Investing.com - Les bourses européennes ont poursuivi sur leur lancée positive ce lundi après-midi, encouragées par le plan de rachat de dettes grec et les bonnes performances de la zone euro et de la Chine.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.12%, le CAC 40 français de 1.13%, et le DAX 30 allemand de 0.77%.
Le moral a en effet retrouvé du mordant après que les autorités grecques aient lancé un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les ministres des finances du bloc euro comptaient quand à eux discuter aujourd'hui à Bruxelles des détails de l'accord débloquant les fonds pour Athènes, auquel le parlement allemand avait donné son feu vert vendredi, ainsi que les détails de la bouée de sauvetage pesant 10 milliards d'euros octroyée à Chypre.
Il avait auparavant été révélé que l'indice définitif des gestionnaires des achats des usines du bloc euro s'était maintenu à 46.2 pour le mois dernier, son plus haut niveau depuis mars, mais demeurait cependant en territoire négatif pour le seizième mois consécutif.
La finance a du coup redressé la barre, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.42 et 1.73%, imités par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.91 et 0.14%.
La périphérie se joignait à la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'élevant respectivement de 2.01 et 2.51%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.86 et 1.29%.
Tout n'était cependant pas rose, Colruyt dégringolant de 5.28% suite à l'aveu pour le premier semestre de revenus avant intérêts et prélèvements inférieurs aux attentes des analystes avec 230.8 millions d'euros.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a conquis 0.49%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton raflaient ainsi 1.5 et 0.76%, imités par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.31 et 1.4%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.74%, son rival BP se contentant de 0.45%.
La City gardait plutôt le sourire, la Royal Bank of Scotland grignotant 0.07%, HSBC Holdings 0.08%, et Barclays se renforçant de 0.85%, alors que Lloyds Banking se rétractant cependant de 0.6%.
Il était aussi à noter que Cable & Wireless Communications s'envolait de 5.29% après que Bahrain Telecommunications Co. ait accepté d'en acquérir la branche monégasque.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.52%.
Une étude avait confirmé à l'aube que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC étant remonté depuis 49.5 vers 50.5 pour novembre, laissant augurer d'une résurgence de l'activité économique du pays.
L'institut de gestion des approvisionnements devrait de son côté conclure la journée avec un rapport sur l'évolution des industries américaines.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.12%, le CAC 40 français de 1.13%, et le DAX 30 allemand de 0.77%.
Le moral a en effet retrouvé du mordant après que les autorités grecques aient lancé un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les ministres des finances du bloc euro comptaient quand à eux discuter aujourd'hui à Bruxelles des détails de l'accord débloquant les fonds pour Athènes, auquel le parlement allemand avait donné son feu vert vendredi, ainsi que les détails de la bouée de sauvetage pesant 10 milliards d'euros octroyée à Chypre.
Il avait auparavant été révélé que l'indice définitif des gestionnaires des achats des usines du bloc euro s'était maintenu à 46.2 pour le mois dernier, son plus haut niveau depuis mars, mais demeurait cependant en territoire négatif pour le seizième mois consécutif.
La finance a du coup redressé la barre, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.42 et 1.73%, imités par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.91 et 0.14%.
La périphérie se joignait à la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'élevant respectivement de 2.01 et 2.51%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.86 et 1.29%.
Tout n'était cependant pas rose, Colruyt dégringolant de 5.28% suite à l'aveu pour le premier semestre de revenus avant intérêts et prélèvements inférieurs aux attentes des analystes avec 230.8 millions d'euros.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a conquis 0.49%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton raflaient ainsi 1.5 et 0.76%, imités par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.31 et 1.4%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.74%, son rival BP se contentant de 0.45%.
La City gardait plutôt le sourire, la Royal Bank of Scotland grignotant 0.07%, HSBC Holdings 0.08%, et Barclays se renforçant de 0.85%, alors que Lloyds Banking se rétractant cependant de 0.6%.
Il était aussi à noter que Cable & Wireless Communications s'envolait de 5.29% après que Bahrain Telecommunications Co. ait accepté d'en acquérir la branche monégasque.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.52%.
Une étude avait confirmé à l'aube que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC étant remonté depuis 49.5 vers 50.5 pour novembre, laissant augurer d'une résurgence de l'activité économique du pays.
L'institut de gestion des approvisionnements devrait de son côté conclure la journée avec un rapport sur l'évolution des industries américaines.