Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement positive ce mercredi, la prudence était à l'ordre du jour à l'approche de la rencontre de l'Union Européenne de la semaine et de la révélation de résultats économiques américains en fin de journée.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Les probabilités d'apparition de solutions à la crise de la dette semblaient s'évanouir à la veille de la réunion des chefs des états membres de l'UE, alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, avait martelé hier son opposition à l'émission d'Eurobons du trésor mutualisés.
Sa discussion d'aujourd'hui avec le président français François Hollande, en préambule des pourparlers européens des deux prochains jours, était toutefois surveillée de près.
L'Italie a pour sa part vu ce matin les coûts de ses emprunts s'élever à leur plus haut niveau depuis décembre lors d'une adjudication de dettes à six mois, sa popularité auprès des investisseurs continuant à diminuer.
Le moral est tout de même revenu grâce à l'attente de plus en plus grande d'assouplisements supplémentaires de la part de la Chine.
La grande distribution était sous les feux de l'actualité, Best Buy en tête, dont il se disait que le fondateur, Richard Schulze, travaillerait avec des banques, notamment le Crédit Suisse, pour préparer une prise de contrôle privée du premier revendeur de matériel électronique au monde.
La technologie n'était pas en reste, Google prévoyant de dévoiler cette semaine une tablette électronique à 199 USD en coopération avec le taïwanais Asustek Computer au cours d'une conférence de ses développeurs, visant clairement à concurrencer l'iPad d'Apple, et engrangeant du coup 0.41% après la fermeture.
La firme à la pomme a pour sa part grignoté 0.21% en pré-ouverture après qu'un juge ait donné suite à sa demande d'interdiction de mise en vente des Galaxy Tab 10.1 de Samsung Electronics aux Etats-Unis, accordant ainsi une bataille à l'assembleur de l'iPhone dans la guerre mondiale des brevets sur les intelliphones et les tablettes.
Du côté d'Internet, Facebook a arraché 0.18% sur les transactions d'avant l'ouverture, après avoir engrangé plus de 3% hier, après que les plus gros établissements financiers de Wall Street lui aient décerné leur approbation prudente lors de leurs évaluations.
Leurs analystes ont en effet déclaré y déceler un potentiel à long terme significatif, s'attendant à le voir s'arroger une portion substantiel du marché de la publicité en ligne.
Les laboratoires pharmaceutiques Bristol-Myers Squibb ont quand à eux déclaré le même jour que son conseil d'administration avait donné son feu vert au rachat de 3 milliards d'USD de ses actions de base en plus du programme d'un volume identique lancé en 2012, les faisant grimper de 0.78% après la clôture des échanges.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'empire médiatique News Corp. de Rupert Murdoch, qui s'est envolé hier de 8% avec la confirmation officielle d'une division probable de celui-ci en deux entités distinctes.
Les bourses européennes étaient quand à elles en forme, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.33%, le CAC 40 français 0.43%, le DAX 30 allemand 0.34% et le FTSE 100 britannique 0.33%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a raflé 1.1%, et le Nikkei 225 japonais 0.8%.
Les Etats-Unis publieront de leur côté cet après-midi le volume des commandes de biens durables mesuré par les autorités, sans oublier des chiffres d'experts sur les ventes de logements en cours et l'inventaire gouvernemental des réserves pétrolières nationales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Les probabilités d'apparition de solutions à la crise de la dette semblaient s'évanouir à la veille de la réunion des chefs des états membres de l'UE, alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, avait martelé hier son opposition à l'émission d'Eurobons du trésor mutualisés.
Sa discussion d'aujourd'hui avec le président français François Hollande, en préambule des pourparlers européens des deux prochains jours, était toutefois surveillée de près.
L'Italie a pour sa part vu ce matin les coûts de ses emprunts s'élever à leur plus haut niveau depuis décembre lors d'une adjudication de dettes à six mois, sa popularité auprès des investisseurs continuant à diminuer.
Le moral est tout de même revenu grâce à l'attente de plus en plus grande d'assouplisements supplémentaires de la part de la Chine.
La grande distribution était sous les feux de l'actualité, Best Buy en tête, dont il se disait que le fondateur, Richard Schulze, travaillerait avec des banques, notamment le Crédit Suisse, pour préparer une prise de contrôle privée du premier revendeur de matériel électronique au monde.
La technologie n'était pas en reste, Google prévoyant de dévoiler cette semaine une tablette électronique à 199 USD en coopération avec le taïwanais Asustek Computer au cours d'une conférence de ses développeurs, visant clairement à concurrencer l'iPad d'Apple, et engrangeant du coup 0.41% après la fermeture.
La firme à la pomme a pour sa part grignoté 0.21% en pré-ouverture après qu'un juge ait donné suite à sa demande d'interdiction de mise en vente des Galaxy Tab 10.1 de Samsung Electronics aux Etats-Unis, accordant ainsi une bataille à l'assembleur de l'iPhone dans la guerre mondiale des brevets sur les intelliphones et les tablettes.
Du côté d'Internet, Facebook a arraché 0.18% sur les transactions d'avant l'ouverture, après avoir engrangé plus de 3% hier, après que les plus gros établissements financiers de Wall Street lui aient décerné leur approbation prudente lors de leurs évaluations.
Leurs analystes ont en effet déclaré y déceler un potentiel à long terme significatif, s'attendant à le voir s'arroger une portion substantiel du marché de la publicité en ligne.
Les laboratoires pharmaceutiques Bristol-Myers Squibb ont quand à eux déclaré le même jour que son conseil d'administration avait donné son feu vert au rachat de 3 milliards d'USD de ses actions de base en plus du programme d'un volume identique lancé en 2012, les faisant grimper de 0.78% après la clôture des échanges.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'empire médiatique News Corp. de Rupert Murdoch, qui s'est envolé hier de 8% avec la confirmation officielle d'une division probable de celui-ci en deux entités distinctes.
Les bourses européennes étaient quand à elles en forme, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.33%, le CAC 40 français 0.43%, le DAX 30 allemand 0.34% et le FTSE 100 britannique 0.33%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a raflé 1.1%, et le Nikkei 225 japonais 0.8%.
Les Etats-Unis publieront de leur côté cet après-midi le volume des commandes de biens durables mesuré par les autorités, sans oublier des chiffres d'experts sur les ventes de logements en cours et l'inventaire gouvernemental des réserves pétrolières nationales.