Investing.com - Le dollar U.S. a commis un faux pas face au franc suisse ce jeudi après-midi, la moral demeurant bon à l'approche d'une série de résultats américains.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9292 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9308, perdant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9258, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 0.933, son plafond du jour.
L'atmosphère s'était en effet trouvée allégée après que des chiffres officiels aient souligné que le PIB britannique avait augmenté de 1% du début juillet à la fin septembre, sa plus forte expansion depuis la même période de l'année 2007.
La Réserve Fédérale avait déjà précisé hier dans son communiqué sur les taux que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle a ajouté estimer maintenir son taux directeur à court terme aux alentours de zéro jusqu'à la mi-2015.
La prudence était toujours de mise, dans l'expectative de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
La devise helvète a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.2094.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9292 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9308, perdant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9258, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 0.933, son plafond du jour.
L'atmosphère s'était en effet trouvée allégée après que des chiffres officiels aient souligné que le PIB britannique avait augmenté de 1% du début juillet à la fin septembre, sa plus forte expansion depuis la même période de l'année 2007.
La Réserve Fédérale avait déjà précisé hier dans son communiqué sur les taux que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle a ajouté estimer maintenir son taux directeur à court terme aux alentours de zéro jusqu'à la mi-2015.
La prudence était toujours de mise, dans l'expectative de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
La devise helvète a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.2094.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.