Investing.com - Le baisse de l'euro contre le dollar a pris fin ce jeudi après qu'un rapport légèrement décevant sur les nouvelles commandes de biens durables aux Etats-Unis ait éclipsé la bonne nouvelle du marché de l'emploi.
La paire EUR/USD a atteint 1.2291 à la mi-séance européenne, cédant tout de même 0.16% après être revenue de son creux du jour à 1.2261.
Elle avait des chances de rencontrer de la résistance à 1.2466, son plafond de lundi, et de trouver du soutien à 1.2115, son plancher du 14 juin.
Des données officielles avaient auparavant indiqué que les nouvelles commandes de biens durables américains, hors moyens de transport, avaient moins augmenté en mai que prévu. Mais un autre rapport a cependant montré que le nombre de demandes d'allocations chômage avait baissé plus vite que prévu.
La monnaie unique européenne a également baissé face à la livre sterling ce jeudi, l'EUR/GBP cédant 0.3% pour se retrouver à 0.8205.
Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale Européenne, a affirmé que les budgets rigoureux ne mettraient pas en danger la fragile reprise économique de la zone euro.
Le journal italien La Repubblica l'a cité, déclarant: "En ce qui concerne l'économie, l'idée selon laquelle les mesures d'austérité pourraient entraîner une stagnation de la croissance est fausse."
La paire EUR/USD a atteint 1.2291 à la mi-séance européenne, cédant tout de même 0.16% après être revenue de son creux du jour à 1.2261.
Elle avait des chances de rencontrer de la résistance à 1.2466, son plafond de lundi, et de trouver du soutien à 1.2115, son plancher du 14 juin.
Des données officielles avaient auparavant indiqué que les nouvelles commandes de biens durables américains, hors moyens de transport, avaient moins augmenté en mai que prévu. Mais un autre rapport a cependant montré que le nombre de demandes d'allocations chômage avait baissé plus vite que prévu.
La monnaie unique européenne a également baissé face à la livre sterling ce jeudi, l'EUR/GBP cédant 0.3% pour se retrouver à 0.8205.
Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale Européenne, a affirmé que les budgets rigoureux ne mettraient pas en danger la fragile reprise économique de la zone euro.
Le journal italien La Repubblica l'a cité, déclarant: "En ce qui concerne l'économie, l'idée selon laquelle les mesures d'austérité pourraient entraîner une stagnation de la croissance est fausse."