Investing.com - Les pertes subies par l'euro face à la livre sterling se sont trouvées contrées ce mercredi, celui-ci s'extirpant de son creux journalier après que la commission européenne ait fait savoir que différentes possibilités concernant l'introduction d'obligations pour le zone euro seraient bientôt proposées.
La paire EUR/GBP est reontée depuis 0.8639, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 0.867 en première partie de séance européenne, grignotant 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8594, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 0.8719, son plafond de vendredi dernier.
La monnaie unique a effectivement repris des couleurs après que Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, ait déclaré qu'il présenterait les grandes options d'un plan d'introduction de bons européens au travers desquels les 17 membres de la zone euro vendraient leurs dettes de manière collective.
En Grande-Bretagne, le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage a augmenté en août de manière nettement inférieure aux craintes, d'après les chiffres officiels dévoilés ce mercredi.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet enregistré une hausse de 20 300 inscrits avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 35 000 sur la période considérée.
Le taux de chômage est quand à lui resté stable à 7.9% sans surprise.
La livre sterling est toutefois restée sous pression, l'étude ayant montré que le nombre des sans-emploi de l'indice ILO avait connu sa plus forte hausse en deux ans, alors que l'emploi public s'effondrait nettement.
L'indice des revenus moyens avait quand à lui légèrement dépassé les prévisions pour la même période, prenant 2.8% corrigés saisonnièrement au lieu des 2.7% espérés.
La devise européenne est restée en berne contre le billet vert, l'EUR/USD trébuchant de 0.11% pour se situer à 1.3665.
George Papandreou, premier ministre hellène, devait tenir dans l'après-midi une conférence téléphonique avec Angela Merkel, la chancelière allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
La paire EUR/GBP est reontée depuis 0.8639, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 0.867 en première partie de séance européenne, grignotant 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8594, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 0.8719, son plafond de vendredi dernier.
La monnaie unique a effectivement repris des couleurs après que Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, ait déclaré qu'il présenterait les grandes options d'un plan d'introduction de bons européens au travers desquels les 17 membres de la zone euro vendraient leurs dettes de manière collective.
En Grande-Bretagne, le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage a augmenté en août de manière nettement inférieure aux craintes, d'après les chiffres officiels dévoilés ce mercredi.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet enregistré une hausse de 20 300 inscrits avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 35 000 sur la période considérée.
Le taux de chômage est quand à lui resté stable à 7.9% sans surprise.
La livre sterling est toutefois restée sous pression, l'étude ayant montré que le nombre des sans-emploi de l'indice ILO avait connu sa plus forte hausse en deux ans, alors que l'emploi public s'effondrait nettement.
L'indice des revenus moyens avait quand à lui légèrement dépassé les prévisions pour la même période, prenant 2.8% corrigés saisonnièrement au lieu des 2.7% espérés.
La devise européenne est restée en berne contre le billet vert, l'EUR/USD trébuchant de 0.11% pour se situer à 1.3665.
George Papandreou, premier ministre hellène, devait tenir dans l'après-midi une conférence téléphonique avec Angela Merkel, la chancelière allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.