Investing.com - Le dollar U.S. était sans éclat face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les résultats supérieurs aux espérances de l'Allemagne ayant renforcé le moral, malgré la persistance de l'instabilité politique grecque.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.19% pour grimper à 1.2846.
La monnaie unique a en effet repris du poil de la bête après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à supporter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus, alors qu'il avait diminué de 0.2% sans besoin de révision au cours du dernier trimestre 2011.
La circonspection demeurait toutefois de mise, de nouvelles discussions entre les partis visant à former un gouvernement devraient se tenir en cours de journée, après plus d'une semaine d'impasse, remettant en question la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi son futur au sein du bloc euro.
La prudence avait aussi été exacerbée par l'agence de notation Moody's Investor Services, annonçant en début de matinée de larges dégradations du secteur bancaire de l'Italie, invoquant son manque d'accès aux liquidités des marchés.
La livre sterling lui a par contre cédé du terrain, le GBP/USD glissant de 0.12% pour se retrouver à 1.6073.
Il avait auparavant été signalé que le déficit officiel du commerce extérieur britannique s'était maintenu contre toute attente à 8.6 milliards de GBP en mars, alors qu'un rétrécissement à 8.4 milliards était espéré.
Le yen a d'autre part légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.04% pour se hisser à 79.88 et l'USD/CHF glissant de 0.2% pour tomber à 0.9349.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.23% pour aller vers 1.0013, l'AUD/USD raflant 0.33% pour monter à 0.9989 et le NZD/USD laissant échaper 0.15% pour toucher le fond à 0.7754.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Bancaire d'Australie avait rappelé ce matin que "les risques venus d'Europe continuaient à perturber les perspectives économiques mondiales" et que "l'inflation devrait demeurer dans la partie basse de la fourchette de ses prévisions en l'absence d'évolution majeure".
La banque central avait créé la surprise le premier mai, en rabaissant son taux directeur à 3.75%, son plus bas niveau en deux ans, afin de donner un coup de fouet à la croissance nationale.
Mais l'angoisse d'un ralentissement de l'expansion de la Chine pesait sur les devises dépendantes des matièrse premières, un passage à vide de 2.4% des flux d'investissement directs de l'étranger pour avril ayant été constaté, constituant le quatrième mois de déiminution d'affilée, en prolongeant les 2.8% constatés le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.05% pour se situer à 80.75.
Les autorités des Etats-Unis publieront quand à elles dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi sur l'évolution des prix à la consommation, mais aussi une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.19% pour grimper à 1.2846.
La monnaie unique a en effet repris du poil de la bête après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à supporter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus, alors qu'il avait diminué de 0.2% sans besoin de révision au cours du dernier trimestre 2011.
La circonspection demeurait toutefois de mise, de nouvelles discussions entre les partis visant à former un gouvernement devraient se tenir en cours de journée, après plus d'une semaine d'impasse, remettant en question la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi son futur au sein du bloc euro.
La prudence avait aussi été exacerbée par l'agence de notation Moody's Investor Services, annonçant en début de matinée de larges dégradations du secteur bancaire de l'Italie, invoquant son manque d'accès aux liquidités des marchés.
La livre sterling lui a par contre cédé du terrain, le GBP/USD glissant de 0.12% pour se retrouver à 1.6073.
Il avait auparavant été signalé que le déficit officiel du commerce extérieur britannique s'était maintenu contre toute attente à 8.6 milliards de GBP en mars, alors qu'un rétrécissement à 8.4 milliards était espéré.
Le yen a d'autre part légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.04% pour se hisser à 79.88 et l'USD/CHF glissant de 0.2% pour tomber à 0.9349.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.23% pour aller vers 1.0013, l'AUD/USD raflant 0.33% pour monter à 0.9989 et le NZD/USD laissant échaper 0.15% pour toucher le fond à 0.7754.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Bancaire d'Australie avait rappelé ce matin que "les risques venus d'Europe continuaient à perturber les perspectives économiques mondiales" et que "l'inflation devrait demeurer dans la partie basse de la fourchette de ses prévisions en l'absence d'évolution majeure".
La banque central avait créé la surprise le premier mai, en rabaissant son taux directeur à 3.75%, son plus bas niveau en deux ans, afin de donner un coup de fouet à la croissance nationale.
Mais l'angoisse d'un ralentissement de l'expansion de la Chine pesait sur les devises dépendantes des matièrse premières, un passage à vide de 2.4% des flux d'investissement directs de l'étranger pour avril ayant été constaté, constituant le quatrième mois de déiminution d'affilée, en prolongeant les 2.8% constatés le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.05% pour se situer à 80.75.
Les autorités des Etats-Unis publieront quand à elles dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi sur l'évolution des prix à la consommation, mais aussi une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.