Investing.com - La livre sterling s'est extirpée d'un creux mensuel face au dollar U.S. ce mardi après-midi, mais demeurait toutefois fragilisée par des performances économiques décevantes et une aggravation de ses perspectives de croissance établies par le Fonds Monétaire International.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.6, son cours le plus bas depuis le 11 septembre, jusqu'à 1.6039 en seconde partie de séance européenne, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5958, son plancher du 9 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.6082, son plafond déjà éoqué.
La devise de la Grande-Bretagne s'était pourtant retrouvée sur la sellette après que le FMI ait estimé que l'économie britannique subirait une régression de 0.4% cette année, avant de rebondir avec 1.1% de croissance en 2013, au lieu des 0.2 et 1.4% d'amélioration respectifs espérés en juillet.
Il a aussi rabaissé de 3.5 vers 3.3% ses prédictions d'expansion planétaire pour 2012, avertissant qu'un échec des décideurs européens et américains dans la lutte contre leurs problèmes actuels pourrait menacer une relance qualifiée de "lente et chaotique".
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a pour sa part révélé que la production manufacturée avait reculé de 1.1% en août, au lieu des 0.6% déjà redoutés.
Il a également précisé que la production industrielle avait sans surprise fléchi de 0.5% dans le même temps.
Une autre étude montrait aussi que le déficit du commerce extérieur du pays s'était élargi à 9.8 milliards de GBP sur cette période, au lieu des 8.5 milliards envisagés.
Ces piètres résultats ont du coup le doute quand aux possibilités de rebond durable, ranimant la rumeur d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque d'Angleterre dès le mois prochain.
La prudence demeurait de mise en raison des incertitudes persistantes au sujet de l'éventuel recours de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, les chargés des caisses de la zone euro ayant déclaré hier que Madrid n'avait pas encore besoin d'aide extérieure.
La monnaie à l'effigie de la reine a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.19% pour déraper à 0.8076.
La chancelière allemande Angela Merkel devait quand à elle rencontrer aujourd'hui le premier ministre grec Antonis Samaras à Athènes, tandis que les ministres des finances de l'Union Européenne tenaient pour leur part leur seconde journée de négociations à Bruxelles.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.6, son cours le plus bas depuis le 11 septembre, jusqu'à 1.6039 en seconde partie de séance européenne, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5958, son plancher du 9 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.6082, son plafond déjà éoqué.
La devise de la Grande-Bretagne s'était pourtant retrouvée sur la sellette après que le FMI ait estimé que l'économie britannique subirait une régression de 0.4% cette année, avant de rebondir avec 1.1% de croissance en 2013, au lieu des 0.2 et 1.4% d'amélioration respectifs espérés en juillet.
Il a aussi rabaissé de 3.5 vers 3.3% ses prédictions d'expansion planétaire pour 2012, avertissant qu'un échec des décideurs européens et américains dans la lutte contre leurs problèmes actuels pourrait menacer une relance qualifiée de "lente et chaotique".
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a pour sa part révélé que la production manufacturée avait reculé de 1.1% en août, au lieu des 0.6% déjà redoutés.
Il a également précisé que la production industrielle avait sans surprise fléchi de 0.5% dans le même temps.
Une autre étude montrait aussi que le déficit du commerce extérieur du pays s'était élargi à 9.8 milliards de GBP sur cette période, au lieu des 8.5 milliards envisagés.
Ces piètres résultats ont du coup le doute quand aux possibilités de rebond durable, ranimant la rumeur d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque d'Angleterre dès le mois prochain.
La prudence demeurait de mise en raison des incertitudes persistantes au sujet de l'éventuel recours de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, les chargés des caisses de la zone euro ayant déclaré hier que Madrid n'avait pas encore besoin d'aide extérieure.
La monnaie à l'effigie de la reine a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.19% pour déraper à 0.8076.
La chancelière allemande Angela Merkel devait quand à elle rencontrer aujourd'hui le premier ministre grec Antonis Samaras à Athènes, tandis que les ministres des finances de l'Union Européenne tenaient pour leur part leur seconde journée de négociations à Bruxelles.