Investing.com - Les bourses européennes étaient largement en forme ce mercredi, le moral ayant repris des couleurs après que la Chine ait déclaré vouloir augmenter ses investissements en zone euro et soutenir la région, tandis que l'évolution de la situation grecque restait à l'esprit.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.7%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 1%.
L'atmosphère s'est nettement éclaircie après que Zhou Xiaochuan, gouverneur de la Banque Populaire de Chine, ait affirmé estimer les problèmes du bloc euro solubles, soutenant les mesures prises par la Banque Centrale Européenne pendant la crise.
Il a également déclaré que son pays s'investirait davantage dans cette direction, grâce notamment au Fonds de Stabilisation Financière Européen, servant de bouée de sauvetage à la région.
La finance était sous les feux de l'actualité, BNP PAribas, premier prêteur français, engrangeant 5.2% après avoir enregistré, selon ses propres termes, "de bonnes performances malgré le handicapt du surendettement grec".
Ses bénéfices étaient toutefois limités à 765 millions d'euros pour le quatrième trimestre, contre 1.55 milliards sur la même période de l'année dernière, et ses recettes ont plpongé de 6.1% pour se retrouver à 9.69 milliards, le poids mort dû à ses actifs souverains grecs totalisant 567 millions.
Ses collègues n'étaient pas en reste, sa compatriote la Société Générale prenant 3%, l'italien Unicredit 2.15% et la Deutsche Bank allemande 1.35%.
Les investisseurs attendaient de nouvelles évolutions dans la situation de la Grèce, les ministres des finances de l'Eurogroupe ayant annulé leur réunion prévue aujourd'hui à Bruxelles, qui sera remplacée par une téléconférence destinée à discuter de l'éventuelle approbation du second plan de secours à la nation hellène.
Le brasseur néerlandais Heinekenn a pour sa part gonflé de 3.95% suite à l'annonce de profits annuels dépassant les attentes et de nouveux objectifs de réduction des frais afin de conpenser la hausse des prix des ingrédients.
Un rapport préliminaire avait auparavant signalé que l'économie allemande avait moins régressé lors des trois derniers mois de l'année 2011 qu'il n'avait été craint, en ne laissant échapper que 0.2%, celle de la France arrachant 0.2% aussi alors qu'il était redouté qu'elle ne les perde, tandis que celle de l'Italie reculait de 0.7%.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.25% à l'orée de la publication du rapport sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, celui-ci devant probablement montrer si les décideurs comptent encore mettre en place de nouvelles mesures de stimulation monétaire dans les mois à venir après que la banque centrale britannique ait déjà renforcé la semaine passée son programme d'achats d'actifs.
Le secteur financier du pays a suivi le chemin tracé par ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland raflant 2.95%, HSBC Holdings 2.25% et Barclays 2.2%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une progression de 0.45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.6% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.65%.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la diffusion de l'indice manufacturier de la région de New York, ainsi que des chiffres de la production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.7%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 1%.
L'atmosphère s'est nettement éclaircie après que Zhou Xiaochuan, gouverneur de la Banque Populaire de Chine, ait affirmé estimer les problèmes du bloc euro solubles, soutenant les mesures prises par la Banque Centrale Européenne pendant la crise.
Il a également déclaré que son pays s'investirait davantage dans cette direction, grâce notamment au Fonds de Stabilisation Financière Européen, servant de bouée de sauvetage à la région.
La finance était sous les feux de l'actualité, BNP PAribas, premier prêteur français, engrangeant 5.2% après avoir enregistré, selon ses propres termes, "de bonnes performances malgré le handicapt du surendettement grec".
Ses bénéfices étaient toutefois limités à 765 millions d'euros pour le quatrième trimestre, contre 1.55 milliards sur la même période de l'année dernière, et ses recettes ont plpongé de 6.1% pour se retrouver à 9.69 milliards, le poids mort dû à ses actifs souverains grecs totalisant 567 millions.
Ses collègues n'étaient pas en reste, sa compatriote la Société Générale prenant 3%, l'italien Unicredit 2.15% et la Deutsche Bank allemande 1.35%.
Les investisseurs attendaient de nouvelles évolutions dans la situation de la Grèce, les ministres des finances de l'Eurogroupe ayant annulé leur réunion prévue aujourd'hui à Bruxelles, qui sera remplacée par une téléconférence destinée à discuter de l'éventuelle approbation du second plan de secours à la nation hellène.
Le brasseur néerlandais Heinekenn a pour sa part gonflé de 3.95% suite à l'annonce de profits annuels dépassant les attentes et de nouveux objectifs de réduction des frais afin de conpenser la hausse des prix des ingrédients.
Un rapport préliminaire avait auparavant signalé que l'économie allemande avait moins régressé lors des trois derniers mois de l'année 2011 qu'il n'avait été craint, en ne laissant échapper que 0.2%, celle de la France arrachant 0.2% aussi alors qu'il était redouté qu'elle ne les perde, tandis que celle de l'Italie reculait de 0.7%.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.25% à l'orée de la publication du rapport sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, celui-ci devant probablement montrer si les décideurs comptent encore mettre en place de nouvelles mesures de stimulation monétaire dans les mois à venir après que la banque centrale britannique ait déjà renforcé la semaine passée son programme d'achats d'actifs.
Le secteur financier du pays a suivi le chemin tracé par ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland raflant 2.95%, HSBC Holdings 2.25% et Barclays 2.2%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une progression de 0.45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.6% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.65%.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la diffusion de l'indice manufacturier de la région de New York, ainsi que des chiffres de la production industrielle.