Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, la crainte de l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro stimulant la demande pour les valeurs refuge.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.58% pour tomber à 1.3554.
La popularité de la monnaie unique a pris du plomb dans l'aile après que les bons du trésor à dix ans italiens aient frôlé les 7%, ceux de l'Espagne dépassant les 6% pour la première fois depuis que la Banque Centrale Européenne a commencé à en acquérir début août.
Elle n'a guère profité des résultats émanant des autorités, montrant ce matin que le produit intérieur brut germanique avait augmenté de 0.5% au troisième trimestre, de manière conforme aux attentes, après 0.3% revus à la hausse précédemment.
Celui de la France a quand à lui arraché 0.4%, après avoir auparavant reculé de 0.1%.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.39% pour chuter à 1.5849.
Un rapport officiel avait indiqué dans la matinée que l'inflation des prix au détail du Royaume-Uni avait diminué en octobre, passant à 5% contre 5.2% en septembre, sa plus forte valeur en trois ans, alors que les experts ne pensaient pas la voir passer sous les 5.1%.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.03% pour régresser à 77.03 et l'USD/CHF grignotant 0.77% pour culminer à 0.9152.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.55% pour monter à 1.0221, l'AUD/USD cédant 0.5% pour se retrouver à 1.0153 et le NZD/USD se laissant arracher 1.08% pour toucher le fond à 0.772.
Le compte-rendu de la réunion du premier novembre de la Réserve Bancaire d'Australie avait expliqué ce matin que la décision de diminuer les taux d'intérêt en début de mois était la conséquence de son désir d'une politique monétaire plus neutre, tout en précisant malgré cela qu'il pouvait être estimé judicieux de maintenir les coûts des emprunts à leur niveau avant de constater les effets de l'énorme progression en cours dans le secteur minier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.5% pour se situer à 78.03.
Les Etats-Unis avaient prévu de dévoiler dans la journée le volume officiel de leurs ventes au détail et leur inflation des prix à la production, et la zone euro les chiffres préliminaires de son produit intérieur brut, ainsi que le baromètre du moral de ses consommateurs.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.58% pour tomber à 1.3554.
La popularité de la monnaie unique a pris du plomb dans l'aile après que les bons du trésor à dix ans italiens aient frôlé les 7%, ceux de l'Espagne dépassant les 6% pour la première fois depuis que la Banque Centrale Européenne a commencé à en acquérir début août.
Elle n'a guère profité des résultats émanant des autorités, montrant ce matin que le produit intérieur brut germanique avait augmenté de 0.5% au troisième trimestre, de manière conforme aux attentes, après 0.3% revus à la hausse précédemment.
Celui de la France a quand à lui arraché 0.4%, après avoir auparavant reculé de 0.1%.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.39% pour chuter à 1.5849.
Un rapport officiel avait indiqué dans la matinée que l'inflation des prix au détail du Royaume-Uni avait diminué en octobre, passant à 5% contre 5.2% en septembre, sa plus forte valeur en trois ans, alors que les experts ne pensaient pas la voir passer sous les 5.1%.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.03% pour régresser à 77.03 et l'USD/CHF grignotant 0.77% pour culminer à 0.9152.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.55% pour monter à 1.0221, l'AUD/USD cédant 0.5% pour se retrouver à 1.0153 et le NZD/USD se laissant arracher 1.08% pour toucher le fond à 0.772.
Le compte-rendu de la réunion du premier novembre de la Réserve Bancaire d'Australie avait expliqué ce matin que la décision de diminuer les taux d'intérêt en début de mois était la conséquence de son désir d'une politique monétaire plus neutre, tout en précisant malgré cela qu'il pouvait être estimé judicieux de maintenir les coûts des emprunts à leur niveau avant de constater les effets de l'énorme progression en cours dans le secteur minier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.5% pour se situer à 78.03.
Les Etats-Unis avaient prévu de dévoiler dans la journée le volume officiel de leurs ventes au détail et leur inflation des prix à la production, et la zone euro les chiffres préliminaires de son produit intérieur brut, ainsi que le baromètre du moral de ses consommateurs.