Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme pour la troisième fois consécutive ce mardi, sa popularité demeurant forte sur fond de demande physique importante de l'Inde, mais aussi d'attente de nouveaux assouplissements de la part des Etats-Unis.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 650.75 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.42%.
Ils avaient précédement culminé à 1 655.55 USD, leur meilleur cours depuis le 3 avril, avec 1.05% d'augmentation.
La paire est descendue jusqu'à en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis , puis s'est stabilisée vers , perdant %.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 685.25, son plafond du 2.
Ils ont en effet continué à être soutenus par l'attente d'une augmentation des besoins de l'Inde, premier consommateur mondial, après que les trois semaine de grève de ses bijoutiers aient pris fin en cours de weekend.
Cet évènement est survenu après que Pranab Mukherjee, premier ministre du pays, se soit engagé à remettre en question la mise en place de nouveaux prélèvements sur le métal précieux.
Ces 21 jours d'action ont malmené le marché aurifère national, suite à l'annonce d'un doublement à 4% des droits de douane sur celui-ci et d'une taxe d'accise de 0.3% sur la plupart de l'orfèvrerie.
Les prix devraient du coup connaître un coup de fouet à court terme, alors que le festival hindou d'Akshaya Tritiya, propice aux achats de métal précieux, doit débuter le 24 avril.
La saison des mariages a par ailleurs commencé dans certaines régions du pays, et l'or y tient généralement une place importante.
La spirale descendante de ces dernières semaines s'était en effet trouvée accentuée par l'absence du plus gros demandeur de la planète, les importations pour mars devant totaliser entre 15 et 20 tonnees, contre 50 à 60 pour la même période de l'année dernière.
Les importations devraient reprendre de la vigueur, se situant, d'après les propos tenus hier par Prithviraj Kothari, président de la Bombay Bullion Association, vers 100 tonnes pour avril et mai.
Les observateurs continuaient quand à eux de tirer les conséquences des faibles résultats de l'emploi américain dévoilés vendredi, et ontrant les plus faibles créations d'emplois en cinq mois.
Cette déception a laissé planer le doute sur la force de la relance du pays, ravivant l'hypothèse d'une nouvelle série d'assoupissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale, qui affaiblirait du même coup le billet vert et encouragerait la valeur refuge de l'or.
Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, avait auparavant déclaré lors d'une conférence ne portant pas directement sur les perspectives concernant la politique monétaire que l'économie des Etats-Unis était "loin d'être complètement remise" de la crise financière.
Les acteurs du marché aurifère surveilleront de près les résultats économiques américains du second trimestre afin d'évaluer les chances qu'une nouvelle série d'assouplissements monétaire soit mise en place.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.5% pour grimper à 31.68 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.67% pour se retrouver à 3.745 USD la livre dans le même temps.
BNP Paribas avait auparavant déclaré dans un rapport s'attenndre à ce que l'argent suive en 2012 et 2013 une évolution parallèle à celle de l'or.
La banque a précisé: "L'argent se trouve en large surplus, mais devrait marcher dans les pas ascendants de l'or, étant donné sa forte corrélation positive avec ce dernier, bien que les risques de descente soient particulièrement présents."
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 650.75 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.42%.
Ils avaient précédement culminé à 1 655.55 USD, leur meilleur cours depuis le 3 avril, avec 1.05% d'augmentation.
La paire est descendue jusqu'à en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis , puis s'est stabilisée vers , perdant %.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 685.25, son plafond du 2.
Ils ont en effet continué à être soutenus par l'attente d'une augmentation des besoins de l'Inde, premier consommateur mondial, après que les trois semaine de grève de ses bijoutiers aient pris fin en cours de weekend.
Cet évènement est survenu après que Pranab Mukherjee, premier ministre du pays, se soit engagé à remettre en question la mise en place de nouveaux prélèvements sur le métal précieux.
Ces 21 jours d'action ont malmené le marché aurifère national, suite à l'annonce d'un doublement à 4% des droits de douane sur celui-ci et d'une taxe d'accise de 0.3% sur la plupart de l'orfèvrerie.
Les prix devraient du coup connaître un coup de fouet à court terme, alors que le festival hindou d'Akshaya Tritiya, propice aux achats de métal précieux, doit débuter le 24 avril.
La saison des mariages a par ailleurs commencé dans certaines régions du pays, et l'or y tient généralement une place importante.
La spirale descendante de ces dernières semaines s'était en effet trouvée accentuée par l'absence du plus gros demandeur de la planète, les importations pour mars devant totaliser entre 15 et 20 tonnees, contre 50 à 60 pour la même période de l'année dernière.
Les importations devraient reprendre de la vigueur, se situant, d'après les propos tenus hier par Prithviraj Kothari, président de la Bombay Bullion Association, vers 100 tonnes pour avril et mai.
Les observateurs continuaient quand à eux de tirer les conséquences des faibles résultats de l'emploi américain dévoilés vendredi, et ontrant les plus faibles créations d'emplois en cinq mois.
Cette déception a laissé planer le doute sur la force de la relance du pays, ravivant l'hypothèse d'une nouvelle série d'assoupissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale, qui affaiblirait du même coup le billet vert et encouragerait la valeur refuge de l'or.
Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, avait auparavant déclaré lors d'une conférence ne portant pas directement sur les perspectives concernant la politique monétaire que l'économie des Etats-Unis était "loin d'être complètement remise" de la crise financière.
Les acteurs du marché aurifère surveilleront de près les résultats économiques américains du second trimestre afin d'évaluer les chances qu'une nouvelle série d'assouplissements monétaire soit mise en place.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.5% pour grimper à 31.68 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.67% pour se retrouver à 3.745 USD la livre dans le même temps.
BNP Paribas avait auparavant déclaré dans un rapport s'attenndre à ce que l'argent suive en 2012 et 2013 une évolution parallèle à celle de l'or.
La banque a précisé: "L'argent se trouve en large surplus, mais devrait marcher dans les pas ascendants de l'or, étant donné sa forte corrélation positive avec ce dernier, bien que les risques de descente soient particulièrement présents."