Investing.com - Les bourses d'Europe n'étaient pas euphoriques ce mercredi, malgré l'espoir d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne destinées à juguler la crise régionale à la veille de sa prochaine réunion.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, et le CAC 40 français de 0.12%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.06%.
Son homologue d'Europe devrait vraisemblablement préciser après son conseil d'orientation de jeudi les détails d'un plan d'acquisition de dettes très attendu, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés du bloc euro.
Mario Draghi, son président, avait déclaré lundi aux législateurs européens que les achats d'obligations à court terme pour soulager les pays trop endettés comme l'Espagne ou l'Italie n'irait pas à l'encontre des règles adoptées par la région.
Mais la monnaie unique se trouvait toutefois friabilisée par l'angoisse d'une déception.
La finance était plutôt en panne, le français Société Générale reculant de 0.14%, et les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 0.08 et 0.25%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant signalé que ce dernier comptait supprimer 85 postes danss ses filiales du Japon et de Hong Kong, la croissance asiatique continuant à subir le frein du problème du surendettement de la zone euro.
BNP Paribas a toutefois gardé la tête hors de l'eau en grignotant 0.14%.
Le fabricant de téléphones Nokia a pour sa part dérapé de 3.49% après avoir dévoilé son intention de lancer un service gratuit de diffusion de musique pour les utilisateurs américains de son Lumia.
CEtte nouvelle survenait à la veille d'une présentation conjointe avec Microsoft au cours de laquelle il devrait lancer un ou plusieurs intelliphones utilisant le système d'exploitation Windows Phone 8.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.31%, tiré vers le bas par des mines et des hydrocarbures en berne.
BP, un des poids lourds de ce domaine, a plongé de 3.14%, et son rival Anglo American de 0.64%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto leur emboîtaient le pas avec 2.55 et 0.61%, tandis qu'Evraz fondait de 1.54%.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'opérateur de téléphonie mobile Vodafone reprenant 0.75%, et compensant les pertes subies hier après que Bernstein en ait dégradé l'appréciation, passant de "supérieur" à "conforme" aux attentes du marché.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking avançant de 0.21%, et la Royal Bank of Scotland de 0.07, tandis que Barclays et HSBC Holdings cédaient 0.74 et 0.82%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Les autorités de la zone euro publieront leurs chiffres des ventes au détail en cours de journée, tandis que les Etats-Unis concluront la journée avec les variations de leur productivité non-agricole.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, et le CAC 40 français de 0.12%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.06%.
Son homologue d'Europe devrait vraisemblablement préciser après son conseil d'orientation de jeudi les détails d'un plan d'acquisition de dettes très attendu, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés du bloc euro.
Mario Draghi, son président, avait déclaré lundi aux législateurs européens que les achats d'obligations à court terme pour soulager les pays trop endettés comme l'Espagne ou l'Italie n'irait pas à l'encontre des règles adoptées par la région.
Mais la monnaie unique se trouvait toutefois friabilisée par l'angoisse d'une déception.
La finance était plutôt en panne, le français Société Générale reculant de 0.14%, et les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 0.08 et 0.25%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant signalé que ce dernier comptait supprimer 85 postes danss ses filiales du Japon et de Hong Kong, la croissance asiatique continuant à subir le frein du problème du surendettement de la zone euro.
BNP Paribas a toutefois gardé la tête hors de l'eau en grignotant 0.14%.
Le fabricant de téléphones Nokia a pour sa part dérapé de 3.49% après avoir dévoilé son intention de lancer un service gratuit de diffusion de musique pour les utilisateurs américains de son Lumia.
CEtte nouvelle survenait à la veille d'une présentation conjointe avec Microsoft au cours de laquelle il devrait lancer un ou plusieurs intelliphones utilisant le système d'exploitation Windows Phone 8.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.31%, tiré vers le bas par des mines et des hydrocarbures en berne.
BP, un des poids lourds de ce domaine, a plongé de 3.14%, et son rival Anglo American de 0.64%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto leur emboîtaient le pas avec 2.55 et 0.61%, tandis qu'Evraz fondait de 1.54%.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'opérateur de téléphonie mobile Vodafone reprenant 0.75%, et compensant les pertes subies hier après que Bernstein en ait dégradé l'appréciation, passant de "supérieur" à "conforme" aux attentes du marché.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking avançant de 0.21%, et la Royal Bank of Scotland de 0.07, tandis que Barclays et HSBC Holdings cédaient 0.74 et 0.82%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Les autorités de la zone euro publieront leurs chiffres des ventes au détail en cours de journée, tandis que les Etats-Unis concluront la journée avec les variations de leur productivité non-agricole.