Investing.com - L'euro demeurait proche d'un pic mensuel face au dollar U.S. ce jeudi après-midi, bénéficiant d'une bonne nouvelle sur le front des prix allemands, tanis que les places où son adversaire a cours demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.
La paire EUR/USD est montée depuis les 1,3578 d'hier jusqu'à 1,3605 en seconde partie de séance européenne, gagnant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3556, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3645, son plafond psychologique suivant.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs au vu de l'inflation annualisée de l'Allemagne, passant comme prévu des 1,2 d'octobre à 1,3% pour novembre.
Les prix au détail du pays ont aussi pris 0,2% d'un mois sur l'autre, alors que 0,1% semblaient plausibles, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
Une étude avait d'autre part dénombré ce matin 10.000 demandeurs d'emploi supplémentaires pour novembre en Allemagne, au lieu des 1.000 déjà redoutés, tandis que son taux de chômage demeurait stable à 6,9%.
Les premières évaluations de concernant l'évolution des prix au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique, dont la publication est prévue demain, sont surveillées de près, un sursaut à 0,8% annualisés étant attendu après le plongeon à 0,4% d'octobre, son pire niveau en quatre ans.
Ce ralentissement avait du coup poussé la Banque Centrale Européenne à raboter son taux directeur à 0,25%, sa plus faible valeur de tous les temps, lors de sa réunion de novembre.
La monnaie de l'Europe bétonnait aussi son piédestal de quatre ans contre son homologue nippone, L'EUR/JPY grimpant de 0,26% pour se hisser à 139,06, sa plus forte valeur depuis août 2009.
Ce dernier demeurait ainsi sur la défensive alors que la Banque du Japon semblait devoir bientôt redoubler d'efforts pour atteindre les 2% d'inflation visés d'ici 2015.
Sayuri Shirai, membre de son conseil directeur, avait estimé à l'aube que cet objectif pourrait être difficile à remplir, en raison des risques d'essoufflement de la croissance, dont elle surveillera les signes avant-coureurs de près.
La devise de l'archipel n'a tout de même pas démérité par rapport au billet vert, l'USD/JPY grignotant 0,05% pour frémir à 102,20, son plus haut sommet depuis le 29 mai.
La paire EUR/USD est montée depuis les 1,3578 d'hier jusqu'à 1,3605 en seconde partie de séance européenne, gagnant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3556, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3645, son plafond psychologique suivant.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs au vu de l'inflation annualisée de l'Allemagne, passant comme prévu des 1,2 d'octobre à 1,3% pour novembre.
Les prix au détail du pays ont aussi pris 0,2% d'un mois sur l'autre, alors que 0,1% semblaient plausibles, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
Une étude avait d'autre part dénombré ce matin 10.000 demandeurs d'emploi supplémentaires pour novembre en Allemagne, au lieu des 1.000 déjà redoutés, tandis que son taux de chômage demeurait stable à 6,9%.
Les premières évaluations de concernant l'évolution des prix au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique, dont la publication est prévue demain, sont surveillées de près, un sursaut à 0,8% annualisés étant attendu après le plongeon à 0,4% d'octobre, son pire niveau en quatre ans.
Ce ralentissement avait du coup poussé la Banque Centrale Européenne à raboter son taux directeur à 0,25%, sa plus faible valeur de tous les temps, lors de sa réunion de novembre.
La monnaie de l'Europe bétonnait aussi son piédestal de quatre ans contre son homologue nippone, L'EUR/JPY grimpant de 0,26% pour se hisser à 139,06, sa plus forte valeur depuis août 2009.
Ce dernier demeurait ainsi sur la défensive alors que la Banque du Japon semblait devoir bientôt redoubler d'efforts pour atteindre les 2% d'inflation visés d'ici 2015.
Sayuri Shirai, membre de son conseil directeur, avait estimé à l'aube que cet objectif pourrait être difficile à remplir, en raison des risques d'essoufflement de la croissance, dont elle surveillera les signes avant-coureurs de près.
La devise de l'archipel n'a tout de même pas démérité par rapport au billet vert, l'USD/JPY grignotant 0,05% pour frémir à 102,20, son plus haut sommet depuis le 29 mai.