Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement positive ce mardi, malgré la pression baissière dûe aux craintes concernant les perspectives de croissance mondiale, tandis que les observateurs guettaient pour cet après-midi le coup d'envoi de la saison des annonces de résultats.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
L'atmosphère s'était assombrie après des résultats officiels aient montré que le commerce extérieur de la Chine avait enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, les importations n'ayant progressé que de 5.3% après avoir auparavant enregistré une explosion de 39.6%.
La déception des faibles résultats de l'emploi non agricole américain divulgués en fin de semaine a quand à elle ravivé l'hypothèse d'une nouvelle série d'injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale, qui affaiblirait du même coup le billet vert, laissant du même coup planer le doute sur la force de la relance économique mondiale.
Les résultats émanant des autorités avaient en effet montré vendredi que l'économie américaine n'avait créé que 120 000 postes en mars, leur nombre le plus faible depuis décembre, se situant largement au-dessous des 203 000 espérés.
Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, avait auparavant déclaré lors d'une conférence que l'économie des Etats-Unis était "loin d'être complètement remise" de la crise financière.
L'informatique était au centre des débats, après qu'AOL ait annoncé la vente de plus de 800 de ses brevets et des applications en découlant à Microsoft, tout en accordant à ce dernier une licence non-exclusive pour l'utilisation de ceux qu'il conserverait pour un total dépassant de peu le milliard de dollars en liquidités.
Le premier a ainsi gagné 0.38% sur les transactions post-clôture, et le second 0.16%.
La finance était aussi attendue au tournant, suite au large repli subi outre-Atlantique, Citigroup glissant de 0.18% et Goldman Sachs de 0.19% avant l'ouverture.
Sony se trouvait en mauvaise posture suite à l'aveu de pertes record s'élevant à 6.4 milliards d'USD après avoir dû payer la dévaluation des actifs soumis à des impôts différés aux Etats-Unis, dégringolant de 6.37% avant l'ouverture.
Concernant le secteur primaire, First Quantum Minerals était sous les feux de la rampe, en raison de ses plans visant à tripler ses extractions de cuivre dans les cinq ans, avec le lancement de mines au Pérou, en Finlande et en Zambie.
Chesapeake Energy, second plus gros producteur de gaz naturel américain, a pour sa part bondi de 1.35% après les derniers changes suite à l'annonce de trois accords différents concernant ses réserves d'hydrocarbures, levant environ 2.6 milliards d'USD afin d'aider au développement de ses possessions et à la diminution de son endettement après que l'effondrement des cours du gaz ait malmené ses fonds de roulement.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter les poids lourds Google et JP Morgan, dont les performances devraient être communiquées en cours de semaine, tandis qu'Alcoa devait être le premier des membres du Dow Jones à révéler les siennes après la cloche de fermeture d'aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 dégringolant de 1.42%, le CAC 40 français de 1.55%, le DAX 30 allemand de 1.05% et le FTSE 100 britannique de 1.02%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.9%, et le Nikkei 225 japonais 0.15%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
L'atmosphère s'était assombrie après des résultats officiels aient montré que le commerce extérieur de la Chine avait enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, les importations n'ayant progressé que de 5.3% après avoir auparavant enregistré une explosion de 39.6%.
La déception des faibles résultats de l'emploi non agricole américain divulgués en fin de semaine a quand à elle ravivé l'hypothèse d'une nouvelle série d'injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale, qui affaiblirait du même coup le billet vert, laissant du même coup planer le doute sur la force de la relance économique mondiale.
Les résultats émanant des autorités avaient en effet montré vendredi que l'économie américaine n'avait créé que 120 000 postes en mars, leur nombre le plus faible depuis décembre, se situant largement au-dessous des 203 000 espérés.
Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, avait auparavant déclaré lors d'une conférence que l'économie des Etats-Unis était "loin d'être complètement remise" de la crise financière.
L'informatique était au centre des débats, après qu'AOL ait annoncé la vente de plus de 800 de ses brevets et des applications en découlant à Microsoft, tout en accordant à ce dernier une licence non-exclusive pour l'utilisation de ceux qu'il conserverait pour un total dépassant de peu le milliard de dollars en liquidités.
Le premier a ainsi gagné 0.38% sur les transactions post-clôture, et le second 0.16%.
La finance était aussi attendue au tournant, suite au large repli subi outre-Atlantique, Citigroup glissant de 0.18% et Goldman Sachs de 0.19% avant l'ouverture.
Sony se trouvait en mauvaise posture suite à l'aveu de pertes record s'élevant à 6.4 milliards d'USD après avoir dû payer la dévaluation des actifs soumis à des impôts différés aux Etats-Unis, dégringolant de 6.37% avant l'ouverture.
Concernant le secteur primaire, First Quantum Minerals était sous les feux de la rampe, en raison de ses plans visant à tripler ses extractions de cuivre dans les cinq ans, avec le lancement de mines au Pérou, en Finlande et en Zambie.
Chesapeake Energy, second plus gros producteur de gaz naturel américain, a pour sa part bondi de 1.35% après les derniers changes suite à l'annonce de trois accords différents concernant ses réserves d'hydrocarbures, levant environ 2.6 milliards d'USD afin d'aider au développement de ses possessions et à la diminution de son endettement après que l'effondrement des cours du gaz ait malmené ses fonds de roulement.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter les poids lourds Google et JP Morgan, dont les performances devraient être communiquées en cours de semaine, tandis qu'Alcoa devait être le premier des membres du Dow Jones à révéler les siennes après la cloche de fermeture d'aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 dégringolant de 1.42%, le CAC 40 français de 1.55%, le DAX 30 allemand de 1.05% et le FTSE 100 britannique de 1.02%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.9%, et le Nikkei 225 japonais 0.15%.