Investing.com - La livre sterling a vu son repli face au dollar U.S. se poursuivre ce jeudi, le retour de la peur d'un affaiblissement du secteur bancaire européen et les résultats mitigés des enchères de dettes françaises ayant freiné la demande pour les valeurs plus risquées.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5512 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 3 janvier, puis s'est stabilisée vers 1.5532, perdant 0.56%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.545, son plancher du 13 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5668, son plafond du 3 janvier.
L'appétit pour le risque a fondu après qu'il ait été montré hier que les dépôts au jour le jour auprès de la Banque Centrale Européenne avaient établi un nouveau record cette semaine, laissant à penser que les établissements financiers régionaux étaient peu enclins à établir des prêts mutuels.
La France a écoulé pour 4.02 milliards d'euros d'obligations à dix ans à un taux moyen de 3.29%, contre 3.18% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé le mois dernier, les enchères dépassant 1.6 fois le montant adjugé, soit nettement moins que les 3.1 de décembre.
Elle est considérée en grand danger de perdre sa notation triple A dans les semaines à venir, après que les agences Fitch et Standard & Poor's l'aient placée sous une surveillance négative, tandis que planaient les incertitudes sur la gestion du problème de la dette de l'Europe.
Il avait montré ce matin que l'activité dans le domaine des services du Royaume-Uni avait augmenté en décembre sans crier gare, apaisant l'angoisse d'un écroulement de l'aconomie du pays.
L'indice des directeurs de achats des prestataires de services établi par le groupe de recherches économiques Markit s'est en effet élevé à 54 pour le mois passé, sa meilleure position depuis juillet, alors qu'une chute à 51.6 était redoutée.
La devise de la Grande-Bretagne a également gagné du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/GBP cédant 0.19% pour descendre à 0.827.
Les Etats-Unis verront dans l'après-midi la publication de l'étude de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé et rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'un autre sur l'activité dans le domaine des services.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5512 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 3 janvier, puis s'est stabilisée vers 1.5532, perdant 0.56%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.545, son plancher du 13 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5668, son plafond du 3 janvier.
L'appétit pour le risque a fondu après qu'il ait été montré hier que les dépôts au jour le jour auprès de la Banque Centrale Européenne avaient établi un nouveau record cette semaine, laissant à penser que les établissements financiers régionaux étaient peu enclins à établir des prêts mutuels.
La France a écoulé pour 4.02 milliards d'euros d'obligations à dix ans à un taux moyen de 3.29%, contre 3.18% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé le mois dernier, les enchères dépassant 1.6 fois le montant adjugé, soit nettement moins que les 3.1 de décembre.
Elle est considérée en grand danger de perdre sa notation triple A dans les semaines à venir, après que les agences Fitch et Standard & Poor's l'aient placée sous une surveillance négative, tandis que planaient les incertitudes sur la gestion du problème de la dette de l'Europe.
Il avait montré ce matin que l'activité dans le domaine des services du Royaume-Uni avait augmenté en décembre sans crier gare, apaisant l'angoisse d'un écroulement de l'aconomie du pays.
L'indice des directeurs de achats des prestataires de services établi par le groupe de recherches économiques Markit s'est en effet élevé à 54 pour le mois passé, sa meilleure position depuis juillet, alors qu'une chute à 51.6 était redoutée.
La devise de la Grande-Bretagne a également gagné du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/GBP cédant 0.19% pour descendre à 0.827.
Les Etats-Unis verront dans l'après-midi la publication de l'étude de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé et rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'un autre sur l'activité dans le domaine des services.