Investing.com - Les options sur l'or ont conclu avec un faux pas, mais demeuraient proche de leur pic mensuel précédent, profitant des inquiétudes causées par Chypre et des signes de maintien sans limite de durée des acquisitions de la Réserve Fédérale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 608 USD de l'once à la clôture de la dernière journée de transactions, se laissant arracher 0.4% au cours de celle-ci.
Ils auront tout de même empoché 1% de gains pour leur troisième semaine positive d'affilée.
Ils avaient culminé jeudi à 1 615.8 USD, leur plus haut niveau depuis le 26 février.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 575.8 USD, leur plancher du 14 mars, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 619.4 USD, leur plafond du 26 février.
La situation restait confuse à Chypre, toujours en quête d'une alternative au plan de sauvetage international, suite à son rejet mardi d'un prélèvement très controversé sur les comptes bancaires.
L'île doit en effet rassembler 5.8 milliards d'euros par ses propres moyens afin d'avoir accès aux 10 milliards d'euros des bailleurs de fonds internnationaux.
La pression qu'elle subit est montée d'un cran après que la Banque Centrale Européenne ait déclaré jeudi qu'elle couperait les vivres aux banques chypriotes dès lundi en l'absence d'accord avec l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
Le métal précieux sert traditionnellement de rempart contre les incertitudes économiques et politiques.
La tendance restait bonne grâce à l'absence de changement d'attitude de la part de la Réserve Fédérale malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.
Elle a en effet annoncé mercredi qu'elle gardait son cap après deux jours de réunion, sur fond de rumeurs affirmant le contraire, invoquant le taux de chômage élevé et la conjonction des hausses d'impôts et des baisses des dépenses du gouvernement fédéral.
Ses décideurs se sont à nouveau engagés à maintenir ceux-ci à leurs plus bas niveaux historiques jusqu'à ce qu'il y ait de 6.5% de demandeurs d'emploi, au lieu des 7.7% actuels.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
La situation de Chypre sera au centre des débats de la semaine, un échec dans la quête de mesures de sauvetage pouvant entraîner sa sortie de la zone euro.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste, avec une série de chiffres, portant notamment sur les commandes de biens durables, les ventes de logements et la confiance des consommateurs.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs cédé 1.7% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 28.7 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 0.15% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles bondi de 1.1% lors de l'ultime session, pour remonter à 3.472 USD la livre, se laissant tout de même arracher 1.3% au cours de la semaine.
Elles avaient plongé mardi à 3.389 USD, leur plus bas niveau en sept mois, les valeurs dépendantes de la croissance ayant été mises à mal par le spectre d'un défaut de paiement de Chypre.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 608 USD de l'once à la clôture de la dernière journée de transactions, se laissant arracher 0.4% au cours de celle-ci.
Ils auront tout de même empoché 1% de gains pour leur troisième semaine positive d'affilée.
Ils avaient culminé jeudi à 1 615.8 USD, leur plus haut niveau depuis le 26 février.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 575.8 USD, leur plancher du 14 mars, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 619.4 USD, leur plafond du 26 février.
La situation restait confuse à Chypre, toujours en quête d'une alternative au plan de sauvetage international, suite à son rejet mardi d'un prélèvement très controversé sur les comptes bancaires.
L'île doit en effet rassembler 5.8 milliards d'euros par ses propres moyens afin d'avoir accès aux 10 milliards d'euros des bailleurs de fonds internnationaux.
La pression qu'elle subit est montée d'un cran après que la Banque Centrale Européenne ait déclaré jeudi qu'elle couperait les vivres aux banques chypriotes dès lundi en l'absence d'accord avec l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
Le métal précieux sert traditionnellement de rempart contre les incertitudes économiques et politiques.
La tendance restait bonne grâce à l'absence de changement d'attitude de la part de la Réserve Fédérale malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.
Elle a en effet annoncé mercredi qu'elle gardait son cap après deux jours de réunion, sur fond de rumeurs affirmant le contraire, invoquant le taux de chômage élevé et la conjonction des hausses d'impôts et des baisses des dépenses du gouvernement fédéral.
Ses décideurs se sont à nouveau engagés à maintenir ceux-ci à leurs plus bas niveaux historiques jusqu'à ce qu'il y ait de 6.5% de demandeurs d'emploi, au lieu des 7.7% actuels.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
La situation de Chypre sera au centre des débats de la semaine, un échec dans la quête de mesures de sauvetage pouvant entraîner sa sortie de la zone euro.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste, avec une série de chiffres, portant notamment sur les commandes de biens durables, les ventes de logements et la confiance des consommateurs.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs cédé 1.7% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 28.7 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 0.15% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles bondi de 1.1% lors de l'ultime session, pour remonter à 3.472 USD la livre, se laissant tout de même arracher 1.3% au cours de la semaine.
Elles avaient plongé mardi à 3.389 USD, leur plus bas niveau en sept mois, les valeurs dépendantes de la croissance ayant été mises à mal par le spectre d'un défaut de paiement de Chypre.