Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, les yeux rivés sur le témoignage semestriel de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, débutant cet après-midi devant le congrès, guettant tout indice de nouveaux apports de capitaux.
Les performances de poids lourds tels que Goldman Sachs et Coca Cola étaient également à l'ordre du jour.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% également, et celles sur le Nasdaq 100 à 0.45%.
Le moral restait bon à l'approche du rapport de M. Bernanke sur les perspectives économiques du pays devant le sénat cet après-midi, ainsi que celui de demain, sur fond de bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux.
Ceux-ci allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé en juin pour le troisième mois consécutif.
Le pays comptait d'autre part divulguer en fin de journée son évolution des prix à la consommation, ainsi que des études sur le taux d'utilisation des capacités et la production des industries.
Un regain des probabilités de nouvelles injections de liquidités avait eu lieu après que Wen Jiabao, premier ministre chinois, ait averti en fin de semaine que les décideurs avaient des chances de prendre des mesures stimulatrices en seconde partie d'année.
Ces propos survenaient après que les autorités du pays aient montré que le produit intérieur brut de la Chine avait augmenté sans surprise de 7.6% au second trimestre, contre 8.1% au cours du précédent, son rythme le plus modéré des trois dernières années.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, la banque d'affaires Goldman Sachs engrangeait 0.5% en pré-ouverture, à l'orée de la diffusion de ses résultats très attendus du second trimestre.
Johnson & Johnson et Coca-Cola devaient aussi faire de même avant le lancement de la session, tandis qu'Intel et Yahoo attendront sa fin.
Ce dernier était également sous les feux de l'actualité après avoir nommé Marissa Mayer, ancienne haute responsable chez Google, au poste de directrice générale, entraînant un bond de 2.6%.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt en forme, l'EURO STOXX 50 avançant de 0.5%, le CAC 40 français de 0.3%, le DAX 30 allemand de 0.3% aussi et le FTSE 100 britannique laissant échapper 0.4%.
L'Espagne a quand à elle vu une diminution des coûts de ses emprunts à court terme lors d'une mise aux enchères à la mi-journée de bons du trésor à 12 et 18 mois, mais le taux de ses obligations décennales s'était élevé jusqu'à 6.87%, demeurant dangereusement proche du seuil fatidique des 7%, sur fond d'inquiétudes concernant les caisses de l'état.
Il était également à noter que le moral économique allemand avait subi pour ce mois-ci son troisième mois de repli d'affilée, tiré vers le bas par les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro.
Le centre de recherches économiques ZEW avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de la confiance dans l'économie avait plongé à -19.6 en juillet, contre -16.9 auparavant, dépassant tout de même de peu les -20 redoutés.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 1.75%, et le Nikkei 225 japonais 0.4%.
Les performances de poids lourds tels que Goldman Sachs et Coca Cola étaient également à l'ordre du jour.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% également, et celles sur le Nasdaq 100 à 0.45%.
Le moral restait bon à l'approche du rapport de M. Bernanke sur les perspectives économiques du pays devant le sénat cet après-midi, ainsi que celui de demain, sur fond de bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux.
Ceux-ci allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé en juin pour le troisième mois consécutif.
Le pays comptait d'autre part divulguer en fin de journée son évolution des prix à la consommation, ainsi que des études sur le taux d'utilisation des capacités et la production des industries.
Un regain des probabilités de nouvelles injections de liquidités avait eu lieu après que Wen Jiabao, premier ministre chinois, ait averti en fin de semaine que les décideurs avaient des chances de prendre des mesures stimulatrices en seconde partie d'année.
Ces propos survenaient après que les autorités du pays aient montré que le produit intérieur brut de la Chine avait augmenté sans surprise de 7.6% au second trimestre, contre 8.1% au cours du précédent, son rythme le plus modéré des trois dernières années.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, la banque d'affaires Goldman Sachs engrangeait 0.5% en pré-ouverture, à l'orée de la diffusion de ses résultats très attendus du second trimestre.
Johnson & Johnson et Coca-Cola devaient aussi faire de même avant le lancement de la session, tandis qu'Intel et Yahoo attendront sa fin.
Ce dernier était également sous les feux de l'actualité après avoir nommé Marissa Mayer, ancienne haute responsable chez Google, au poste de directrice générale, entraînant un bond de 2.6%.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt en forme, l'EURO STOXX 50 avançant de 0.5%, le CAC 40 français de 0.3%, le DAX 30 allemand de 0.3% aussi et le FTSE 100 britannique laissant échapper 0.4%.
L'Espagne a quand à elle vu une diminution des coûts de ses emprunts à court terme lors d'une mise aux enchères à la mi-journée de bons du trésor à 12 et 18 mois, mais le taux de ses obligations décennales s'était élevé jusqu'à 6.87%, demeurant dangereusement proche du seuil fatidique des 7%, sur fond d'inquiétudes concernant les caisses de l'état.
Il était également à noter que le moral économique allemand avait subi pour ce mois-ci son troisième mois de repli d'affilée, tiré vers le bas par les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro.
Le centre de recherches économiques ZEW avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de la confiance dans l'économie avait plongé à -19.6 en juillet, contre -16.9 auparavant, dépassant tout de même de peu les -20 redoutés.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 1.75%, et le Nikkei 225 japonais 0.4%.