Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, la brusque remontée des taux de la Banque Populaire de Chine ayant mis à mal la demande pour les investissements plus risqués.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD dégringolant de 0.78% pour tomber jusqu'à 1.4315.
La Banque Populaire de Chine a en effet annoncé qu'elle infligerait à son taux d'intérêt une hausse de 0.25 points de pourcentage à partir du 7 juillet, la troisième de l'année, et la cinquième de la dernière série de durcissements monétaires.
La monnaie unique s'était déjà retrouvée sous pression après que l'agence Moody's ait rabaissé la notation monétaire du Portugal de quatre crans vers Ba2, affirmant qu'il y avait un "risque grandissant" que le pays nécessite une second plan de secours financier avant de pouvoir s'adresser à nouveau aux marchés financiers.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.37% pour chuter à 1.5999.
Une étude émanant de spécialistes avait auparavant montré que les prix des logements de Grande-Bretagne avaient augmenté en juin de manière inattendue, enregistrant leur plus importante augmentation mensuelle depuis octobre.
Il a par contre subi la pression du yen, mais pas du frenc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.04% pour descendre à 81.03 et l'USD/CHF gagnant 0.25% pour culminer à 0.8425.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.27% pour monter à 0.9661, l'AUD/USD cédant 0.26% pour se retrouver à 1.6605 et le NZD/USD arrachant 0.05% pour se hisser à 0.8255.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.54%.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis devrait rendre en fin de journée son rapport sur la croissance de son secteur tertiaire.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD dégringolant de 0.78% pour tomber jusqu'à 1.4315.
La Banque Populaire de Chine a en effet annoncé qu'elle infligerait à son taux d'intérêt une hausse de 0.25 points de pourcentage à partir du 7 juillet, la troisième de l'année, et la cinquième de la dernière série de durcissements monétaires.
La monnaie unique s'était déjà retrouvée sous pression après que l'agence Moody's ait rabaissé la notation monétaire du Portugal de quatre crans vers Ba2, affirmant qu'il y avait un "risque grandissant" que le pays nécessite une second plan de secours financier avant de pouvoir s'adresser à nouveau aux marchés financiers.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.37% pour chuter à 1.5999.
Une étude émanant de spécialistes avait auparavant montré que les prix des logements de Grande-Bretagne avaient augmenté en juin de manière inattendue, enregistrant leur plus importante augmentation mensuelle depuis octobre.
Il a par contre subi la pression du yen, mais pas du frenc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.04% pour descendre à 81.03 et l'USD/CHF gagnant 0.25% pour culminer à 0.8425.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.27% pour monter à 0.9661, l'AUD/USD cédant 0.26% pour se retrouver à 1.6605 et le NZD/USD arrachant 0.05% pour se hisser à 0.8255.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.54%.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis devrait rendre en fin de journée son rapport sur la croissance de son secteur tertiaire.