Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, après un week-end prolongé, les présages de nouveaux assouplissements de la part des autorités chinoises renforçant la confiance des investisseurs, malgré l'ombre persistante des soucis financiers grecs et espagnols.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.69%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.7% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.87%.
Le moral est en effet revenu dans l'espoir que la Chine injecte de nouveau des capitaux dans son économie, la seconde du monde, afin de la stimuler, les rumeurs ayant enflé depuis que Pékin s'est engagée la semaine dernière à accélérer le processus d'approbation pour les nouveaux chantiers publics.
La prudence restait cependant de mise après que le taux des obligations décennales espagnoles se soit situé hier à 6.47%, son niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
La Grèce demeurait sur toutes les lèvres, des sondages de fin de semaine indiquant que le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au programe d'aide internationale, pourrait être en mesure de former un nouveau gouvernement après le scrutin du 17 juin.
Le secteur technologique était sous les feux de l'actualité, les investisseurs attendant aujourd'hui le lancement par le sud-coréen Samsung Electronics de son Galaxy S 3 en Europe, dans l'espoir de détrôner Apple Inc. en tant que premier fabricant mondial d'intelliphones, lequel tenait bon en prenant 0.59% en pré-ouverture.
Facebook a quand à lui plongé de 2.54% dans le même temps, alors qu'il se disait que le géant des réseaux sociaux négociait l'acquisition du norvégien Opera Software afin de profiter de ses technologies appliquées à la téléphonie mobile, pour plus d'un milliard d'USD.
Un article du New York Times affirmait qu'il aurait récemment embauché des anciens ingénieurs matériel et logiciel dans l'espoir de lancer lui aussi un téléphone portable l'année prochaine.
Parmi les compagnies faisant l'actualité, on pouvait noter que la maison de courtage japonaise Marubeni serait sur le point de conclure un accord d'achat du céréaliser américain Gavilon pour près de 3.5 milliards d'USD, hors dettes.
Sur le front de la finance, JP Morgan a écoulé environ 25 milliards d'USD de titres sécurisés bénéficiaires, afin d'augmenter ses rentrées suite aux pertes causées par son employé désormais connu sous le sobriquet de "baleine de Londres".
Parmi les actions à surveiller, il fallait signaler Dewey & Leboeuf LLP, qui a subi la plus grose faillite d'un cabinet juridique de l'histoire des Etats-Unis en demandant hier soir à être protégé de la banqueroute après avoir échoué à trouver un partenaire de fusion.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 prenant 0.07%, le CAC 40 français 0.5%, le DAX 30 allemand 0.78% et le FTSE 100 britannique 0.17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.85%, et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté révéler cet après-midi l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.69%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.7% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.87%.
Le moral est en effet revenu dans l'espoir que la Chine injecte de nouveau des capitaux dans son économie, la seconde du monde, afin de la stimuler, les rumeurs ayant enflé depuis que Pékin s'est engagée la semaine dernière à accélérer le processus d'approbation pour les nouveaux chantiers publics.
La prudence restait cependant de mise après que le taux des obligations décennales espagnoles se soit situé hier à 6.47%, son niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
La Grèce demeurait sur toutes les lèvres, des sondages de fin de semaine indiquant que le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au programe d'aide internationale, pourrait être en mesure de former un nouveau gouvernement après le scrutin du 17 juin.
Le secteur technologique était sous les feux de l'actualité, les investisseurs attendant aujourd'hui le lancement par le sud-coréen Samsung Electronics de son Galaxy S 3 en Europe, dans l'espoir de détrôner Apple Inc. en tant que premier fabricant mondial d'intelliphones, lequel tenait bon en prenant 0.59% en pré-ouverture.
Facebook a quand à lui plongé de 2.54% dans le même temps, alors qu'il se disait que le géant des réseaux sociaux négociait l'acquisition du norvégien Opera Software afin de profiter de ses technologies appliquées à la téléphonie mobile, pour plus d'un milliard d'USD.
Un article du New York Times affirmait qu'il aurait récemment embauché des anciens ingénieurs matériel et logiciel dans l'espoir de lancer lui aussi un téléphone portable l'année prochaine.
Parmi les compagnies faisant l'actualité, on pouvait noter que la maison de courtage japonaise Marubeni serait sur le point de conclure un accord d'achat du céréaliser américain Gavilon pour près de 3.5 milliards d'USD, hors dettes.
Sur le front de la finance, JP Morgan a écoulé environ 25 milliards d'USD de titres sécurisés bénéficiaires, afin d'augmenter ses rentrées suite aux pertes causées par son employé désormais connu sous le sobriquet de "baleine de Londres".
Parmi les actions à surveiller, il fallait signaler Dewey & Leboeuf LLP, qui a subi la plus grose faillite d'un cabinet juridique de l'histoire des Etats-Unis en demandant hier soir à être protégé de la banqueroute après avoir échoué à trouver un partenaire de fusion.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 prenant 0.07%, le CAC 40 français 0.5%, le DAX 30 allemand 0.78% et le FTSE 100 britannique 0.17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.85%, et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté révéler cet après-midi l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.