Investing.com - L’indice phare de la Bourse de Paris avançait de 0,43% à mi-séance mardi, soutenu par les attentes d’assouplissement monétaire de la part de la Banque centrale européenne plus tard cette semaine.
Les analystes prévoient une baisse d’un quart de point à 0,75% du taux refi de la BCE jeudi.
Par ailleurs, l’annonce hier d'une contraction de l'activité manufacturière américaine, la première depuis trois ans, renforçait la perspective d'un nouveau round de rachats d'actifs, ou QE3, par la Fed à la fin du mois.
Sur le front macroéconomique, les prix à la production ont diminué de 0,5% dans la zone euro en mai, soit plus que les -0,3% anticipés par les analystes. Sur un an, ils ont cependant augmenté de 2,3%.
Peugeot affichait la plus forte progression de l’indice parisien mardi. A mi-séance, le titre s’appréciait de 4,03% après avoir fait savoir qu’un comité central d’entreprise extraordinaire aura lieu le 12 juillet prochain.
Selon certaines organisations syndicales, le groupe aurait l’intention de supprimer entre 8 et 10.000 emplois, soit plus du double du chiffre annoncé fin 2011, dans le cadre du plan de redressement de l’entreprise.
Renault s’inscrivait également dans le vert, en hausse de 1,64% en milieu de journée. Le Comité des constructeurs français d'automobiles avait annoncé, lundi, que les ventes de la marque au losange en France ont progressé de 9,5% en juin et que celles de Peugeot ont chuté de 9,5%.
Dans l’ensemble, les immatriculations de voitures neuves en France ont accusé une baisse de 0,9% le mois dernier.
Par ailleurs, les valeurs liées aux matières premières ont gagné du terrain mardi, à l’image d’ArcelorMittal, en hausse de 2,88% à mi-séance, après que Kepler a relevé sa recommandation sur le titre de ‘alléger’ à ‘neutre’.
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé en milieu de journée, effaçant une partie de leurs gains de début séance. BNP Paribas reculait de 1,11% et Société Générale s’appréciait de 1,06%.
Crédit Agricole avançait aussi de 0,81% alors que la banque continuait de discuter de la vente de tout ou partie du périmètre de sa filiale grecque Emporiki Bank avec plusieurs établissements financiers. Une information confirmée, mardi matin, par la National Bank of Greece.
EADS cédait également du terrain, en repli de 0,26% en milieu de séance, suivant les déclarations du directeur commercial d’Airbus, John Leahy, selon lequel l’avionneur produira finalement chaque mois plus de 50 A320neo, version améliorée de son monocouloir vedette prévue pour 2015. Ces déclarations sont intervenues à l’occasion de l’annonce de l’implantation d’une usine d’assemblage en Alabama, aux Etats-Unis.
Enfin, Bouygues perdait 1,31% mardi, à quelques heures de l’annonce d’un plan de départs volontaires concernant plusieurs centaines de salariés, lors d'un comité central d'entreprise prévu dans l’après-midi, selon Les Echos.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,50%, le DAX grimpait de 0,73% et le Footsie 100 avançait de 0,30%.
Un indicateur américain était attendu dans l’après-midi: les commandes à l'industrie de mai.
Les analystes prévoient une baisse d’un quart de point à 0,75% du taux refi de la BCE jeudi.
Par ailleurs, l’annonce hier d'une contraction de l'activité manufacturière américaine, la première depuis trois ans, renforçait la perspective d'un nouveau round de rachats d'actifs, ou QE3, par la Fed à la fin du mois.
Sur le front macroéconomique, les prix à la production ont diminué de 0,5% dans la zone euro en mai, soit plus que les -0,3% anticipés par les analystes. Sur un an, ils ont cependant augmenté de 2,3%.
Peugeot affichait la plus forte progression de l’indice parisien mardi. A mi-séance, le titre s’appréciait de 4,03% après avoir fait savoir qu’un comité central d’entreprise extraordinaire aura lieu le 12 juillet prochain.
Selon certaines organisations syndicales, le groupe aurait l’intention de supprimer entre 8 et 10.000 emplois, soit plus du double du chiffre annoncé fin 2011, dans le cadre du plan de redressement de l’entreprise.
Renault s’inscrivait également dans le vert, en hausse de 1,64% en milieu de journée. Le Comité des constructeurs français d'automobiles avait annoncé, lundi, que les ventes de la marque au losange en France ont progressé de 9,5% en juin et que celles de Peugeot ont chuté de 9,5%.
Dans l’ensemble, les immatriculations de voitures neuves en France ont accusé une baisse de 0,9% le mois dernier.
Par ailleurs, les valeurs liées aux matières premières ont gagné du terrain mardi, à l’image d’ArcelorMittal, en hausse de 2,88% à mi-séance, après que Kepler a relevé sa recommandation sur le titre de ‘alléger’ à ‘neutre’.
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé en milieu de journée, effaçant une partie de leurs gains de début séance. BNP Paribas reculait de 1,11% et Société Générale s’appréciait de 1,06%.
Crédit Agricole avançait aussi de 0,81% alors que la banque continuait de discuter de la vente de tout ou partie du périmètre de sa filiale grecque Emporiki Bank avec plusieurs établissements financiers. Une information confirmée, mardi matin, par la National Bank of Greece.
EADS cédait également du terrain, en repli de 0,26% en milieu de séance, suivant les déclarations du directeur commercial d’Airbus, John Leahy, selon lequel l’avionneur produira finalement chaque mois plus de 50 A320neo, version améliorée de son monocouloir vedette prévue pour 2015. Ces déclarations sont intervenues à l’occasion de l’annonce de l’implantation d’une usine d’assemblage en Alabama, aux Etats-Unis.
Enfin, Bouygues perdait 1,31% mardi, à quelques heures de l’annonce d’un plan de départs volontaires concernant plusieurs centaines de salariés, lors d'un comité central d'entreprise prévu dans l’après-midi, selon Les Echos.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,50%, le DAX grimpait de 0,73% et le Footsie 100 avançait de 0,30%.
Un indicateur américain était attendu dans l’après-midi: les commandes à l'industrie de mai.