Investing.com - Les options sur l'or étaient en progression ce lundi, le dollar U.S. se trouvant affaibli dans l'attente de la réunion entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue dans la journée, tout en bénéficiant de la forte demande physique de l'Asie.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 623.35 USD de l'once en ouverture de séance européenne, gagnant 0.4%.
Ils avaient précédement culminé à 1 624.05 USD, leur pire cours du jour, avec 0.48% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 597.75 USD, leur plancher du 5 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond du 21 décembre.
Ce renforcement survenait alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.2% de son côté pour se situer à 81.61, retombant ainsi de son pic des seize derniers mois.
Les observateurs guettaient la rencontre entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à augmenter la coordination fiscale régionale.
Leur humeur restait toutefois pessimiste, sur fond d'inquiétude au regard des taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des chefs d'orchestre de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant d'évaluer la capacité des pays endettés, notamment la France, l'Espagne et l'Italie, à lever des fonds par eux-mêmes.
Les acteurs des marchés avaient aussi été échaudés par l'article du magazine allemand Der Spiegel paru samedi selon lequel le Fonds Monétaire International serait en train de perdre confiance dans la capacité de la Grèce à renfouer ses finances publiques et alléger le fardeau de son surendettement.
Les acteurs des marchés acquéraient généralement du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps, celui-ci évoluant dans le sillage des autres actifs liés aux risques.
La demande aurifère de la Chine, seconde consommatrice mondiale, devrait quand à elle prendre de la vitesse à l'approche du nouvel an lunaire, qui tombera le 23 janvier, dans le pays et le reste de l'Asie.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 1.2% pour grimper à 29.02 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont cédé 0.2% pour se retrouver à 3.428 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 623.35 USD de l'once en ouverture de séance européenne, gagnant 0.4%.
Ils avaient précédement culminé à 1 624.05 USD, leur pire cours du jour, avec 0.48% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 597.75 USD, leur plancher du 5 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond du 21 décembre.
Ce renforcement survenait alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.2% de son côté pour se situer à 81.61, retombant ainsi de son pic des seize derniers mois.
Les observateurs guettaient la rencontre entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à augmenter la coordination fiscale régionale.
Leur humeur restait toutefois pessimiste, sur fond d'inquiétude au regard des taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des chefs d'orchestre de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant d'évaluer la capacité des pays endettés, notamment la France, l'Espagne et l'Italie, à lever des fonds par eux-mêmes.
Les acteurs des marchés avaient aussi été échaudés par l'article du magazine allemand Der Spiegel paru samedi selon lequel le Fonds Monétaire International serait en train de perdre confiance dans la capacité de la Grèce à renfouer ses finances publiques et alléger le fardeau de son surendettement.
Les acteurs des marchés acquéraient généralement du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps, celui-ci évoluant dans le sillage des autres actifs liés aux risques.
La demande aurifère de la Chine, seconde consommatrice mondiale, devrait quand à elle prendre de la vitesse à l'approche du nouvel an lunaire, qui tombera le 23 janvier, dans le pays et le reste de l'Asie.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 1.2% pour grimper à 29.02 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont cédé 0.2% pour se retrouver à 3.428 USD la livre dans le même temps.