Investing.com - L'euro a dérapé dans une ornière de deux semaines et demie face à la livre sterling ce jeudi, après qu'il ait été montré que les ventes au détail du Royaume-Uni avaient connu en juillet une embellie surprenante, laissant à penser que l'économie du pays n'était pas aussi affaiblie qu'il avait été craint.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.7813 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 31 juillet, puis s'est stabilisée vers 0.7818, perdant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7789, son plancher du 30 juillet, et de rencontrer de la résistance à 0.7845, son plafond du jour.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers du pays avaient augmenté de 0.3% après jaustement saisonnier en juillet, alors qu'un recul de 0.1% était redouté.
Celles du mois précédent ont quand à elles été revues à la hausse, avec 0.8% de progression au lieu des 0.1% évalués auparavant.
Elles auront ainsi engrangé 2.8% annualisés le mois dernier, pulvérisant les 1.4% attendus, après avoir déjà gagné 1.6% en juin.
Les ventes de base de juillet, excluant celles d'automobiles, ont par contre stagné, mais un passage à vide de 0.2% était redouté, après leur sursaut précédent de 1.1%.
L'organisme a par contre précisé que les jeux olympiques semblaient n'avoir eu aucune influence dans ce domaine.
Le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre de ce mois-ci, divulgué hier, avait signalé que les membres de son conseil avaient unanimement voté en faveur du maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP.
Il était aussi à noter que le nombre des personnes réclamant des allocations chômage avait diminué dans le pays sans crier gare en juillet, et que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de reculer de 8.2 vers 8.1% le mois précédent.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette ces dernières semaines, les craintes concernant les perspectives économiques britanniques ravivant l'attente d'accomodements monétaires imminents de la part de la banque centrale, ce qui en diminuerait la valeur.
La monnaie unique a également cédé du terrain au dollar U.S. mais a fait mieux que résister au yen, l'EUR/USD glissant de 0.15% pour chuter à 1.227 et l'EUR/JPY arrachaant 0.09% pour se hisser à 97.16.
Elle n'a par ailleurs guère fait de cas de chiffres officiels selon lesquels l'inflation à la consommation du bloc où elle a cours était sans surprise demeurée stable à 2.4% le mois dernier.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.7813 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 31 juillet, puis s'est stabilisée vers 0.7818, perdant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7789, son plancher du 30 juillet, et de rencontrer de la résistance à 0.7845, son plafond du jour.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers du pays avaient augmenté de 0.3% après jaustement saisonnier en juillet, alors qu'un recul de 0.1% était redouté.
Celles du mois précédent ont quand à elles été revues à la hausse, avec 0.8% de progression au lieu des 0.1% évalués auparavant.
Elles auront ainsi engrangé 2.8% annualisés le mois dernier, pulvérisant les 1.4% attendus, après avoir déjà gagné 1.6% en juin.
Les ventes de base de juillet, excluant celles d'automobiles, ont par contre stagné, mais un passage à vide de 0.2% était redouté, après leur sursaut précédent de 1.1%.
L'organisme a par contre précisé que les jeux olympiques semblaient n'avoir eu aucune influence dans ce domaine.
Le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre de ce mois-ci, divulgué hier, avait signalé que les membres de son conseil avaient unanimement voté en faveur du maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP.
Il était aussi à noter que le nombre des personnes réclamant des allocations chômage avait diminué dans le pays sans crier gare en juillet, et que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de reculer de 8.2 vers 8.1% le mois précédent.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette ces dernières semaines, les craintes concernant les perspectives économiques britanniques ravivant l'attente d'accomodements monétaires imminents de la part de la banque centrale, ce qui en diminuerait la valeur.
La monnaie unique a également cédé du terrain au dollar U.S. mais a fait mieux que résister au yen, l'EUR/USD glissant de 0.15% pour chuter à 1.227 et l'EUR/JPY arrachaant 0.09% pour se hisser à 97.16.
Elle n'a par ailleurs guère fait de cas de chiffres officiels selon lesquels l'inflation à la consommation du bloc où elle a cours était sans surprise demeurée stable à 2.4% le mois dernier.