Investing.com - Les places d'Asie oscillaient entre légers gains et pertes minimes ce mardi matin, hésitant à prolonger leur ascension récente en raison des rumeurs de fin prématurée des apports de capitaux de la Réserve Fédérale.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,6%, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0,5% et le Nikkei 225 japonais grignotait 0,1%.
Les valeurs américaines se sont en effet orientées à la baisse hier, sur fond de bruits évoquant une réduction du volume des acquisitions d'actifs de la banque centrale des Etats-Unis.
Sydney a ainsi modéré ses ardeurs, mais demeurait proche de son meilleur niveau en cinq ans.
La bande des quatre plus grosses banques nationales était sur la défensive, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, plongeant même de 1,4%.
Hong Kong a quand à elle quitté son pic de trois mois établi la veille, son secteur financier se retrouvant lui aussi dans la tourmente.
L'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, dégringolait ainsi de 1,8% après que Goldman Sachs en ait écoulé ses dernières perts pour environ 1,12 milliards d'USD.
Tokyo s'accrochait à son sommet le plus élevé depuis décembre 2007 alors que la Banque du Japon donnait le coup d'envoi de deux jours de réunion d'orientation.
Le ministre de l'économie du Japon Akira Amari avait déclaré hier qu'une dépréciation trop rapide du yen pourrait nuire à la troisième économie mondiale, et qu'il incombait au gouvernement d'éviter une telle éventualité.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement plutôt morose
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1%, celles sur le DAX 30 allemand demeurant neutre alors que celles sur le FTSE 100 britannique la situaient à 0,1%.
La prudence demeurait de mise à la veille du témoignage de Ben Bernanke, président de la Fed, devant le comité économique parlementaire, et de la divulgation du procès-verbal de la dernière prise de cap de celle-ci.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,6%, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0,5% et le Nikkei 225 japonais grignotait 0,1%.
Les valeurs américaines se sont en effet orientées à la baisse hier, sur fond de bruits évoquant une réduction du volume des acquisitions d'actifs de la banque centrale des Etats-Unis.
Sydney a ainsi modéré ses ardeurs, mais demeurait proche de son meilleur niveau en cinq ans.
La bande des quatre plus grosses banques nationales était sur la défensive, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, plongeant même de 1,4%.
Hong Kong a quand à elle quitté son pic de trois mois établi la veille, son secteur financier se retrouvant lui aussi dans la tourmente.
L'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, dégringolait ainsi de 1,8% après que Goldman Sachs en ait écoulé ses dernières perts pour environ 1,12 milliards d'USD.
Tokyo s'accrochait à son sommet le plus élevé depuis décembre 2007 alors que la Banque du Japon donnait le coup d'envoi de deux jours de réunion d'orientation.
Le ministre de l'économie du Japon Akira Amari avait déclaré hier qu'une dépréciation trop rapide du yen pourrait nuire à la troisième économie mondiale, et qu'il incombait au gouvernement d'éviter une telle éventualité.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement plutôt morose
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1%, celles sur le DAX 30 allemand demeurant neutre alors que celles sur le FTSE 100 britannique la situaient à 0,1%.
La prudence demeurait de mise à la veille du témoignage de Ben Bernanke, président de la Fed, devant le comité économique parlementaire, et de la divulgation du procès-verbal de la dernière prise de cap de celle-ci.