Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, dans l'espoir que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, laisse entrevoir le besoin de nouveaux accomodements lors de son témoignage de cet après-midi devant le sénat.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.2304.
Les bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé en juin pour le troisième mois consécutif.
La livre sterling lui a par contre cédé quelques pouces de terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.02% pour glisser à 1.5634.
Des informations officielles avaient montré ce matin que les prix au détail britanniques avaient connu en juin leur plus faible augmentation depuis novembre 2009, avec 2.4% à l'année, contre 2.8% en mai.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY prenant 0.19% pour se retrouver à 79.01, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.29% pour tomber à 0.9758.
La devise nippone est en effet retombée après que Jun Azumi, le ministre des finances japonais, ait laissé entendre que le gouvernement restait prêt à intervenir pour juguler toute envolée de sa part.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 1.0145, l'AUD/USD raflant 0.5% pour monter à 1.03 et le NZD/USD engrangeant 0.21% pour culminer à 0.7995.
Le compte-rendu de la réunion de la Réserve Bancaire d'Australie de juillet avait montré en début de matinée que les membres de son conseil directeur n'envisageaient pas de nouvelles injections de liquidités dans les mois à venir, donnant un coup de pouce à l'unité monétaire nationale.
Les autorités de Nouvelle-Zélande ont quand à elles fait savoir que pour le trimestre achevé en juin, l'inflation à la consommation du pays avait été inférieure aux prédictions, confortant l'idée selon laquelle la banque centrale devrait maintenir ses taux à leur niveau actuel à moyen terme.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.15% pour se situer à 83.1.
Les Etats-Unis devraient pour leur part divulguer en fin de journée leur évolution des prix à la consommation, ainsi que des études sur le taux d'utilisation des capacités et la production des industries.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.2304.
Les bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé en juin pour le troisième mois consécutif.
La livre sterling lui a par contre cédé quelques pouces de terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.02% pour glisser à 1.5634.
Des informations officielles avaient montré ce matin que les prix au détail britanniques avaient connu en juin leur plus faible augmentation depuis novembre 2009, avec 2.4% à l'année, contre 2.8% en mai.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY prenant 0.19% pour se retrouver à 79.01, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.29% pour tomber à 0.9758.
La devise nippone est en effet retombée après que Jun Azumi, le ministre des finances japonais, ait laissé entendre que le gouvernement restait prêt à intervenir pour juguler toute envolée de sa part.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 1.0145, l'AUD/USD raflant 0.5% pour monter à 1.03 et le NZD/USD engrangeant 0.21% pour culminer à 0.7995.
Le compte-rendu de la réunion de la Réserve Bancaire d'Australie de juillet avait montré en début de matinée que les membres de son conseil directeur n'envisageaient pas de nouvelles injections de liquidités dans les mois à venir, donnant un coup de pouce à l'unité monétaire nationale.
Les autorités de Nouvelle-Zélande ont quand à elles fait savoir que pour le trimestre achevé en juin, l'inflation à la consommation du pays avait été inférieure aux prédictions, confortant l'idée selon laquelle la banque centrale devrait maintenir ses taux à leur niveau actuel à moyen terme.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.15% pour se situer à 83.1.
Les Etats-Unis devraient pour leur part divulguer en fin de journée leur évolution des prix à la consommation, ainsi que des études sur le taux d'utilisation des capacités et la production des industries.