Investing.com - La semaine dernière aura vu l'euro finir à son meilleur niveau des 5 derniers mois contre un dollar U.S. globalement affaibli, après que de médiocres résultats américains aient alimenté les rumeurs de nouvelles mesures stimulatrices de la part de la Réserve Fédérale afin de ranimer une économie ralentissante.
Les chiffres dévoilés vendredi ont montré que les commandes de biens durables américains ont baissé en août de manière conforme aux prévisions, les ventes de logements neufs ayant stagné sur la même période. Des données officielles ont également indiqué jeudi que les nouvelles inscriptions au chômage avaient été plus nombreuses au cours de la semaine précédente que prévu.
Dans leur communiqué concernant la politique monétaire pour octobre, les représentants de la Fed ont indiqué que la relance économique du pays resterait modérée à court terme et fait part de leurs inquiétudes concernant une croissance nationale paresseuse et la persistance de l'inflation à un bas niveau.
La livre sterling a quand à elle fini la semaine sur un pic des 6 dernières semaines, le dollar U.S. ayant également fléchi devant le franc suisse, et ayant terminé à son cours le plus bas de la semaine contre le yen, le pire depuis l'intervention japonaise du 15 septembre.
Ailleurs, le dollar australien était dans sa meilleure forme depuis juillet 2008, alors que se répandaient les bruits que la banque centrale pourrait augmenter ses taux d'intérêt d'ici la fin de l'année.
La semaine à venir devrait voir les Etats-Unis dévoiler leur volume hebdomadaire des demandes d'allocations et le taux de chômage, la confiance des consommateurs et la production manufacturière. Il divulguera également les chiffres de son PIB, alors que Ben Bernanke, chef de la Réserve Fédérale devrait prononcer un discous au cours d'une conférence publique.
Dans la zone euro, l'Allemagne mènera la danse, avec les chiffres de l'humeur des consommateurs, des ventes au détail et de l'inflation, ainsi que du chômage. Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, devrait prendre la parole au cours de deux réunions.
La Grande-Bretagne annoncera de son côté l'état de son compte courant et de sa production manufacturière, ainsi que les résultats de la confiance de ses consommateurs et des prix de ses logements. Le Japon divulguera quand à lui les chiffres cruciaux de sa production industrielle, tandis que la Suisse fera de même avec son indice des résultats prévisionnels ainsi que les volumes de ses ventes au détail.
L'Australie dévoilera enfin le nombre de permis de construire qu'elle a accordés, alors que la Nouvelle-Zélande devrait donner les chiffres du climat de ses affaires et le Canada faire son rapport mensuel sur le PIB.
Investing.com a rassemblé pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influencer les marchés pour la semaine à venir.
Lundi 27 septembre
Jean-Claude Trichet, président de la BCE, inaugurera la semaine en faisant une apparition lors de deux conférences. Ses interventions seront décortiquées de près afin d'en tirer des indices sur la direction de la politique monétaire à venir.
Le gouverneur de la Banque du Japon prononcera également un discours, qui sera analysé en profondeur afin d'y dénicher des signes d'une nouvelle intervention du pays sur le marché des changes.
Mardi 28 septembre
Les Etats-Unis donneront les chiffres de la confiance des consommateurs, précurseur de leurs dépenses, constituant environ 70% de toute leur activité économique. Ils feront de même avec les données issues d'experts sur les prix des habitations.
Concernant la zone euro, l'Allemagne donnera l'état de l'humeur de ses consommateurs et l'estimation préliminaire de son inflation des prix à la consommation. Le Royaume-Uni donnera les résultats définitifs de son PIB, signe principal de croissance économique, ainsi que ceux de son compte courant et les chiffres des spécialistes des ventes au détail.
La Suisse publiera un indice basé sur des signaux économiques basés sur les consommateurs, et le Japon fera connaître le volume de sa production manufacturière, la Nouvelle-Zélande ayant prévu de dévoiler les chiffres très attendus de la balance de son commerce extérieur.
Mercredi 29 septembre
Aux Etats-Unis, Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, devraient se prononcer au sujet de l'économie nationale. Ses commentaires seront scrupuleusement analysés dans l'espoir d'en extraire des signes pointant vers la direction future de la politique monétaire. le pays dévoilera également l'état de ses réserves de pétrole brut.
Le Royaume-Uni donnera les chiffres des prêts nets aux individus,ainsi que le nombre des prêts accordés, signe fort de la santé du secteur immobilier. Le groupe d'études économiques Gfk publiera ensuite un un rapport sur la confiance des consommateurs britanniques.
En Suisse, l'institut de recherches KOF dévoilera son indice des principaux signaux économiques, mis au point pour prédire la direction empruntée par l'économie pour les 6 mois à venir.
De son côté, le Canada donnera les résultats de son indice des prix des matières premières, signe avant-coureur d'inflation à la consommation, alors que la Nouvelle-Zélande fera connaître le volume de ses permis de construire accordés.
