La Banque d'Angleterre (BoE) a annoncé jeudi le maintien de son taux de référence à 0,5% et de son programme de rachats d'actifs de 375 milliards de livres à l'issue de sa réunion de politique monétaire mensuelle.
Dans ses 'minutes', la BoE précise que le maintien du statu quo sur son taux directeur a été décidé par une majorité de huit voix contre une.
Sans surprise, Ian McCafferty a réaffirmé sa préférence pour une hausse des taux immédiate de 25 points de base.
A titre d'indication, la dernière fois que la banque centrale britannique a gonflé son programme de rachats d'actifs remonte à juillet 2012 et son taux directeur se situe désormais à un plus bas historique depuis mars 2009.
'Tous les membres s'accordent à penser, au vu de la persistance des vents adverses qui continuent de souffler sur l'économie, qu'une fois que les taux commenceront à monter, il faudra que cela se fasse de manière plus graduelle et dans une moindre ampleur que lors des cycles précédents', est-il indiqué dans son communiqué.
Certains stratèges estimaient que la hausse surprise de certains indicateurs économiques conjuguée à la dépréciation de la livre ne plaidaient pas forcément pour un message accommodant de la part de l'institution.
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Dans ses 'minutes', la BoE précise que le maintien du statu quo sur son taux directeur a été décidé par une majorité de huit voix contre une.
Sans surprise, Ian McCafferty a réaffirmé sa préférence pour une hausse des taux immédiate de 25 points de base.
A titre d'indication, la dernière fois que la banque centrale britannique a gonflé son programme de rachats d'actifs remonte à juillet 2012 et son taux directeur se situe désormais à un plus bas historique depuis mars 2009.
'Tous les membres s'accordent à penser, au vu de la persistance des vents adverses qui continuent de souffler sur l'économie, qu'une fois que les taux commenceront à monter, il faudra que cela se fasse de manière plus graduelle et dans une moindre ampleur que lors des cycles précédents', est-il indiqué dans son communiqué.
Certains stratèges estimaient que la hausse surprise de certains indicateurs économiques conjuguée à la dépréciation de la livre ne plaidaient pas forcément pour un message accommodant de la part de l'institution.
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