Investing.com - Le dollar U.S. a pris le dessus face au yen ce lundi, mais son avancée demeurait limitée par la nervosité à l'orée de la révélation des performances de la zone euro devant être révélées cette semaine, sur fond de persistance de la crise de la dette régionale.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 78.84 en début de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 22 août, puis s'est stabilisée vers 78.71, grignotant 0.07%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 78.43, son plancher du 24 août, et de rencontrer de la résistance à 79.04, son plafond du 15 août.
La prudence destait de mise après que la chancelière allemande Angela Merkel ait ravivé les angoisses découlant de la crise de la dette de la zone euro en rejetant la demande d'un prolongement du programme de réforme de la Grèce.
Elle a en effet déclaré suite à ses négociations de vendredi avec son homologue grec Antonis Samaras que le pays de ce dernier devait faire la preuve de sa capacité à mettre en place les mesures d'austérité adoptées sous la pression des bailleurs de fonds internationaux, tout en rappelant cependant que son maintien au sein de la zone euro était préférable.
Les observateurs guettaient d'autre part le baromètre du moral dans les affaires allemandes, établi par l'institut Ifo pour la recherche économique, en raison des craintes concernant les conséquences du problème du surendettement de la région sur sa plus grosse économie.
Le discours de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, lors du symposium annuel à Jackson Hole, dans le Wyoming, devrait quand à lui être le point d'orgue de la semaine à venir, afin d'y glaner des indices sur sa propension à procéder à de nouvelles stimulations monétaires.
Le devise du pays du soleil levant a toutefois fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0.05% pour glisser à 98.36.
Les volumes échangés semblaient malgré tout devoir demeurer limités pour aujourd'hui, les places britanniques étant closes pour cause de jour férié.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 78.84 en début de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 22 août, puis s'est stabilisée vers 78.71, grignotant 0.07%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 78.43, son plancher du 24 août, et de rencontrer de la résistance à 79.04, son plafond du 15 août.
La prudence destait de mise après que la chancelière allemande Angela Merkel ait ravivé les angoisses découlant de la crise de la dette de la zone euro en rejetant la demande d'un prolongement du programme de réforme de la Grèce.
Elle a en effet déclaré suite à ses négociations de vendredi avec son homologue grec Antonis Samaras que le pays de ce dernier devait faire la preuve de sa capacité à mettre en place les mesures d'austérité adoptées sous la pression des bailleurs de fonds internationaux, tout en rappelant cependant que son maintien au sein de la zone euro était préférable.
Les observateurs guettaient d'autre part le baromètre du moral dans les affaires allemandes, établi par l'institut Ifo pour la recherche économique, en raison des craintes concernant les conséquences du problème du surendettement de la région sur sa plus grosse économie.
Le discours de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, lors du symposium annuel à Jackson Hole, dans le Wyoming, devrait quand à lui être le point d'orgue de la semaine à venir, afin d'y glaner des indices sur sa propension à procéder à de nouvelles stimulations monétaires.
Le devise du pays du soleil levant a toutefois fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0.05% pour glisser à 98.36.
Les volumes échangés semblaient malgré tout devoir demeurer limités pour aujourd'hui, les places britanniques étant closes pour cause de jour férié.