Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que les craintes concernant l'escalade de la crise nucléaire au Japon poussaient les investisseurs à se réfugier auprès des valeurs sûres.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY perdant 0.13% pour tomber à 81.51.
Le premier ministre Naoto Kan avait ce matin encouragé les personnes vivant dans un rayon de 30 kilomètres de la centrale atomique de Fukuma Daiichi à rester à l'abri en raison de l'aggravation des risques de fortes radiations provenant du réacteur touché par une nouvelle explosion.
Le billet vert a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/USD glissant de 0.76% pour chuter à 1.3886.
Il a toutefois subi la pression du franc suisse, mais pas celle de la livre sterling, l'USD/CHF glissant de 0.28% pour reprendre pied à 0.9216 et le GBP/USD dégringolant de 0.94% pour toucher le fond à 1.6016.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD bondissant de 1.04% pour monter à 0.9838, l'AUD/USD s'effondrant de 2.09% pour se retrouver à 0.9987 et le NZD/USD plongeant de 1.19% pour couler à 0.7303.
Le compte-rendu de la réunion du premier mars de la Réserve Bancaire d'Australie publié ce matin avait auparavant laissé entendre que les décideurs estimaient que le ralentissement des emprunts contractés par les ménages et les entreprises avait compensé l'expansion des investissements miniers, les poussant à ne pas modifier les taux d'intérêt.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.79%.
La Réserve Fédérale devrait faire connaître son taux appliqué aux fonds fédéraux en cours de journée, et les Etats-Unis dévoileront les chiffres officiels de la production manufacturée dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY perdant 0.13% pour tomber à 81.51.
Le premier ministre Naoto Kan avait ce matin encouragé les personnes vivant dans un rayon de 30 kilomètres de la centrale atomique de Fukuma Daiichi à rester à l'abri en raison de l'aggravation des risques de fortes radiations provenant du réacteur touché par une nouvelle explosion.
Le billet vert a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/USD glissant de 0.76% pour chuter à 1.3886.
Il a toutefois subi la pression du franc suisse, mais pas celle de la livre sterling, l'USD/CHF glissant de 0.28% pour reprendre pied à 0.9216 et le GBP/USD dégringolant de 0.94% pour toucher le fond à 1.6016.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD bondissant de 1.04% pour monter à 0.9838, l'AUD/USD s'effondrant de 2.09% pour se retrouver à 0.9987 et le NZD/USD plongeant de 1.19% pour couler à 0.7303.
Le compte-rendu de la réunion du premier mars de la Réserve Bancaire d'Australie publié ce matin avait auparavant laissé entendre que les décideurs estimaient que le ralentissement des emprunts contractés par les ménages et les entreprises avait compensé l'expansion des investissements miniers, les poussant à ne pas modifier les taux d'intérêt.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.79%.
La Réserve Fédérale devrait faire connaître son taux appliqué aux fonds fédéraux en cours de journée, et les Etats-Unis dévoileront les chiffres officiels de la production manufacturée dans la région de New York.