Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, le moral étant revenu grâce à l'espoir d'avancées dans la résolution de la crise de la dette régionale, ravivé par les propos d'un décideur germanique concernant le programme d'acquisitions d'obligations par Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.74%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 0.62%.
Jörg Asmussen, membre allemand du conseil directeur de la BCE, a en effet déclaré ce matin dans un entretien pour le journal The Telegraph qu'il soutiendrait la proposition d'achat de bons du trésor de Mario Draghi, président de celle-ci, et ce malgré les avertissements de la Bundesbank.
Cette dernière a en effet rappelé une fois de plus hier lors de son bulletin mensuel qu'elle était opposée à une telle manoeuvre.
L'idée selon laquelle la BCE compterait établir en septembre des limites aux rapports des bons du trésor de la région a toutefois été démentie lundi par celle-ci, qui a du coup déclaré "absolument trompeurs" les articles rapportant des décisions n'ayant pas encore été prises.
L'attention se concentrera également demain sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La finance était largement en forme, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit en tête, engrangeant respectivement 2.63 et 1.96%.
En france, Société Générale et BNP Paribas apportaient leur pierre à l'édifice avec 1.54 et 1.51%, suivis par les allements Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.99 et 0.48%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Lindt & Sprungli fondait de 1.81%, déplorant que le marché du chocolat européen ait "stagné" au premier semestre 2012.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.59%, dans l'expectative d'un rapport sur les emprunts du secteur public britannique.
Anglo American, un des poids lourds des hydrocarbures, était dans le peloton de tête avec une envolée de 2.05%, tandis que les compagnies minières Polymetal et Avraz lui emboîtaient le pas avec 2.9& et 2.68%.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste, avec 1.83 et 1.69%, tandis que le cuivrier Xstrata dérapait par contre de 0.26%, sur fond de rumeurs selon lesquelles Glencore s'en tiendrait aujourd'hui à son offre de 30 milliards d'USD pour l'acquérir.
Ses résultats semestriels semblaient devoir être mis à mal par les chutes des cours, nuisant ainsi aux probabilités d'une surenchère pour l'instant.
La City gardait globalement le sourire, la Royal Bank of Scotland rebondissant de 1.96% et Barclays de 1.65%, Lloyds Banking et HSBC Holdings se contentant de 0.99 et 0.44%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs pour aujourd'hui, et le volume des transactions faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.74%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 0.62%.
Jörg Asmussen, membre allemand du conseil directeur de la BCE, a en effet déclaré ce matin dans un entretien pour le journal The Telegraph qu'il soutiendrait la proposition d'achat de bons du trésor de Mario Draghi, président de celle-ci, et ce malgré les avertissements de la Bundesbank.
Cette dernière a en effet rappelé une fois de plus hier lors de son bulletin mensuel qu'elle était opposée à une telle manoeuvre.
L'idée selon laquelle la BCE compterait établir en septembre des limites aux rapports des bons du trésor de la région a toutefois été démentie lundi par celle-ci, qui a du coup déclaré "absolument trompeurs" les articles rapportant des décisions n'ayant pas encore été prises.
L'attention se concentrera également demain sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La finance était largement en forme, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit en tête, engrangeant respectivement 2.63 et 1.96%.
En france, Société Générale et BNP Paribas apportaient leur pierre à l'édifice avec 1.54 et 1.51%, suivis par les allements Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.99 et 0.48%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Lindt & Sprungli fondait de 1.81%, déplorant que le marché du chocolat européen ait "stagné" au premier semestre 2012.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.59%, dans l'expectative d'un rapport sur les emprunts du secteur public britannique.
Anglo American, un des poids lourds des hydrocarbures, était dans le peloton de tête avec une envolée de 2.05%, tandis que les compagnies minières Polymetal et Avraz lui emboîtaient le pas avec 2.9& et 2.68%.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste, avec 1.83 et 1.69%, tandis que le cuivrier Xstrata dérapait par contre de 0.26%, sur fond de rumeurs selon lesquelles Glencore s'en tiendrait aujourd'hui à son offre de 30 milliards d'USD pour l'acquérir.
Ses résultats semestriels semblaient devoir être mis à mal par les chutes des cours, nuisant ainsi aux probabilités d'une surenchère pour l'instant.
La City gardait globalement le sourire, la Royal Bank of Scotland rebondissant de 1.96% et Barclays de 1.65%, Lloyds Banking et HSBC Holdings se contentant de 0.99 et 0.44%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs pour aujourd'hui, et le volume des transactions faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.