Investing.com - Les options sur l'or ont fluctué entre petites pertes et gains modestes ce mercredi, se maintenant proches d'un pic des trois dernières semaines alors que les craintes grandissantes concernant la crise de la dette de la zone euro augmentaient l'attrait du métal précieux, dont les gains restaient limités par le large renforcement du dollar U.S.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 526.75 USD de l'once en première partie de séance européenne, grignotant 0.05%.
Ils avaient précédement oscillé entre un plancher à 1 522.45 et un plafond à 1 528.15 USD.
Christian Noyer, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part écarté mardi l'idée d'une restructuration de la dette de la Grèce, l'appelant un "film d'horreur" qui laisserait le pays privé de financement pendant des années.
L'agence Moody's déclarait de son côté que le Portugal et l'Irlande risquaient de voir leur notation monétaire dégradée de plusieurs crans, ce qui rendrait leurs actifs indésirables en cas de défaut de paiement de la part de la Grèce.
Cette angoisse a tiré les prix de l'or libellé en euros vers un nouveau sommet historique à 1 087.25 EUR l'once. Il a battu des records lors de trois séances de cotation d'affilée, les investisseurs s'en servant comme refuge contre les incertitudes économiques et politiques.
L'UBS a précisé dans un rapport publié dans la soirée de mardi: "Nous préférons actuellement l'or en euro et en livres, étant donné le large spectre et la gravité des variables poussant à la prudence en ce moment."
Le dollar U.S. était toutefois en bonne forme contre ses principaux concurrents, limitant la percée du métal précieux. L'indice dollar a progressé de 0.37% de son côté pour se situer à 76.34, après avoir culminé à 76.4.
Le dollar fort rend les matières premières aux prix libellés avec plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant leur intérêt en tant qu'investissement alternatif.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs cédé 0.3% pour grimper à 36.49 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.82% pour se retrouver à 4.054 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 526.75 USD de l'once en première partie de séance européenne, grignotant 0.05%.
Ils avaient précédement oscillé entre un plancher à 1 522.45 et un plafond à 1 528.15 USD.
Christian Noyer, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part écarté mardi l'idée d'une restructuration de la dette de la Grèce, l'appelant un "film d'horreur" qui laisserait le pays privé de financement pendant des années.
L'agence Moody's déclarait de son côté que le Portugal et l'Irlande risquaient de voir leur notation monétaire dégradée de plusieurs crans, ce qui rendrait leurs actifs indésirables en cas de défaut de paiement de la part de la Grèce.
Cette angoisse a tiré les prix de l'or libellé en euros vers un nouveau sommet historique à 1 087.25 EUR l'once. Il a battu des records lors de trois séances de cotation d'affilée, les investisseurs s'en servant comme refuge contre les incertitudes économiques et politiques.
L'UBS a précisé dans un rapport publié dans la soirée de mardi: "Nous préférons actuellement l'or en euro et en livres, étant donné le large spectre et la gravité des variables poussant à la prudence en ce moment."
Le dollar U.S. était toutefois en bonne forme contre ses principaux concurrents, limitant la percée du métal précieux. L'indice dollar a progressé de 0.37% de son côté pour se situer à 76.34, après avoir culminé à 76.4.
Le dollar fort rend les matières premières aux prix libellés avec plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant leur intérêt en tant qu'investissement alternatif.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs cédé 0.3% pour grimper à 36.49 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.82% pour se retrouver à 4.054 USD la livre dans le même temps.