Investing.com - Le dollar U.S. restait limité à une bande étroite face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, l'ambiance demeurant bonne grâce à l'espoir que la Banque Centrale Européenne prenne des initiatives innovantes dans la lutte contre la crise du bloc euro.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.18% pour tomber à 1.2569.
La monnaie unique restait populaire grâce à l'attente de l'annonce par la BCE après son conseil d'orientation de jeudi des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires régionaux.
Elle n'a d'autre part guère fait cas du placement ce matin par l'agence de notation Moody's de la notation triple A de l'Union Européenne auparavant stable sous une perspective négative.
La prochaine prise de cap de la Réserve Fédérale des Etats-Unis sera également surveillée de près, en raison des rumeurs sur sa propension à injecter davantage de capitaux.
La livre sterling lui a également cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0.07% pour glisser à 1.5873.
La devise de la Grande-Bretagne s'est toutefois retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité dans le secteur de la construction britannique avait diminué sans crier gare en août, les nouvelles commandes subissant leur plus forte baisse depuis avril 2009.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment national établi par le groupe de recherches économiques Markit a en effet plongé de 50.9 vers 49, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 50 pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY prenant 0.16% pour se retrouver à 78.38, et l'USD/CHF gagnant 0.18% pour grimper à 0.9554.
Ce dernier n'a été que peu perturbé par des informations émanant du gouvernement helvète soulignant ce matin que le produit intérieur brut de la confédération avait subi au second trimestre un revers inattendu de 0.1%, au lieu des 0.2% espérés, en raison de la faiblesse des exportations à destination du bloc euro.
Mais l'économie du pays a tout de même progressé de 0.5% annualisés d'avril à juin, par rapport à la même période de l'année précédente.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été à peine dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 0.9848, l'AUD/USD commettant un faux pas de 0.01% pour sse rétracter à 1.0247 et le NZD/USD dérapant de 0.37% pour toucher le fond à 0.7946.
La Réserve Bancaire d'Australie avait fait savoir en début de matinée qu'elle maintenait sans surprise son taux d'intérêt directeur à 3.5%, ajoutant que sa politique monétaire lui semblait appropriée, malgré le ralentissement de la croissance mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.16 pour s'établir à 81.3.
L'institut de gestion des approvisionnements ISM comptait de son côté rendre dans l'après-midi son rapport crucial sur l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.18% pour tomber à 1.2569.
La monnaie unique restait populaire grâce à l'attente de l'annonce par la BCE après son conseil d'orientation de jeudi des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires régionaux.
Elle n'a d'autre part guère fait cas du placement ce matin par l'agence de notation Moody's de la notation triple A de l'Union Européenne auparavant stable sous une perspective négative.
La prochaine prise de cap de la Réserve Fédérale des Etats-Unis sera également surveillée de près, en raison des rumeurs sur sa propension à injecter davantage de capitaux.
La livre sterling lui a également cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0.07% pour glisser à 1.5873.
La devise de la Grande-Bretagne s'est toutefois retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité dans le secteur de la construction britannique avait diminué sans crier gare en août, les nouvelles commandes subissant leur plus forte baisse depuis avril 2009.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment national établi par le groupe de recherches économiques Markit a en effet plongé de 50.9 vers 49, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 50 pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY prenant 0.16% pour se retrouver à 78.38, et l'USD/CHF gagnant 0.18% pour grimper à 0.9554.
Ce dernier n'a été que peu perturbé par des informations émanant du gouvernement helvète soulignant ce matin que le produit intérieur brut de la confédération avait subi au second trimestre un revers inattendu de 0.1%, au lieu des 0.2% espérés, en raison de la faiblesse des exportations à destination du bloc euro.
Mais l'économie du pays a tout de même progressé de 0.5% annualisés d'avril à juin, par rapport à la même période de l'année précédente.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été à peine dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 0.9848, l'AUD/USD commettant un faux pas de 0.01% pour sse rétracter à 1.0247 et le NZD/USD dérapant de 0.37% pour toucher le fond à 0.7946.
La Réserve Bancaire d'Australie avait fait savoir en début de matinée qu'elle maintenait sans surprise son taux d'intérêt directeur à 3.5%, ajoutant que sa politique monétaire lui semblait appropriée, malgré le ralentissement de la croissance mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.16 pour s'établir à 81.3.
L'institut de gestion des approvisionnements ISM comptait de son côté rendre dans l'après-midi son rapport crucial sur l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire des Etats-Unis.