Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, après que la France et l'Allemagne aient annoncé avoir trouvé un terrain d'entente concernant la gestion du problème de la dette grecque.
En première partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.25% pour grimper à 1.425.
Les détails concernant l'accord franco-allemand sur la gestion du problème de la dette grecque devraient être présentés aujourd'hui lors du sommet de Bruxelles.
La monnaie unique a toutefois faibli après que des résultats aient montré pour juillet un plongeon de l'activité des usines allemandes à leur pire niveau en 21 mois et ainsi que de celle de la zone euro, au plus bas depuis août 2009.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.18% pour se hisser à 1.6181.
Des chifffres officiels avaient auparavant mis en évidence une hausse des ventes au détail britanniques supérieure aux attentes pour le mois dernier.
Le yen et le franc suisse ont toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.06% pour se retrouver à 78.82 et l'USD/CHF progressant de 0.15% pour monter à 0.8211.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.07% pour aller vers 0.9'65, l'AUD/USD trébuchant de 0.32% pour plonger à 1.0714 et le NZD/USD hoquetant de 0.02% pour reprendre pied à 0.856.
Une étude avait montré ce matin que l'activité manufacturière chinoise était tombée en juillet à son plus bas niveau en 28 mois, ravivant la crainte d'une baisse des besoins en matières premières du pays.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.19%.
Les Etats-Unis rendront quand à eux en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'un autre sur l'activité manufacturière.
En première partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.25% pour grimper à 1.425.
Les détails concernant l'accord franco-allemand sur la gestion du problème de la dette grecque devraient être présentés aujourd'hui lors du sommet de Bruxelles.
La monnaie unique a toutefois faibli après que des résultats aient montré pour juillet un plongeon de l'activité des usines allemandes à leur pire niveau en 21 mois et ainsi que de celle de la zone euro, au plus bas depuis août 2009.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.18% pour se hisser à 1.6181.
Des chifffres officiels avaient auparavant mis en évidence une hausse des ventes au détail britanniques supérieure aux attentes pour le mois dernier.
Le yen et le franc suisse ont toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.06% pour se retrouver à 78.82 et l'USD/CHF progressant de 0.15% pour monter à 0.8211.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.07% pour aller vers 0.9'65, l'AUD/USD trébuchant de 0.32% pour plonger à 1.0714 et le NZD/USD hoquetant de 0.02% pour reprendre pied à 0.856.
Une étude avait montré ce matin que l'activité manufacturière chinoise était tombée en juillet à son plus bas niveau en 28 mois, ravivant la crainte d'une baisse des besoins en matières premières du pays.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.19%.
Les Etats-Unis rendront quand à eux en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'un autre sur l'activité manufacturière.