Investing.com - La livre sterling s'est élevée face au dollar U.S. ce mercredi, dans l'expectative de la présentation du budget annuel et du compte-rendu de la réunion de début de mois de la Banque d'Angleterre.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5923 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 2 mars, puis s'est stabilisée vers 1.5905, prenant 0.27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.583, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5965, son plafond du 2 mars.
La devise du Royaume-Uni s'est trouvée encouragée par l'hypothèse de mesures budgétaires encourageant la croissance nationale.
Le procès-verbal du conseil tenu par la banque centrale du pays sera quand à lui scruté de près afin de savoir si ses décideurs envisagent une nouvelle série d'assouplissements monétaires et s'ils craignent une poussée de l'inflation en raison de la flambée du pétrole.
Une étude officielle montrait toutefois hier que le taux annuel d'augmentation des prix de vente au détail du Royaume-Uni avait atteint en février sa plus faible valeur depuis novembre 2010, apaisant ainsi l'attente de nouvelles mesures stimulatrices de sa part.
La monnaie de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.11% pour se hisser à 0.8345.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5923 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 2 mars, puis s'est stabilisée vers 1.5905, prenant 0.27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.583, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5965, son plafond du 2 mars.
La devise du Royaume-Uni s'est trouvée encouragée par l'hypothèse de mesures budgétaires encourageant la croissance nationale.
Le procès-verbal du conseil tenu par la banque centrale du pays sera quand à lui scruté de près afin de savoir si ses décideurs envisagent une nouvelle série d'assouplissements monétaires et s'ils craignent une poussée de l'inflation en raison de la flambée du pétrole.
Une étude officielle montrait toutefois hier que le taux annuel d'augmentation des prix de vente au détail du Royaume-Uni avait atteint en février sa plus faible valeur depuis novembre 2010, apaisant ainsi l'attente de nouvelles mesures stimulatrices de sa part.
La monnaie de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.11% pour se hisser à 0.8345.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.