Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, mais la livre sterling s'est rebiffée après que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré qu'une baisse des taux d'intérêt pourrait être plus nuisible qu'utile.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.42% pour tomber à 1.2346.
La BCE demeurait quand à elle très surveillée, en raison de l'espoir qu'elle s'arrange pour rabaisser les taux des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après que Mario Draghi, son président, ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Mais l'agence Standard & Poor's cependant rabaissé hier ses perspectives pour la notation grecque de stable vers négative, affirmant que l'aggravation de sa situation économique augmentait les chances qu'elle ne remplisse pas les objectifs fixés par les bailleurs de fonds internationaux, et donc de défaut de paiement.
Les mauvais résultats allemands faisaient d'autre part craindre que l'éternisation de la crise de la dette de la région continuait à nuire même à sa plus grosse économie.
La production industrielle germanique a en effet plongé de 0.9% en juin, dépassant ainsi les 0.8% de régression redoutés, après avoir pourtant réalisé en mai un rebond de 1.7% après révision à la hausse.
Le billet vert a par contre cédé du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.11% pour se hisser à 1.5637.
M. King a en effet pris la parole suite à la publication du rapport trimestriel de la banque centrale britannique sur l'inflation, se gardant d'exclure toute baisse des taux dans les prochains mois, mais laissant toutefois à penser qu'une telle hypothèse était improbable, et qu'une telle manoeuvre pourrait mettre à mal les institutions financières.
Mais les perspectives britanniques demeurait moroses, le rapport estimant que la croissance économique avait des chances de se situer aux alentours de 2% annuels d'ici deux ans, soit nettement moins que les 2.67% des projections établies en mai.
Le document précisait que l'inflation se situerait juste sous les 1.7% dans le même temps, avec des chances à peu près égales qu'elles se situent au-dessous ou en-dessous des 2%.
Il a également subi la pression un peu moindre de la part du yen, l'USD/JPY reculant de 0.29% pour sombrer à 78.37, mais pas du franc suisse, l'USD/CHF gagnant 0.46% pour culminer à 0.9731.
Du côté helvète, le secrétariat d'état aux affaires économiques a pour sa part révélé aujourd'hui que le baromètre de la confiance des consommateurs avait dérapé à -17 pour la période d'avril à juin, au lieu des -8 enregistrés sur les trois mois précédents, en raison du pessimisme grandissant concernant les perspectives économiques et le chômage.
Les experts avaient pourtannt espéré le voir remonter à -4.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD grignotant 0.07% pour grimper à 0.9976, l'AUD/USD trébuchant de 0.13% pour dsecendre à 1.0539 et le NZD/USD se laissant arracher 0.42% pour toucher le fond à 0.8126.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.22% pour se situer à 82.51.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec une étude portant sur la productivité non agricole, ainsi qu'avec l'inventaire hebdomadaire de leurs réserves pétrolières.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.42% pour tomber à 1.2346.
La BCE demeurait quand à elle très surveillée, en raison de l'espoir qu'elle s'arrange pour rabaisser les taux des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après que Mario Draghi, son président, ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Mais l'agence Standard & Poor's cependant rabaissé hier ses perspectives pour la notation grecque de stable vers négative, affirmant que l'aggravation de sa situation économique augmentait les chances qu'elle ne remplisse pas les objectifs fixés par les bailleurs de fonds internationaux, et donc de défaut de paiement.
Les mauvais résultats allemands faisaient d'autre part craindre que l'éternisation de la crise de la dette de la région continuait à nuire même à sa plus grosse économie.
La production industrielle germanique a en effet plongé de 0.9% en juin, dépassant ainsi les 0.8% de régression redoutés, après avoir pourtant réalisé en mai un rebond de 1.7% après révision à la hausse.
Le billet vert a par contre cédé du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.11% pour se hisser à 1.5637.
M. King a en effet pris la parole suite à la publication du rapport trimestriel de la banque centrale britannique sur l'inflation, se gardant d'exclure toute baisse des taux dans les prochains mois, mais laissant toutefois à penser qu'une telle hypothèse était improbable, et qu'une telle manoeuvre pourrait mettre à mal les institutions financières.
Mais les perspectives britanniques demeurait moroses, le rapport estimant que la croissance économique avait des chances de se situer aux alentours de 2% annuels d'ici deux ans, soit nettement moins que les 2.67% des projections établies en mai.
Le document précisait que l'inflation se situerait juste sous les 1.7% dans le même temps, avec des chances à peu près égales qu'elles se situent au-dessous ou en-dessous des 2%.
Il a également subi la pression un peu moindre de la part du yen, l'USD/JPY reculant de 0.29% pour sombrer à 78.37, mais pas du franc suisse, l'USD/CHF gagnant 0.46% pour culminer à 0.9731.
Du côté helvète, le secrétariat d'état aux affaires économiques a pour sa part révélé aujourd'hui que le baromètre de la confiance des consommateurs avait dérapé à -17 pour la période d'avril à juin, au lieu des -8 enregistrés sur les trois mois précédents, en raison du pessimisme grandissant concernant les perspectives économiques et le chômage.
Les experts avaient pourtannt espéré le voir remonter à -4.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD grignotant 0.07% pour grimper à 0.9976, l'AUD/USD trébuchant de 0.13% pour dsecendre à 1.0539 et le NZD/USD se laissant arracher 0.42% pour toucher le fond à 0.8126.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.22% pour se situer à 82.51.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec une étude portant sur la productivité non agricole, ainsi qu'avec l'inventaire hebdomadaire de leurs réserves pétrolières.