L'Australie publiera un indice de ses signes avant-coureurs économiques, ainsi que le volume des ventes de logements neufs. Le Japon fera de même avec ceux de ses ventes au détail, ainsi que l'estimation préliminaire de sa production industrielle.
Jeudi 30 septembre
Les Etats-Unis divulgueront les chiffres de son produit intérieur brut, indicateur principal de leur croissance économique, ainsi que ceux, très attendus, des inscriptions au chômage et de l'activité manufacturière dans la zone de Chicago.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait faire un discours sur l'état de l'économie américaine, qui sera écouté avec attention car ils pourrait renfermer des indications sur la politique monétaire à venir.
La zone euro devrait produire son évaluation préliminaire de l'inflation, et l'Allemagne devrait faire son rapport sur les variations du taux de chômage.
La Grande-Bretagne publiera les données des spécialistes sur les prix des logements, alors que Paul Tucker et Paul Fischer, tous deux membres du comité d'orientation de la politique monétaire de la Banque d'Angleterre, ont prévu de prononcer des discours portant sur l'économie du pays.
L'Australie fera connaître les chiffres officiels des permis de construire délivrés, alors que la Réserve Bancaire d'Australie publiera son étude sur la stabilité financière, évaluant l'état du système financier et les risques pesant dessus.
Le Canada divulguera son produit intérieur brut. Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, discutera ensuite de l'état de l'économie nationale.
La Nouvelle-Zélande devoilera l'état de sa confiance dans les affaires, alors que le Japon fera de même avec le taux très attendu de son chômage, des dépenses de ses ménages et de ses prix à la consommation, signe avant-coureur d'inflation générale.
Vendredi premier octobre
Les Etats-Unis concluront leur semaine avec les chiffres clefs des dépenses et des revenus personnels, alors que l'université du Michigan donnera les résultats révisés de son humeur des consommateurs et de l'inflation attendue. Le pays fera également connaître les résultats officiels de l'état de sa production manufacturière, du total de ses ventes de véhicules et de ses dépenses dans le bâtiment.
La zone euro dévoilera les chiffres très attendus du taux de chômage de la région et de son activité manufacturière, l'Allemagne devant communiquer le volume de ses ventes au détail.
De son côté, le Royaume-Uni fera également un rapport sur son activité manufacturière et les prix de ses logements, signe avant-coureur de l'état de santé de son secteur immobilier.
La Suisse donnera quand à elle les résultats très attendus de ses ventes au détail et de son activité manufacturière, l'Australie devant faire de même avec ceux des prix de ses matières premières et de son inflation.
Les chiffres dévoilés vendredi ont montré que les commandes de biens durables américains ont baissé en août de manière conforme aux prévisions, les ventes de logements neufs ayant stagné sur la même période. Des données officielles ont également indiqué jeudi que les nouvelles inscriptions au chômage avaient été plus nombreuses au cours de la semaine précédente que prévu.
Dans leur communiqué concernant la politique monétaire pour octobre, les représentants de la Fed ont indiqué que la relance économique du pays resterait modérée à court terme et fait part de leurs inquiétudes concernant une croissance nationale paresseuse et la persistance de l'inflation à un bas niveau.
La livre sterling a quand à elle fini la semaine sur un pic des 6 dernières semaines, le dollar U.S. ayant également fléchi devant le franc suisse, et ayant terminé à son cours le plus bas de la semaine contre le yen, le pire depuis l'intervention japonaise du 15 septembre.
Ailleurs, le dollar australien était dans sa meilleure forme depuis juillet 2008, alors que se répandaient les bruits que la banque centrale pourrait augmenter ses taux d'intérêt d'ici la fin de l'année.
La semaine à venir devrait voir les Etats-Unis dévoiler leur volume hebdomadaire des demandes d'allocations et le taux de chômage, la confiance des consommateurs et la production manufacturière. Il divulguera également les chiffres de son PIB, alors que Ben Bernanke, chef de la Réserve Fédérale devrait prononcer un discous au cours d'une conférence publique.
Dans la zone euro, l'Allemagne mènera la danse, avec les chiffres de l'humeur des consommateurs, des ventes au détail et de l'inflation, ainsi que du chômage. Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, devrait prendre la parole au cours de deux réunions.
La Grande-Bretagne annoncera de son côté l'état de son compte courant et de sa production manufacturière, ainsi que les résultats de la confiance de ses consommateurs et des prix de ses logements. Le Japon divulguera quand à lui les chiffres cruciaux de sa production industrielle, tandis que la Suisse fera de même avec son indice des résultats prévisionnels ainsi que les volumes de ses ventes au détail.
L'Australie dévoilera enfin le nombre de permis de construire qu'elle a accordés, alors que la Nouvelle-Zélande devrait donner les chiffres du climat de ses affaires et le Canada faire son rapport mensuel sur le PIB.
