Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé sur la défensive face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, malgré les meilleurs résultats depuis trois ans et demi là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, il a limité les dégâts par rapport au yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,11% pour glisser à 98,17, après avoir établi un creux journalier à 97,84.
Le département d'état au commerce américain avait auparavant déclaré que le déficit de la balance commerciale avait fondu de 22,4% en juin, dégringolant ainsi depuis 44,1 jusqu'à 34,2 milliards d'USD.
Les experts n'espéraient pourtant pas le voir passer au-dessous des 43,5 milliards d'USD pour la période considérée.
Il a aussi souligné 2,2% d'exportations supplémentaires pour un total de 191,2 millairds d'USD, et 2,5% d'importations de moins, pour un volume de é25,4 milliards.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,29% pour grimper à 1,3295.
Ce dernier gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Le billet vert a par contre repris quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD commettant un faux pas de 0,04% pour s'élever à 1,5347.
Cette dernière avait connu un bref sursaut grâce à de belles performances du secteur secondaire du Royaume-Uni, alimentant l'optimisme concernant ses perspectives économiques.
Le bureau britannique des statistiques a en effet révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés, gonflant de 2% d'une année sur l'autre.
La prudence restait de mise à la veille de la publication du bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, dont le nouveau gouverneur Mark Carney devrait également présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.
Le franc suisse a toutefois échappé à sa pression, l'USD/CHF subissant une érosion de 0,05% pour toucher le fond à 0,9269.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,6360% pour se retrouver à 0,8960, le NZD/USD arrachant 0,45% pour culminer à 0,7856 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0383.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise rabaissé à l'aube son taux d'intérêt directeur à 2,5%, son plus bas niveau historique, confirmant sa volonté de continuer à ajuster ses actions afin d'encourager la croissance tout en limitant l'inflation.
La devise de la Nouvelle-Zélande s'extrayait pour sa part de son ornière annuelle de la veille, découlant des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés du monde.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,13% pour se situer à 81,81.
En seconde partie de séance européenne, il a limité les dégâts par rapport au yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,11% pour glisser à 98,17, après avoir établi un creux journalier à 97,84.
Le département d'état au commerce américain avait auparavant déclaré que le déficit de la balance commerciale avait fondu de 22,4% en juin, dégringolant ainsi depuis 44,1 jusqu'à 34,2 milliards d'USD.
Les experts n'espéraient pourtant pas le voir passer au-dessous des 43,5 milliards d'USD pour la période considérée.
Il a aussi souligné 2,2% d'exportations supplémentaires pour un total de 191,2 millairds d'USD, et 2,5% d'importations de moins, pour un volume de é25,4 milliards.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,29% pour grimper à 1,3295.
Ce dernier gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Le billet vert a par contre repris quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD commettant un faux pas de 0,04% pour s'élever à 1,5347.
Cette dernière avait connu un bref sursaut grâce à de belles performances du secteur secondaire du Royaume-Uni, alimentant l'optimisme concernant ses perspectives économiques.
Le bureau britannique des statistiques a en effet révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés, gonflant de 2% d'une année sur l'autre.
La prudence restait de mise à la veille de la publication du bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, dont le nouveau gouverneur Mark Carney devrait également présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.
Le franc suisse a toutefois échappé à sa pression, l'USD/CHF subissant une érosion de 0,05% pour toucher le fond à 0,9269.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,6360% pour se retrouver à 0,8960, le NZD/USD arrachant 0,45% pour culminer à 0,7856 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0383.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise rabaissé à l'aube son taux d'intérêt directeur à 2,5%, son plus bas niveau historique, confirmant sa volonté de continuer à ajuster ses actions afin d'encourager la croissance tout en limitant l'inflation.
La devise de la Nouvelle-Zélande s'extrayait pour sa part de son ornière annuelle de la veille, découlant des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés du monde.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,13% pour se situer à 81,81.