Investing.com - Les options sur l'or ont repris quelques couleurs ce mardi, les observateurs attendant un certain nombre de ventes aux enchères d'obligations européennes, ainsi que la rencontre des décideurs de la Réserve Fédérale en fin de journée.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 637.65 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite entre 1 639.85 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 634.6 USD, leur pire.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 658.95, leur plafond du 16.
Une forte pression baissière s'était abattue sur eux hier, les incertitudes politiques en France et aux Pays-Bas se combinant avec les résultats manufacturiers médiocres de la zone euro et de la Chine pour pousser les investisseurs dans les bras du billet vert et de sa sécurité relative.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les opérateurs sont restés sur la touche en attendant les résultats très attendus des émissions de dettes néerlandaises, espagnoles et italiennes devant avoir lieu aujourd'hui.
Les Pays-Bas comptent en effet proposer jusqu'à 2.5 milliards d'euros de bons du trésor à échéance en 2014 et 2017, ce qui devrait constituer un test grandeur nature de la confiance qui leur accordent les marchés.
Leur premier ministre Mark Rutte avait rendu hier la démission de son gouvernement suite à la dispute concernant les coups budgétaires, créant du même coup un vide politique au sein d'un des membres pourtant considéré parmi les plus stables du bloc.
L'agence Moody's a évidemment fait savoir dans la soirée que cet évènement causait un "impact négatif sur le crédit" du pays, mais que la notation AAA avec des perspectives stables de ce dernier n'était pas modifiée.
L'Espagne fera de même avec 2 milliards d'euros à trois et six mois, tandis que l'Italie lacera des emprunts à deux ans.
Les émissions de bons du trésor sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des membres de la zone euro à lever des fonds par eux-mêmes.
Ils garderont aussi un oeil sur les résultats de la réunion sur l'économie et la politique monétaire de la Réserve Fédérale devant se dérouler aujourd'hui et demain.
Ils espère en effet des signes pointant vers une troisième série d'achats d'obligations, désignée sous le nom de troisième assouplissement quantitatif ou QE3, destinée à ssoutenir l'économie américaine.
L'attente de signes avant-coureurs d'apports de capitaux est généralement bénéfique pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateurs de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0.95% pour grimper à 30.89 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.85% pour se retrouver à 3.666 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 637.65 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite entre 1 639.85 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 634.6 USD, leur pire.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 658.95, leur plafond du 16.
Une forte pression baissière s'était abattue sur eux hier, les incertitudes politiques en France et aux Pays-Bas se combinant avec les résultats manufacturiers médiocres de la zone euro et de la Chine pour pousser les investisseurs dans les bras du billet vert et de sa sécurité relative.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les opérateurs sont restés sur la touche en attendant les résultats très attendus des émissions de dettes néerlandaises, espagnoles et italiennes devant avoir lieu aujourd'hui.
Les Pays-Bas comptent en effet proposer jusqu'à 2.5 milliards d'euros de bons du trésor à échéance en 2014 et 2017, ce qui devrait constituer un test grandeur nature de la confiance qui leur accordent les marchés.
Leur premier ministre Mark Rutte avait rendu hier la démission de son gouvernement suite à la dispute concernant les coups budgétaires, créant du même coup un vide politique au sein d'un des membres pourtant considéré parmi les plus stables du bloc.
L'agence Moody's a évidemment fait savoir dans la soirée que cet évènement causait un "impact négatif sur le crédit" du pays, mais que la notation AAA avec des perspectives stables de ce dernier n'était pas modifiée.
L'Espagne fera de même avec 2 milliards d'euros à trois et six mois, tandis que l'Italie lacera des emprunts à deux ans.
Les émissions de bons du trésor sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des membres de la zone euro à lever des fonds par eux-mêmes.
Ils garderont aussi un oeil sur les résultats de la réunion sur l'économie et la politique monétaire de la Réserve Fédérale devant se dérouler aujourd'hui et demain.
Ils espère en effet des signes pointant vers une troisième série d'achats d'obligations, désignée sous le nom de troisième assouplissement quantitatif ou QE3, destinée à ssoutenir l'économie américaine.
L'attente de signes avant-coureurs d'apports de capitaux est généralement bénéfique pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateurs de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0.95% pour grimper à 30.89 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.85% pour se retrouver à 3.666 USD la livre dans le même temps.