Investing.com a rassemblé pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influencer les marchés pour la semaine à venir.
Lundi 27 septembre
Jean-Claude Trichet, président de la BCE, inaugurera la semaine en faisant une apparition lors de deux conférences. Ses interventions seront décortiquées de près afin d'en tirer des indices sur la direction de la politique monétaire à venir.
Le gouverneur de la Banque du Japon prononcera également un discours, qui sera analysé en profondeur afin d'y dénicher des signes d'une nouvelle intervention du pays sur le marché des changes.
Mardi 28 septembre
Les Etats-Unis donneront les chiffres de la confiance des consommateurs, précurseur de leurs dépenses, constituant environ 70% de toute leur activité économique. Ils feront de même avec les données issues d'experts sur les prix des habitations.
Concernant la zone euro, l'Allemagne donnera l'état de l'humeur de ses consommateurs et l'estimation préliminaire de son inflation des prix à la consommation. Le Royaume-Uni donnera les résultats définitifs de son PIB, signe principal de croissance économique, ainsi que ceux de son compte courant et les chiffres des spécialistes des ventes au détail.
La Suisse publiera un indice basé sur des signaux économiques basés sur les consommateurs, et le Japon fera connaître le volume de sa production manufacturière, la Nouvelle-Zélande ayant prévu de dévoiler les chiffres très attendus de la balance de son commerce extérieur.
Mercredi 29 septembre
Aux Etats-Unis, Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, devraient se prononcer au sujet de l'économie nationale. Ses commentaires seront scrupuleusement analysés dans l'espoir d'en extraire des signes pointant vers la direction future de la politique monétaire. le pays dévoilera également l'état de ses réserves de pétrole brut.
Le Royaume-Uni donnera les chiffres des prêts nets aux individus,ainsi que le nombre des prêts accordés, signe fort de la santé du secteur immobilier. Le groupe d'études économiques Gfk publiera ensuite un un rapport sur la confiance des consommateurs britanniques.
En Suisse, l'institut de recherches KOF dévoilera son indice des principaux signaux économiques, mis au point pour prédire la direction empruntée par l'économie pour les 6 mois à venir.
De son côté, le Canada donnera les résultats de son indice des prix des matières premières, signe avant-coureur d'inflation à la consommation, alors que la Nouvelle-Zélande fera connaître le volume de ses permis de construire accordés.
L'Australie publiera un indice de ses signes avant-coureurs économiques, ainsi que le volume des ventes de logements neufs. Le Japon fera de même avec ceux de ses ventes au détail, ainsi que l'estimation préliminaire de sa production industrielle.
Jeudi 30 septembre
Les Etats-Unis divulgueront les chiffres de son produit intérieur brut, indicateur principal de leur croissance économique, ainsi que ceux, très attendus, des inscriptions au chômage et de l'activité manufacturière dans la zone de Chicago.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait faire un discours sur l'état de l'économie américaine, qui sera écouté avec attention car ils pourrait renfermer des indications sur la politique monétaire à venir.
La zone euro devrait produire son évaluation préliminaire de l'inflation, et l'Allemagne devrait faire son rapport sur les variations du taux de chômage.
La Grande-Bretagne publiera les données des spécialistes sur les prix des logements, alors que Paul Tucker et Paul Fischer, tous deux membres du comité d'orientation de la politique monétaire de la Banque d'Angleterre, ont prévu de prononcer des discours portant sur l'économie du pays.
L'Australie fera connaître les chiffres officiels des permis de construire délivrés, alors que la Réserve Bancaire d'Australie publiera son étude sur la stabilité financière, évaluant l'état du système financier et les risques pesant dessus.
Le Canada divulguera son produit intérieur brut. Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, discutera ensuite de l'état de l'économie nationale.
La Nouvelle-Zélande devoilera l'état de sa confiance dans les affaires, alors que le Japon fera de même avec le taux très attendu de son chômage, des dépenses de ses ménages et de ses prix à la consommation, signe avant-coureur d'inflation générale.
Vendredi premier octobre
Les Etats-Unis concluront leur semaine avec les chiffres clefs des dépenses et des revenus personnels, alors que l'université du Michigan donnera les résultats révisés de son humeur des consommateurs et de l'inflation attendue. Le pays fera également connaître les résultats officiels de l'état de sa production manufacturière, du total de ses ventes de véhicules et de ses dépenses dans le bâtiment.
La zone euro dévoilera les chiffres très attendus du taux de chômage de la région et de son activité manufacturière, l'Allemagne devant communiquer le volume de ses ventes au détail.
De son côté, le Royaume-Uni fera également un rapport sur son activité manufacturière et les prix de ses logements, signe avant-coureur de l'état de santé de son secteur immobilier.
La Suisse donnera quand à elle les résultats très attendus de ses ventes au détail et de son activité manufacturière, l'Australie devant faire de même avec ceux des prix de ses matières premières et de son inflation.