Investing.com - L'euro a limité les dégâts face au dollar U.S. ce mercredi après-midi, après qu'il ait été révélé que le secteur privé américain avait créé davantage d'emplois le mois dernier qu'espéré, mais l'inconnue du moment où l'Espagne pourrait réclamer une bouée de sauvetage l'handicapait toujours.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.2877, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.2914 en seconde partie de séance européenne, laissant tout de même échapper 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2802, son plancher de deux semaines datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.2967, son plafond d'hier.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a en effet affirmé que les employeurs privés non agricoles avaient compté 162 000 salariéss supplémentaires en septembre, dépassant largement les 143 000 espérés.
L'augmentation de 201 000 du mois précédent a toutefois dû être revue à la baisse vers 189 000.
La monnaie unique demeurait toutefois sur la sellette après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit imminente, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
La prudence restait de mise, après qu'il ait été relevé que le secteur des services avait subi des revers, remettant en question les possibilités de relance de la planète.
Des informations révisées signalaient ainsi que l'indice de l'activité de celui du bloc euro avait chuté jusqu'à 46.1 dans le même temps, nettement au-dessous des 50 dénotant la progression.
Les prestataires de services britanniques ont quand à eux constaté le mois passé les premières pertes d'emploi depuis juillet 2011, semant le doute quand aux possibilités de rebond national après une forte récession.
Des chiffres officiels avaient aussi montré en début de matinée que la croissance des services chinois avait été plus modérée en septembre.
L'euro a par ailleurs gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.8014, et encore plus contre le yen, l'EUR/JPY gagnant 0.3% pour grimper à 101.26.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec une étude sur l'activité des prestataires de services.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.2877, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.2914 en seconde partie de séance européenne, laissant tout de même échapper 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2802, son plancher de deux semaines datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.2967, son plafond d'hier.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a en effet affirmé que les employeurs privés non agricoles avaient compté 162 000 salariéss supplémentaires en septembre, dépassant largement les 143 000 espérés.
L'augmentation de 201 000 du mois précédent a toutefois dû être revue à la baisse vers 189 000.
La monnaie unique demeurait toutefois sur la sellette après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit imminente, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
La prudence restait de mise, après qu'il ait été relevé que le secteur des services avait subi des revers, remettant en question les possibilités de relance de la planète.
Des informations révisées signalaient ainsi que l'indice de l'activité de celui du bloc euro avait chuté jusqu'à 46.1 dans le même temps, nettement au-dessous des 50 dénotant la progression.
Les prestataires de services britanniques ont quand à eux constaté le mois passé les premières pertes d'emploi depuis juillet 2011, semant le doute quand aux possibilités de rebond national après une forte récession.
Des chiffres officiels avaient aussi montré en début de matinée que la croissance des services chinois avait été plus modérée en septembre.
L'euro a par ailleurs gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.8014, et encore plus contre le yen, l'EUR/JPY gagnant 0.3% pour grimper à 101.26.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec une étude sur l'activité des prestataires de services.