Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en nette hausse ce lundi, le moral des investisseurs ayant été ragaillardi par les signes de progrès dans la gestion de la crise de la dette de la zone euro, les dirigeants franco-allemands reprenant les pourparlers visant à instaurer un pacte fiscal.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.78%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.86% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.74%.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devait en effet rencontrer aujourd'hui son homologue français afin de reprendre les discussions destinées à établir une proposition commune de durcissement de la discipline budgétaire devant être proposée aux chefs de l'Union Européenne lors de leur sommet de vendredi.
Le moral des investisseurs a également connu un coup de fouet après que Mario Monti, premier ministre italien, ait dévoilé hier une série de mesures de rigueur destinées à économiser 30 milliards d'euros en augmentant notamment les impôts et l'âge de la retraite, et ainsi renflouer les finances accâblées du pays.
General Motors se trouvait au tableau d'honneur, bondissant de 1.53% après avoir dévoilé sa stratégie de rattrapage de l'échec d'Opel, sa branche européenne.
Le recycleur de mé&taux Commercial Metals a quand à lui engrangé 0.65% après avoir rejeté l'offre d'achat du milliardaire Carl Icahn, estimant qu'elle sous-évaluait la compagnie et était "opportuniste".
La finance a également apporté sa pierre à l'édifice, JP Morgan en tête avec une envolée de 6.14%, Citigroup suivant avec 4.37%, taandis que Goldman Sachs et la Bank of America se contentaient respectivement de 2.99 et 1.99%.
Il se disait que Citigroup éétait en train de mettre au point un plan de remplacement de ses directeurs d'Asie afin de rassurer les autorités japonaises, qui préparent des sanctions pour ce qu'elles estiment être des défauts de déclarations liées aux ventes de produits financiers.
Parmi les moins bonnes nouvelles, la compagnie de gestion de paiements Visa a pour sa part reculé de 0.57% après avoir trouvé en Afriqque un accord avec le gouvernement du Rwanda concernant l'expansion des paiements électroniques.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 bondissant de 0.98%, le CAC 40 français de 0.9%, le DAX 30 allemand de 0.4% et le FTSE 100 britannique de 0.39%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait raflé 0.65%, et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements devait rendre en fin de journée son rapport sur l'activité tertiaire, et les autorités faire de même avec le volume des commandes enregistrées par les usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.78%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.86% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.74%.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devait en effet rencontrer aujourd'hui son homologue français afin de reprendre les discussions destinées à établir une proposition commune de durcissement de la discipline budgétaire devant être proposée aux chefs de l'Union Européenne lors de leur sommet de vendredi.
Le moral des investisseurs a également connu un coup de fouet après que Mario Monti, premier ministre italien, ait dévoilé hier une série de mesures de rigueur destinées à économiser 30 milliards d'euros en augmentant notamment les impôts et l'âge de la retraite, et ainsi renflouer les finances accâblées du pays.
General Motors se trouvait au tableau d'honneur, bondissant de 1.53% après avoir dévoilé sa stratégie de rattrapage de l'échec d'Opel, sa branche européenne.
Le recycleur de mé&taux Commercial Metals a quand à lui engrangé 0.65% après avoir rejeté l'offre d'achat du milliardaire Carl Icahn, estimant qu'elle sous-évaluait la compagnie et était "opportuniste".
La finance a également apporté sa pierre à l'édifice, JP Morgan en tête avec une envolée de 6.14%, Citigroup suivant avec 4.37%, taandis que Goldman Sachs et la Bank of America se contentaient respectivement de 2.99 et 1.99%.
Il se disait que Citigroup éétait en train de mettre au point un plan de remplacement de ses directeurs d'Asie afin de rassurer les autorités japonaises, qui préparent des sanctions pour ce qu'elles estiment être des défauts de déclarations liées aux ventes de produits financiers.
Parmi les moins bonnes nouvelles, la compagnie de gestion de paiements Visa a pour sa part reculé de 0.57% après avoir trouvé en Afriqque un accord avec le gouvernement du Rwanda concernant l'expansion des paiements électroniques.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 bondissant de 0.98%, le CAC 40 français de 0.9%, le DAX 30 allemand de 0.4% et le FTSE 100 britannique de 0.39%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait raflé 0.65%, et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements devait rendre en fin de journée son rapport sur l'activité tertiaire, et les autorités faire de même avec le volume des commandes enregistrées par les usines.