Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que la prudence demeurait à l'ordre du jour concernant les rumeurs persistantes de nouvelles actions dans la lutte contre le problème du surendettement de la part de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'euro fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.2369.
La BCE était en effet très surveillée, en raison de l'espoir qu'elle s'arrange pour rabaisser les taux des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après que Mario Draghi, son président, ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Il avait aussi précisé que tout recours à une manoeuvre de ce genre serait conditionné aux difficultés rencontrées par les gouvernements pour se financer et à l'activation du fonds de secours régional afin de lui faire acquérir de ses obligations, en acceptant des conditions draconiennes et une surveillance stricte.
Mais l'agence Standard & Poor's a rabaissé hier ses perspectives pour la notation grecque de stable vers négative, affirmant que l'aggravation de sa situation économique augmentait les chances qu'elle ait besoin de davantage d'aides de la part des bailleurs de fonds de l'Union Européenne.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.19% pour chuter à 1.5591.
Il a toutefois subi la pression du yen, l'USD/JPY reculant de 0.32% pour sombrer à 78.35, mais pas du franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.23% pour culminer à 0.9708.
Les autorités nippones avaient signalé en début de matinée que le compte courant du pays avait vu son solde positif connaître en juin une augmentation dépassant les espérances, passant aiinsi de 280 à 770 milliards de JPY.
Leurs homologues helvètes ont quand à elles révélé que leur baromètre de l'humeur des consommateurs de la confédération avait régressé de -8 vers -17 pour le second trimestre, alors qu'une remontée à -4 était espérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 0.9968, l'AUD/USD arrachant 0.01% pour se hisser à 1.0553 et le NZD/USD se laissant arracher 0.34% pour toucher le fond à 0.8134.
Des chiffres officiels avaient auparavant souligné que les prêts immobiliers avaient connu en Australie une progression décevante pour juin, avec seulement 1.3%, après avoir laissé échapper 0.9% en mai.
Les experts pensaient pourtant les voir avancer de 2.1% pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 82.39.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec une étude portant sur la productivité non agricole, ainsi qu'avec l'inventaire hebdomadaire de leurs réserves pétrolières.
En première partie de séance européenne, l'euro fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.2369.
La BCE était en effet très surveillée, en raison de l'espoir qu'elle s'arrange pour rabaisser les taux des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après que Mario Draghi, son président, ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Il avait aussi précisé que tout recours à une manoeuvre de ce genre serait conditionné aux difficultés rencontrées par les gouvernements pour se financer et à l'activation du fonds de secours régional afin de lui faire acquérir de ses obligations, en acceptant des conditions draconiennes et une surveillance stricte.
Mais l'agence Standard & Poor's a rabaissé hier ses perspectives pour la notation grecque de stable vers négative, affirmant que l'aggravation de sa situation économique augmentait les chances qu'elle ait besoin de davantage d'aides de la part des bailleurs de fonds de l'Union Européenne.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.19% pour chuter à 1.5591.
Il a toutefois subi la pression du yen, l'USD/JPY reculant de 0.32% pour sombrer à 78.35, mais pas du franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.23% pour culminer à 0.9708.
Les autorités nippones avaient signalé en début de matinée que le compte courant du pays avait vu son solde positif connaître en juin une augmentation dépassant les espérances, passant aiinsi de 280 à 770 milliards de JPY.
Leurs homologues helvètes ont quand à elles révélé que leur baromètre de l'humeur des consommateurs de la confédération avait régressé de -8 vers -17 pour le second trimestre, alors qu'une remontée à -4 était espérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 0.9968, l'AUD/USD arrachant 0.01% pour se hisser à 1.0553 et le NZD/USD se laissant arracher 0.34% pour toucher le fond à 0.8134.
Des chiffres officiels avaient auparavant souligné que les prêts immobiliers avaient connu en Australie une progression décevante pour juin, avec seulement 1.3%, après avoir laissé échapper 0.9% en mai.
Les experts pensaient pourtant les voir avancer de 2.1% pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 82.39.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec une étude portant sur la productivité non agricole, ainsi qu'avec l'inventaire hebdomadaire de leurs réserves pétrolières.