Après son petit rebond de la veille, la Bourse de Paris devrait ralentir l'allure vendredi matin en l'absence d'avancée sur le dossier grec et d'indicateurs à l'agenda du jour.
Vers 8h10, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison juin - perd 17 points en direction de 4786,5 points, prémisse d'une ouverture plutôt prudente.
La réunion très attendue de l'Eurogroupe s'est achevée hier soir sur un nouvel échec des discussions en Athènes et les créanciers internationaux.
'Si aucun accord n'est trouvé, nous pensons que les européens chercheront à constituer une sorte de 'zone grise' permettant d'éviter le scénario d'un Grexit suite au défaut du pays', expliquent les stratèges de BofA-Merrill Lynch.
'L'équilibre serait fragile, mais l'idée d'éviter un événement irréversible est aujourd'hui la priorité des européens', ajoute la banque américaine, qui pense que la BCE jouerait un rôle central dans ce processus de limitation de la propagation de la crise.
A Wall Street, les investisseurs ont choisi d'ignorer le dossier grec hier en arrachant littéralement les cours à la hausse.
L'objectif semble être de conclure le premier semestre au zénith avant l'expiration aujourd'hui de toute une série de contrats à terme et d'options, échéance connue sous le nom de séance des 'quatre sorcières'.
A l'exception des prix allemands à la production, aucun indicateur important ne figure à l'agenda aujourd'hui en Europe.
Dans sa dernière note de conjoncture, l'Insee évoque toutefois une reprise qui 'se diffuse dans la zone euro' et prévoit une croissance de 1,2% cette année en France (après +0,2% en 2014), soit la plus forte hausse depuis 2011.
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Vers 8h10, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison juin - perd 17 points en direction de 4786,5 points, prémisse d'une ouverture plutôt prudente.
La réunion très attendue de l'Eurogroupe s'est achevée hier soir sur un nouvel échec des discussions en Athènes et les créanciers internationaux.
'Si aucun accord n'est trouvé, nous pensons que les européens chercheront à constituer une sorte de 'zone grise' permettant d'éviter le scénario d'un Grexit suite au défaut du pays', expliquent les stratèges de BofA-Merrill Lynch.
'L'équilibre serait fragile, mais l'idée d'éviter un événement irréversible est aujourd'hui la priorité des européens', ajoute la banque américaine, qui pense que la BCE jouerait un rôle central dans ce processus de limitation de la propagation de la crise.
A Wall Street, les investisseurs ont choisi d'ignorer le dossier grec hier en arrachant littéralement les cours à la hausse.
L'objectif semble être de conclure le premier semestre au zénith avant l'expiration aujourd'hui de toute une série de contrats à terme et d'options, échéance connue sous le nom de séance des 'quatre sorcières'.
A l'exception des prix allemands à la production, aucun indicateur important ne figure à l'agenda aujourd'hui en Europe.
Dans sa dernière note de conjoncture, l'Insee évoque toutefois une reprise qui 'se diffuse dans la zone euro' et prévoit une croissance de 1,2% cette année en France (après +0,2% en 2014), soit la plus forte hausse depuis 2011.
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