clôture, après que Bank of America Merrill Lynch a dégradé le secteur automobile européen de "surpondérer" à "neutre", tandis que HSBC est passé de "surpondérer" à "neutre" sur le constructeur français.
Par ailleurs, Sanofi abandonnait 1,89% en fin de journée. Le groupe pharmaceutique annonçait plus tôt que la Commission européenne a donné son feu vert à la mise sur le marché du Lyxumia pour le traitement du diabète de type 2.
Cette autorisation s’applique aux 27 Etats membres de l’Union européenne, ainsi qu’à l’Islande, au Lichtenstein et à la Norvège.
Quant aux valeurs financières, elles restaient elles aussi dans le rouge. BNP Paribas reculait de 4,19% à la clôture du CAC 40, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 4,62% et 5,65% respectivement.
Vendredi, le Crédit Agricole a annoncé la finalisation de la cession de sa filiale grecque Emporiki à Alpha Bank pour 1 euro symbolique.
A l'inverse, Suez Environnement engrangeait 0,93% en fin de séance, alors que HSBC a relevé son opinion sur le titre de "neutre" à "surpondérer".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 3,18%, le DAX abandonnait 2,46% et le Footsie 100 pliait de 1,63%.