Futures Pros - Les options sur le blé ont progressé ce mercredi, atteignant un nouveau sommet pour la journée après diffusion de la nouvelle indiquant que la poursuite de la sècheresse russo-ukrainienne pourrait gêner les semailles pour la prochaine récolte.
Sur le marché de Chicago, celles devant être livrées en décembre se sont effectivement échangées à 739.13 dollars U.S. les 5 000 boisseaux.
Telvent DTN avait annoncé mardi que les régions productrices de la céréale de Russie et d'Ukraine avaient des chances de subir des "conditions extrèmement sèches" jusqu'au 20 septembre, mettant à mal les semailles et la germination.
La production mondiale de blé a baissé aprèss que la pire sècheresse en 50 ans ait frappé la récolte de printemps russe, poussant le gouvernement à mettre fin aux exportations au moins jusqu'à la récolte de l'année prochaine.
La Russie a exporté 17.5 millions de tonnes de sa production en 2009-2010, faisant d'elle le troisième exportateur de la dernière saison. Suite à son embargo sur le blé, les prix en août ont atteint leur plus haut niveau en 23 mois.
De son côté, l'Egypte, le plus grand acheteur mondial, a poursuivi ses achats, stimulant la demande. Elle compte acheter au moins 55 000 tonnes en cours de journée, afin d'être livrées en novembre.
Le maïs à livrer en décembre, de son côté, a progressé pour le cinquième jour consécutif, se vendant à 497.25 dollars U.S. les 5 000 boisseaux.
Sur le marché de Chicago, celles devant être livrées en décembre se sont effectivement échangées à 739.13 dollars U.S. les 5 000 boisseaux.
Telvent DTN avait annoncé mardi que les régions productrices de la céréale de Russie et d'Ukraine avaient des chances de subir des "conditions extrèmement sèches" jusqu'au 20 septembre, mettant à mal les semailles et la germination.
La production mondiale de blé a baissé aprèss que la pire sècheresse en 50 ans ait frappé la récolte de printemps russe, poussant le gouvernement à mettre fin aux exportations au moins jusqu'à la récolte de l'année prochaine.
La Russie a exporté 17.5 millions de tonnes de sa production en 2009-2010, faisant d'elle le troisième exportateur de la dernière saison. Suite à son embargo sur le blé, les prix en août ont atteint leur plus haut niveau en 23 mois.
De son côté, l'Egypte, le plus grand acheteur mondial, a poursuivi ses achats, stimulant la demande. Elle compte acheter au moins 55 000 tonnes en cours de journée, afin d'être livrées en novembre.
Le maïs à livrer en décembre, de son côté, a progressé pour le cinquième jour consécutif, se vendant à 497.25 dollars U.S. les 5 000 boisseaux.