Investing.com - Les places d'Asie étaient mi-figue, mi-raisin ce jeudi matin, les résultats décevants des grandes entreprises mondiales continuant à nuire à l'attractivité de leurs parts.
Le Japon était cependant en tête de peloton, en raison de l'attente grandissante d'apports la semaine prochaine de capitaux supplémentaires de la part de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.1%, l'ASX/200 australien grignotait 0.1% et le Nikkei 225 japonais bondissait de 1.1%.
La Réserve Fédérale des Etats-Unis n'a pour sa part annoncé hier aucune mesure nouvelle à l'issue de ses deux jours de réunion, précisant que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle avait fait savoir à la mi-septembre qu'elle comptait acquérir 40 milliards d'USD mensuels de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché du travail des Etats-Unis recouvre la santé, pour sa troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
A Tokyo, le Nikkei a clôturé au plus haut des quatre dernières seaines, tiré vers le haut par l'espoir croissant que la banque centrale du pays injectera davantage de liquidités lors de sa prise de cap de mardi prochain.
Beaucoup des grandes compagnie nippones tournées vers l'extérieur en ont profité, le yen plongeant à son plus bas niveau des quatre mois passés face au dollar U.S. et entraînant mécaniquement une diminution des prix des marchandises écoulées à l'étranger et une augmentation de la valeur des profits ainsi générés.
Les constructeurs automobiles Nissan et Honda ont ainsi respectivement avancé de 1.9 et 1.4%, imités par Toyota avec 1.3%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le fabricant de matériel électronique Sharp, actuellement en difficulté, a ainsi dérapé de 4.2% après qu'un article du journal Nikkei ait déclaré qu'il redoutait 400 milliards de JPY de pertes nettes sur le semestre, soit près du double de ses projections établies en août.
Du côté de Hong Kong, le Hang Seng n'a guère évolué, les investisseurs se pressant toujours au chevet de l'économie chinoise.
Parmi les proclamations de résultats, on pouvait noter que CNOOC, poids lourd des hydrocarbures, prenait 1.1% après avoir vu ses rentrées du troisième trimestre se renforcer de 5.2% et remonté ses objectifs d'extraction pour 2012.
L'ASX a pour sa part réussi à s'extraire de son creux hebdomadaire d'hier pour terminer sur une note légèrement positive.
L'Australia & New Zealand Banking Group a tout de même plongé de 0.85% suite à son avertissement selon lequel il s'attendait à des conditions d'exercice de plus en plus difficiles, bien qu'il ait enregistré pour l'instant une poussée de 6% de ses profits nets après impôts pour la première partie de l'année.
Les bourses européennes ont quand à elles ouvert en hausse modérée, paralysées par l'expectative de signes montrant que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
L'EURO STOXX 50 progressait ainsi de 0.25%, et le CAC 40 français de 0.3%, tandis que le DAX 30 allemand stagnait et que le FTSE 100 britannique arrachait 0.15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
Le Japon était cependant en tête de peloton, en raison de l'attente grandissante d'apports la semaine prochaine de capitaux supplémentaires de la part de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.1%, l'ASX/200 australien grignotait 0.1% et le Nikkei 225 japonais bondissait de 1.1%.
La Réserve Fédérale des Etats-Unis n'a pour sa part annoncé hier aucune mesure nouvelle à l'issue de ses deux jours de réunion, précisant que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle avait fait savoir à la mi-septembre qu'elle comptait acquérir 40 milliards d'USD mensuels de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché du travail des Etats-Unis recouvre la santé, pour sa troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
A Tokyo, le Nikkei a clôturé au plus haut des quatre dernières seaines, tiré vers le haut par l'espoir croissant que la banque centrale du pays injectera davantage de liquidités lors de sa prise de cap de mardi prochain.
Beaucoup des grandes compagnie nippones tournées vers l'extérieur en ont profité, le yen plongeant à son plus bas niveau des quatre mois passés face au dollar U.S. et entraînant mécaniquement une diminution des prix des marchandises écoulées à l'étranger et une augmentation de la valeur des profits ainsi générés.
Les constructeurs automobiles Nissan et Honda ont ainsi respectivement avancé de 1.9 et 1.4%, imités par Toyota avec 1.3%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le fabricant de matériel électronique Sharp, actuellement en difficulté, a ainsi dérapé de 4.2% après qu'un article du journal Nikkei ait déclaré qu'il redoutait 400 milliards de JPY de pertes nettes sur le semestre, soit près du double de ses projections établies en août.
Du côté de Hong Kong, le Hang Seng n'a guère évolué, les investisseurs se pressant toujours au chevet de l'économie chinoise.
Parmi les proclamations de résultats, on pouvait noter que CNOOC, poids lourd des hydrocarbures, prenait 1.1% après avoir vu ses rentrées du troisième trimestre se renforcer de 5.2% et remonté ses objectifs d'extraction pour 2012.
L'ASX a pour sa part réussi à s'extraire de son creux hebdomadaire d'hier pour terminer sur une note légèrement positive.
L'Australia & New Zealand Banking Group a tout de même plongé de 0.85% suite à son avertissement selon lequel il s'attendait à des conditions d'exercice de plus en plus difficiles, bien qu'il ait enregistré pour l'instant une poussée de 6% de ses profits nets après impôts pour la première partie de l'année.
Les bourses européennes ont quand à elles ouvert en hausse modérée, paralysées par l'expectative de signes montrant que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
L'EURO STOXX 50 progressait ainsi de 0.25%, et le CAC 40 français de 0.3%, tandis que le DAX 30 allemand stagnait et que le FTSE 100 britannique arrachait 0.15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.