Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. ce mercredi, demeurant proche d'un pic des sept dernières semaines, dans l'expectative du discours de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prévu vendredi, avec l'espoir d'initiatives de relance imminentes de la part des principales banques centrales.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2553 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2558, trébuchant de 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.248, son plancher du 24 août, et de rencontrer de la résistance à 1.2663, son plafond du 15 juin.
La monnaie unique s'était ragaillardie après que la Banque Centrale Européenne ait révélé que son président Mario Draghi serait absent du symposium annuel de la Fed à Jackson Hole, dans le Wyoming, à cause de sa "charge de travail" des prochains jours.
Cette annonce surprenante a alimenté les spéculations selon lesquelles la BCE serait en train de travailler sur des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux en préparation de sa réunion du 6 septembre.
Il était pourtant prévu que son chef prenne samedi la parole devant ses collègues, au lendemain de l'intervention cruciale de M. Bernanke, son homologue de la Fed, sur fond de rumeurs d'assouplissements supplémentaires.
L'avancée demeurait toutefois limitée, la prudence restant à l'ordre du jour après qu'il ait été montré hier que l'économie espagnole avait subi une récession aggravée au second trimestre, et que même la Catalogne, sa région le plus importante économiquement, avait demandé de l'aide financière à Marid.
L'euro a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne fléchissant que de 0.03% pour glisser à 0.7939.
En zone euro, l'Allemagne fournira son évaluation préliminaire de son évolution des prix à la consommation.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur produit intérieur brut révisé du second trimestre, tandis que le volume des ventes de logements en cours sera révélé par les principaux acteurs de l'immobilier.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2553 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2558, trébuchant de 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.248, son plancher du 24 août, et de rencontrer de la résistance à 1.2663, son plafond du 15 juin.
La monnaie unique s'était ragaillardie après que la Banque Centrale Européenne ait révélé que son président Mario Draghi serait absent du symposium annuel de la Fed à Jackson Hole, dans le Wyoming, à cause de sa "charge de travail" des prochains jours.
Cette annonce surprenante a alimenté les spéculations selon lesquelles la BCE serait en train de travailler sur des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux en préparation de sa réunion du 6 septembre.
Il était pourtant prévu que son chef prenne samedi la parole devant ses collègues, au lendemain de l'intervention cruciale de M. Bernanke, son homologue de la Fed, sur fond de rumeurs d'assouplissements supplémentaires.
L'avancée demeurait toutefois limitée, la prudence restant à l'ordre du jour après qu'il ait été montré hier que l'économie espagnole avait subi une récession aggravée au second trimestre, et que même la Catalogne, sa région le plus importante économiquement, avait demandé de l'aide financière à Marid.
L'euro a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne fléchissant que de 0.03% pour glisser à 0.7939.
En zone euro, l'Allemagne fournira son évaluation préliminaire de son évolution des prix à la consommation.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur produit intérieur brut révisé du second trimestre, tandis que le volume des ventes de logements en cours sera révélé par les principaux acteurs de l'immobilier.