Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé le sourire ce jeudi, encouragées par des performances économiques positives de la part de la France et de l'Allemagne, ainsi que par l'espoir d'un accord imminent au sujet de la Grèce.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.63%, le CAC 40 français de 0.46%, et le DAX 30 allemand de 0.77%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet révélé que son indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Celui des activités de service a par contre trébuché, passant de 48.4 à 48 au lieu de grimper aux 48.5 espérés.
Le secteur secondaire français a lui aussi dépassé les attentes en se hissant de 43.7 à 44.7, et son tertiaire se renforçait de 44.6 jusqu'à 46.1 dans le même temps.
L'ambiance s'est d'autre part éclaircie après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
La finance était en grande forme, la France voyant BNP Paribas et la Société Générale empocher respectivement 1.11 et 0.71%, surpassées par les Deutsche Bank et Commerzbank allemandes avec 1.55 et 2.79%.
La périphérie se joignait à la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 0.88 et 1.21%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.87 et 1.23%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.45%, tiré vers le haut par des extracteurs de matières premières à l'honneur.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, encaissait ainsi 1.75% et son rival BP 0.15%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.68 et 0.84%, Eurasian Natural Resources faisant encore mieux avec 1.73% et le sidérurgiste Evraz se plaçant dans le peloton de tête avec 3.25%.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings grignotant 0.1%, la Royal Bank of Scotland 0.23% et Barclays 0.32%, tandis que Lloyds Banking décevait en trébuchant de 0.13%.
SABMiller s'envolait par contre de 5.06% après avoir revendiqué 17% de rentrées supplémentaires, pour un total de 3.17 milliards d'USD, dépassant ainsi les estimations des analystes.
Il ne fallait pas non plus négliger EasyJet, seconde compagnie aérienne à prix cassés du continent, s'élevant de 1.59% après que Barclays ait cessé de l'estimer décevante, constatant que la compagnie avait à la fois "augmenté ses recettes et diminué ses coûts hors carburant".
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.58%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.47%.
Il avait par ailleurs été révélé à l'aube que l'indice manufacturier des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre, rassurant ainsi ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
Le volume des transactions d'aujourd'hui devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.63%, le CAC 40 français de 0.46%, et le DAX 30 allemand de 0.77%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet révélé que son indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Celui des activités de service a par contre trébuché, passant de 48.4 à 48 au lieu de grimper aux 48.5 espérés.
Le secteur secondaire français a lui aussi dépassé les attentes en se hissant de 43.7 à 44.7, et son tertiaire se renforçait de 44.6 jusqu'à 46.1 dans le même temps.
L'ambiance s'est d'autre part éclaircie après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
La finance était en grande forme, la France voyant BNP Paribas et la Société Générale empocher respectivement 1.11 et 0.71%, surpassées par les Deutsche Bank et Commerzbank allemandes avec 1.55 et 2.79%.
La périphérie se joignait à la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 0.88 et 1.21%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.87 et 1.23%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.45%, tiré vers le haut par des extracteurs de matières premières à l'honneur.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, encaissait ainsi 1.75% et son rival BP 0.15%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.68 et 0.84%, Eurasian Natural Resources faisant encore mieux avec 1.73% et le sidérurgiste Evraz se plaçant dans le peloton de tête avec 3.25%.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings grignotant 0.1%, la Royal Bank of Scotland 0.23% et Barclays 0.32%, tandis que Lloyds Banking décevait en trébuchant de 0.13%.
SABMiller s'envolait par contre de 5.06% après avoir revendiqué 17% de rentrées supplémentaires, pour un total de 3.17 milliards d'USD, dépassant ainsi les estimations des analystes.
Il ne fallait pas non plus négliger EasyJet, seconde compagnie aérienne à prix cassés du continent, s'élevant de 1.59% après que Barclays ait cessé de l'estimer décevante, constatant que la compagnie avait à la fois "augmenté ses recettes et diminué ses coûts hors carburant".
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.58%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.47%.
Il avait par ailleurs été révélé à l'aube que l'indice manufacturier des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre, rassurant ainsi ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
Le volume des transactions d'aujourd'hui devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.