Investing.com - La livre sterling a fléchi vers un creux des six dernières semaines face au dollar U.S. ce mercredi, les perspectives des valeurs les plus risquées se trouvant troublées par les craintes pesant actuellement sur la zone euro et la déception causée par les résultats manufacturiers chinois.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5558 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 12 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5567, perdant 0.41%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5421, son plancher du 7 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.5691, son plafond de mardi.
Le moral des marchés s'est trouvé mis à mal par les rumeurs selon lesquelles la notation monétaire triple A de la France pourrait être en danger après que des journaux belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia, en grande difficulté, alimentant la crainte que la France ne doive y tenir un rôle plus important.
Une étude officielle avait par ailleurs montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait reculé en novembre pour le quatrième mois consécutif, plongeant à son pire niveau depuis juillet 2009, sa composante allemande s'effondrant même à son pire niveau en 28 mois.
L'indice préliminaire HSBC des directeurs des achats chinois a également régressé pour le quatrième mois d'affilée dans le même temps, laissant craindre un "atterrissage en catastrophe" de la seconde économie mondiale.
La livre sterling n'a presque pas perdu de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 0.8636.
La Banque d'Angleterre prévoyait de publier aujourd'hui le compte-rendu détaillé de la dernière réunino de son comité d'orientation.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux une série de résultats à la veille de la fête de thanksgiving, et notamment un rapport gouvernemental sur les commandes de biens durables, préfigurant leur volume de production, sans oublier le nombre des nouveaux inscrits au chômage, l'inventaire des réserves de pétrole brut, le taux d'inflation, le niveau des revenus individuels et celui des dépenses des particuliers.
L'université du Michigan fera enfin connaître de son côté son étude sur l'inflation attendue et le moral des consommateurs.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5558 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 12 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5567, perdant 0.41%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5421, son plancher du 7 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.5691, son plafond de mardi.
Le moral des marchés s'est trouvé mis à mal par les rumeurs selon lesquelles la notation monétaire triple A de la France pourrait être en danger après que des journaux belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia, en grande difficulté, alimentant la crainte que la France ne doive y tenir un rôle plus important.
Une étude officielle avait par ailleurs montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait reculé en novembre pour le quatrième mois consécutif, plongeant à son pire niveau depuis juillet 2009, sa composante allemande s'effondrant même à son pire niveau en 28 mois.
L'indice préliminaire HSBC des directeurs des achats chinois a également régressé pour le quatrième mois d'affilée dans le même temps, laissant craindre un "atterrissage en catastrophe" de la seconde économie mondiale.
La livre sterling n'a presque pas perdu de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 0.8636.
La Banque d'Angleterre prévoyait de publier aujourd'hui le compte-rendu détaillé de la dernière réunino de son comité d'orientation.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux une série de résultats à la veille de la fête de thanksgiving, et notamment un rapport gouvernemental sur les commandes de biens durables, préfigurant leur volume de production, sans oublier le nombre des nouveaux inscrits au chômage, l'inventaire des réserves de pétrole brut, le taux d'inflation, le niveau des revenus individuels et celui des dépenses des particuliers.
L'université du Michigan fera enfin connaître de son côté son étude sur l'inflation attendue et le moral des consommateurs.