Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, sur fond de peur d'une contamintion des membres de la périphérie de la zone euro par la crise de la dette grecque.
En seconde partie de séance européenne, la monnaie unique a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.53% pour tomber à 1.4103.
Nout Wellink, membre du conseil directeur de le Banque Centrale Européenne, avait auparavant déclaré que le fonds de secours européen devrait doubler si les investisseurs privés contribuaient aux nouvelles aides de refinancement pour la Grèce.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.56% pour chuter à 1.6102.
Des chiffres officiels avaient indiqué dans la matinée que les ventes au détail de la Grande-Bretagne avaient nettement plus diminué en mai que prévu.
Il a toutefois subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.26% pour se s'échanger à 80.73 et l'USD/CHF trébuchant de 0.43% pour toucher le fond à 0.849.
La Banque Nationale Suisse avait précédemment maintenu sans surprise son taux d'intérêt directeur à 0.25%, tandis que des informations émanant des autorités helvétiques soulignaient que la production industrielle de la confédération avait baissé au premier trimestre de manière plus importante qu'il n'avait été craint.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD engrangeant 0.77% pour monter à 0.9867, l'AUD/USD cédant 0.62% pour se retrouver à 1.0509 et le NZD/USD s'effondrant de 0.89% pour toucher le fond à 0.7993.
Bill English, ministre des finances de la Nouvelle-Zélande, avait fait savoir ce matin que la force de la monnaie du pays constituaiit un frein à son économie, et que la persistance de taux d'intérêt bas était plus favorable à la croissance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.42%.
Les Etats-Unis rendront aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscription au chômage, et dévoileront des études sur le nombre des permis de construire accordés, celui des départs de chantiers et l'activité manufacturière.
En seconde partie de séance européenne, la monnaie unique a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.53% pour tomber à 1.4103.
Nout Wellink, membre du conseil directeur de le Banque Centrale Européenne, avait auparavant déclaré que le fonds de secours européen devrait doubler si les investisseurs privés contribuaient aux nouvelles aides de refinancement pour la Grèce.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.56% pour chuter à 1.6102.
Des chiffres officiels avaient indiqué dans la matinée que les ventes au détail de la Grande-Bretagne avaient nettement plus diminué en mai que prévu.
Il a toutefois subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.26% pour se s'échanger à 80.73 et l'USD/CHF trébuchant de 0.43% pour toucher le fond à 0.849.
La Banque Nationale Suisse avait précédemment maintenu sans surprise son taux d'intérêt directeur à 0.25%, tandis que des informations émanant des autorités helvétiques soulignaient que la production industrielle de la confédération avait baissé au premier trimestre de manière plus importante qu'il n'avait été craint.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD engrangeant 0.77% pour monter à 0.9867, l'AUD/USD cédant 0.62% pour se retrouver à 1.0509 et le NZD/USD s'effondrant de 0.89% pour toucher le fond à 0.7993.
Bill English, ministre des finances de la Nouvelle-Zélande, avait fait savoir ce matin que la force de la monnaie du pays constituaiit un frein à son économie, et que la persistance de taux d'intérêt bas était plus favorable à la croissance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.42%.
Les Etats-Unis rendront aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscription au chômage, et dévoileront des études sur le nombre des permis de construire accordés, celui des départs de chantiers et l'activité manufacturière.