Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris cédait du terrain vendredi, affichant un repli de 0,50% à mi-séance, alors que les investisseurs restaient prudents avant les résultats des stress tests des banques espagnoles, attendus plus tard dans la journée.
Jeudi soir, le gouvernement espagnol a annoncé un calendrier détaillé de réformes économiques, ainsi qu'un projet de budget privilégiant la baisse des dépenses.
Les dépenses des ministères seront réduites de 8,9% l'an prochain et les traitements des fonctionnaires seront gelés pour la troisième année consécutive afin de réduire le déficit budgétaire, l'un des plus élevés de la zone euro rapporté au poids de l'économie.
Plus tard dans la journée, les résultats de l’audit indépendant sur les banques espagnoles doivent être présentés, ainsi que l’ampleur de leurs besoins en capitaux. C'est également vendredi soir que que Moody’s doit se prononcer sur la dégradation éventuelle de la note de crédit de l’Espagne.
Sur le front des statistiques, l’inflation a augmenté de 0,1 point à 2,7% sur un an en septembre dans la zone euro, selon l’estimation "flash" publiée par Eurostat. Les analystes tablaient au contraire sur un ralentissement à 2,5%.
En France, l’Insee a confirmé que le PIB avait stagné au deuxième trimestre, comme au cours des deux trimestres précédents. Toujours dans l’Hexagone, les prix à la production ont augmenté de 1,2% en août, tandis que la consommation des ménages a reculé de 0,8% après une hausse de 0,4% en juillet.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en ordre dispersé, vendredi. A mi-séance, BNP Paribas grimpait de 0,92%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole cédaient 0,11% et 0,04% respectivement.
Capgemini engrangeait 2,17% en milieu de séance, soutenu par les prévisions supérieures aux attentes d’Accenture, suivant la forte progression de ses activités d’externalisation. Parmi les autres valeurs technologiques, Alcatel-Lucent reculait de 0,48% et STMicroelectronics abandonnait 0,51%.
EADS s'appréciait de 0,18% à mi-séance, alors que Philippine Airlines a signé un accord en vue de l’acquisition d’avions de ligne Airbus pour un montant de 2,5 milliards de dollars, qui s’ajoutent à une commande de 7 milliards signée en août.
Par ailleurs, Paris et Berlin pourraient tenter de s’assurer une participation combinée de 27% dans l’entité qui serait issue d’une fusion d’EADS et BAE Systems, mais Londres s’y oppose, selon le Financial Times Deutschland.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,48%, le DAX cédait 0,08% et le Footsie 100 avançait de 0,11%.
Trois indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi: les revenus et dépenses des ménages d’août, le PMI de Chicago de septembre et l’indice définitif Reuters-Université du Michigan de confiance du consommateur pour le même mois.
Jeudi soir, le gouvernement espagnol a annoncé un calendrier détaillé de réformes économiques, ainsi qu'un projet de budget privilégiant la baisse des dépenses.
Les dépenses des ministères seront réduites de 8,9% l'an prochain et les traitements des fonctionnaires seront gelés pour la troisième année consécutive afin de réduire le déficit budgétaire, l'un des plus élevés de la zone euro rapporté au poids de l'économie.
Plus tard dans la journée, les résultats de l’audit indépendant sur les banques espagnoles doivent être présentés, ainsi que l’ampleur de leurs besoins en capitaux. C'est également vendredi soir que que Moody’s doit se prononcer sur la dégradation éventuelle de la note de crédit de l’Espagne.
Sur le front des statistiques, l’inflation a augmenté de 0,1 point à 2,7% sur un an en septembre dans la zone euro, selon l’estimation "flash" publiée par Eurostat. Les analystes tablaient au contraire sur un ralentissement à 2,5%.
En France, l’Insee a confirmé que le PIB avait stagné au deuxième trimestre, comme au cours des deux trimestres précédents. Toujours dans l’Hexagone, les prix à la production ont augmenté de 1,2% en août, tandis que la consommation des ménages a reculé de 0,8% après une hausse de 0,4% en juillet.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en ordre dispersé, vendredi. A mi-séance, BNP Paribas grimpait de 0,92%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole cédaient 0,11% et 0,04% respectivement.
Capgemini engrangeait 2,17% en milieu de séance, soutenu par les prévisions supérieures aux attentes d’Accenture, suivant la forte progression de ses activités d’externalisation. Parmi les autres valeurs technologiques, Alcatel-Lucent reculait de 0,48% et STMicroelectronics abandonnait 0,51%.
EADS s'appréciait de 0,18% à mi-séance, alors que Philippine Airlines a signé un accord en vue de l’acquisition d’avions de ligne Airbus pour un montant de 2,5 milliards de dollars, qui s’ajoutent à une commande de 7 milliards signée en août.
Par ailleurs, Paris et Berlin pourraient tenter de s’assurer une participation combinée de 27% dans l’entité qui serait issue d’une fusion d’EADS et BAE Systems, mais Londres s’y oppose, selon le Financial Times Deutschland.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,48%, le DAX cédait 0,08% et le Footsie 100 avançait de 0,11%.
Trois indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi: les revenus et dépenses des ménages d’août, le PMI de Chicago de septembre et l’indice définitif Reuters-Université du Michigan de confiance du consommateur pour le même mois.